La sérologie d'une infection permet de connaître votre état par rapport à une maladie précise, en cherchant la présence d'anticorps spécifiques. Si la sérologie est positive, cela signifie que votre organisme possède des défenses immunitaires contre un virus ou une bactérie donnée.
Symptômes des déficits immunitaires. Les personnes atteintes d'un déficit immunitaire ont tendance à contracter des infections à répétition. Généralement, les infections respiratoires (telles que les infections des sinus et des poumons) sont les premières à se produire et récidivent souvent.
L'immunologie est la spécialité médicale consacrée au système immunitaire. Système complexe, composé de différents types de cellules et d'anticorps, celui-ci permet au corps de se protéger contre les infections et autres pathologies, telles que les cancers (dans une certaine mesure).
Un bilan biologique (prise de sang) pour rechercher :
Des anomalies immunologiques (auto-anticorps) Des anomalies traduisant un dysfonctionnement d'organe.
La maladie de Basedow est le cas de thyroïdite auto-immune le plus fréquent. Chez les personnes atteintes, 1 % de la population, surtout des femmes, les anticorps s'attaquent à la thyroïde, glande dont le rôle est la sécrétion et la régulation des hormones.
Une alimentation mal équilibrée, en quantité ou en qualité est la plus importante cause de déficit immunitaire. Dans les pays industrialisés, la carence en micronutriments est de plus en plus courante. Elle résulte d'un manque de vitamines et de minéraux. La popularité de la malbouffe explique en partie ce phénomène.
Trop riche ou déséquilibrée, l'alimentation peut aussi nuire au système digestif et particulièrement au microbiote intestinal, cet ensemble de micro-organismes qui joue un rôle clé dans l'immunité. Autre cause possible de l'affaiblissement des défenses naturelles : le manque de sommeil.
La formule sanguine complète (FSC) est une des analyses les plus courantes en laboratoire médical. La FSC fournit des renseignements importants sur le type, le nombre et d'autres caractéristiques des cellules qui se retrouvent dans le sang : globules rouges (GR), globules blancs (GB) et plaquettes.
L'importance du dépistage reste primordiale. En effet, plus un cancer est diagnostiqué tôt, plus il a de chance d'être guéri. La prise de sang est l'un des examens qui aident à diagnostiquer un cancer.
Un immunologue est un médecin spécialiste du système immunitaire humain, c'est-à-dire des mécanismes de défense de l'organisme face à un agent pathogène.
Un patient peut consulter un immunologiste s'il soupçonne une allergie ou une inflammation d'origine inconnue associée à la fièvre et à la perte de poids. D'autres raisons comprennent le suivi de l'immunothérapie, ou si le patient a des problèmes de gestion des problèmes d'asthme ou s'il souffre d'anaphylaxie.
Les marqueurs de l'inflammation :
La vitesse de sédimentation (VS) et la CRP (C réactive protéine) sont des marqueurs de l'inflammation. Ces dosages correspondent à la production, par l'organisme, des protéines de l'inflammation dans le sang.
Les cancers peuvent être à l'origine de manifestations auto-immunes dont le champ d'expression est varié. Les liens étroits entre auto-immunité et lymphogenèse sont peu à peu démantelés, ces 2 événements pouvant correspondre aux facettes d'un même processus.
Les anticorps antinucléaires (AAN), sont recherchés en l'immunofluorescence indirecte (IFI) ou avec la méthode ELISA. Le seuil de positivité pour les anticorps antinucléaires habituellement retenu est supérieur à 1/160.
Le coût en lui-même est relativement faible et se situe entre 17 et 25 €. Cela dépend de la nature et du nombre d'analyses demandées. Une fois encore, si vous souhaitez ne pas régler votre prise de sang, orientez-vous d'abord vers un médecin pour recevoir une ordonnance.
Le dosage de la vitamine D s'effectue par une simple prise de sang qui mesure la concentration sanguine en vitamine D totale (D2 + D3).
Le taux moyen de la CRP était de 38,85mg/L. Les patients âgés de plus de 60ans avaient des taux de CRP plus élevés. Le stade de la tumeur n'influençait pas le taux de CRP. Les patients atteints de carcinome épidermoïde avaient des taux de CRP les plus élevés avec une moyenne de 72,17 mg/L suivis par l'adénocarcinome.