La plus-value immobilière nette (après abattements) est soumise au prélèvement forfaitaire d'impôt sur le revenu de 19 %. Auquel s'ajoutent les
La plus-value immobilière, après déduction du ou des abattements, est imposée à l'impôt sur le revenu au taux de 19 %. Exemple : Pour une plus-value imposable de 20 000 €, l'impôt sur le revenu est de 3 800 € (20 000 € x 19 %). Une taxe supplémentaire s'applique en cas de plus-value imposable.
On dit qu'il faut attendre 5 ans avant de revendre son bien pour amortir les frais liés à l'achat immobilier. La loi n'impose cependant aucun délai pour la revente d'un bien !
Selon les prévisions pour 2023, les taux d'intérêt vont continuer à augmenter, avec une hausse d'environ 3,5 % pour les prêts immobiliers sur 20 ans. En 2023, les professionnels prévoient une baisse des prix de l'immobilier qui se situera entre 3 et 10 %, selon les territoires.
L'exonération totale des plus-values immobilières au titre de l'impôt sur le revenu est ainsi acquise à l'issue d'un délai de détention de vingt-deux ans.
La plus-value est moins importante et l'impôt sur le revenu s'en retrouve réduit. Les frais déductibles de la plus-value immobilière sont les suivants : Les frais d'acquisition : cela comprend les honoraires du notaire, les droits d'enregistrement, etc.
Sans exonération totale ou partielle, la plus-value immobilière est soumise à l'impôt sur le revenu au taux forfaitaire de 19 % ainsi qu'aux prélèvements sociaux à hauteur de 15.5 %. Lorsque la plus-value immobilière est supérieure à 50 000 euros, elle supporte une taxe supplémentaire qui s'élève de 2 à 6 %.
Votre bien est exonéré d'impôt sur le revenu au terme d'un délai de détention de 22 ans, tandis qu'il est exonéré de prélèvements sociaux au terme d'un délai de détention de 30 ans.
L'exonération de la plus-value réalisée sur la première vente d'un bien autre que la résidence principale s'applique dans les cas suivants : Ne pas avoir été propriétaire d'une résidence principale au cours des 4 dernières années ; Réinvestir le montant total de la vente dans un autre bien dans un délai de 24 mois.
Si vous détenez le logement locatif depuis 5 ans au moins, l'administration fiscale vous autorise une majoration de 15 % du prix d'achat, pour le calcul de la plus-value. Dans notre exemple, le prix d'achat serait donc égal à (190.000 € + 15 % = 28.500 €) 218.500 €.
Exemple de calcul d'une plus-value immobilière
Pour calculer le montant de la plus-value immobilière, il faut soustraire le prix d'achat corrigé au prix de vente corrigé.
En effet, depuis 2005 seuls trois types de travaux peuvent être déduits des plus-values immobilières : les travaux de reconstruction, de surélévation ou encore les travaux apportant un élément de confort nouveau au sein du logement.
L'assiette de la taxe : la plus-value brute
Il est possible de déduire du prix de vente, sur justificatifs, les frais supportés lors de la vente tels que les diagnostics obligatoires, les frais d'agence si à la charge du vendeur, frais de mainlevée ou encore honoraires dus au syndic.
Lorsque vous vendez votre résidence principale ou que vous êtes considéré l'avoir vendue, vous n'avez pas habituellement à déclarer la vente dans votre déclaration de revenus et de prestations, et vous n'avez pas à payer d'impôt sur le gain réalisé sur la vente, s'il y a lieu.
La plus-value d'un bien immobilier transmis par donation ou succession représente la différence entre son prix de vente et sa valeur vénale. La valeur vénale du bien correspond au prix estimé au moment de la vente du bien (c'est-à-dire le prix que le nouveau propriétaire pourrait en tirer s'il le vendait).
La plus-value d'une résidence secondaire représente l'écart entre le prix d'achat et le prix de vente final du bien qui détermine sa valeur immobilière imposable. Dans le cas d'une cession d'une habitation secondaire sur le sol français en 2022, les plus-values immobilières sont taxées au taux de 36,2 %.
Est-ce que les prix de l'immobilier vont baisser en 2023 ? Dans un climat d'inflation et donc de hausse des taux d'intérêt, la croissance du marché immobilier devrait se maintenir, mais à un rythme plus lent. Ainsi, les prix devraient continuer à augmenter en France en 2023.
La décote à appliquer au nombre croissant de passoires thermiques, en raison des travaux à entreprendre, pèsera également. Ce mouvement de correction devrait d'ailleurs persister avec une baisse des prix supérieur à 1% dans l'ancien en 2024 au niveau national en moyenne.
Dans ce contexte, on assiste à un effondrement du pouvoir d'achat immobilier et à une hausse des taux d'intérêt. Ceux-ci s'affichent actuellement en moyenne à 2,5%, contre 1% il y a un an - et pourraient atteindre 3,5% fin 2023. En conséquence, les acheteurs sont moins nombreux, et ils peuvent acheter moins grand.
La plus-value réalisée lors de la vente d'une résidence principale (appartement ou maison) est entièrement exonérée d'impôt. Cette exonération* est totale. Elle concerne aussi bien la résidence principale que ses dépendances immédiates.
La plus-value correspond à la différence entre, d'un côté le prix de cession, et de l'autre le prix d'acquisition du bien immobilier. Elle est imposée à l'impôt sur le revenu au taux de 19%. A cela s'ajoutent les prélèvements sociaux au taux de 17,2%. Soit un taux global de 36,2%.