Enfin, la racine de la Valériane possède des effets sédatifs et relaxants. Elle diminue l'anxiété et améliore l'humeur et la concentration. Elle permet de rétablir significativement la qualité de votre sommeil. Elle est aussi utilisée dans les cures de désintoxication tabagiques et pour soigner l'épilepsie.
Un bilan pré-chirurgical permet de définir de façon précise cette zone et de voir son rôle dans le fonctionnement du cerveau. La chirurgie de l'épilepsie (ou cortectomie) est le seul traitement pour guérir l'épilepsie.
Les recommandations actuelles du National Institute for Health and Care Excellence (NICE) britannique pour les adultes et les enfants préconisent la carbamazépine ou la lamotrigine comme traitement de première intention des crises partielles et le valproate de sodium pour les crises généralisées.
Les sucreries, la caféine et l'alcool entraînent des fluctuations de la glycémie et devraient donc être évités. Les pains à forte teneur en fibres ou de blé entier et les muffins au son aident à maîtriser les fluctuations du sucre dans le sang.
"Tout va dépendre du type de crise. Il y a des crises où on risque de tomber et de se blesser au sol, donc on peut se blesser en plus de la crise. Et il y a un risque de décès notamment après les grosses crises d'épilepsie, celles avec les convulsions.
Fréquentes chez l'adulte, elles peuvent apparaître à l'adolescence. Elles sont favorisées par l'absorption importante d'alcool, le manque de sommeil, un réveil provoqué et la lumière.
75 ans. - 50 % des épilepsies se manifestent avant l'âge de 10 ans. - L'espérance de vie des épileptiques est globalement inférieure de 10 à 20 % comparée à celle des sujets non épileptiques.
L'épilepsie n'est pas une maladie mortelle.
Il demeure qu'elle est parfois une maladie très grave et que certains patients en meurent.
L'épilepsie n'est pas une maladie mentale.
La majorité des personnes épileptiques ne présentent plus de crises grâce au traitement prescrit, parfois au bout de plusieurs années. Lorsque la cause initiale de l'épilepsie peut être traitée, la maladie guérit.
Le temps et l'absence de nouvelles crises diront si le traitement peut être enlevé. Il est important d'en parler avec le neurologue. Attention à la fatigue, au stress qui sont des facteurs qui vont favoriser les crises.
Le coup de chaleur
«Dans les cas graves, la température peut atteindre plus de 40 degrés et des troubles neurologiques se manifestent, comme un état de confusion, des hallucinations, une perte de conscience, voire une crise d'épilepsie, décrit le médecin.
Certaines personnes épileptiques ressentent des symptômes annonciateurs de la crise qui vient : ce phénomène d' « aura » peut se traduire par des hallucinations, de la nervosité ou de l'irritabilité, un sentiment de peur ou des impressions de « déjà-vu ».
L'électroencéphalogramme (EEG)
Il s'agit d'un examen qui enregistre les signaux électriques émis par le cerveau (ou "ondes") à l'aide d'électrodes (capteurs) placées sur le cuir chevelu. Il aide à préciser: le type d'épilepsie ; la localisation d'un éventuel foyer épileptogène.
Après une crise d'épilepsie, surtout suite à une perte de conscience, la personne peut se sentir confuse et désorientée pour quelque temps. Cela s'explique par le besoin de récupération des neurones. Une perte de mémoire ou des maux de tête peuvent aussi survenir.
Leur utilisation n'est cependant pas systématique. L'IRM reste l'examen de référence pour la recherche des causes de l'épilepsie.
L'épilepsie peut débuter à tout âge. Elle apparaît cependant plus fréquemment aux âges extrêmes de la vie, chez l'enfant et chez les personnes âgées. Plus de la moitié des épilepsies commencent pendant l'enfance : chaque année, environ 4 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chez l'enfant.
Le froid peut modifier de façon réversible l'activité de neurones, comme ceux impliqués dans une crise d'épilepsie. Mais comment en produire dans des zones profondes du cerveau et évacuer la chaleur générée par cette production de froid? Clinatec planche sur le sujet avec le programme Carnot Exploratoire Epicool.
Ils exigent une surveillance médicale accrue. Le traitement antiépileptique et la conduite sont incompatibles. L'EEG et le bilan neurologique doivent être normaux. Le conducteur, sans le moindre traitement antiépileptique, ne doit ne pas avoir eu de crises pendant 10 ans.
Les crises non-épileptiques psychogènes (CNEP) sont des crises très similaires à celles des patients épileptiques mais pour lesquelles on ne retrouve pas d'anomalie électrique dans le cerveau.
Les crises peuvent être provoquées ou non provoquées. Les crises provoquées sont le résultat direct et immédiat d'une cause comme une blessure à la tête, une fièvre élevée, une infection, des drogues, le retrait d'un médicament ou l'hypoglycémie. N'importe qui peut avoir une crise unique dans de telles conditions.
L'épilepsie nocturne se traduit par la survenue de crises comitiales, au cours du sommeil. En effet, le sommeil modifie le fonctionnement même du cerveau humain, ce qui peut, chez certaines personnes, accroître le risque de crise d'épilepsie.
Ici aussi, il convient de rester près de la personne et de le rassurer, jusqu'à ce qu'elle retrouve son état habituel. Ne pas asseoir ou déplacer la personne, sauf s'il est dans un endroit dangereux pour lui. Ne pas essayer d'entraver ses mouvements.