Comment est-ce possible ? Il s'agira d'être rapide au moment de frapper l'adversaire dans l'œil. Ce coup similaire à un coup de fouet fera machinalement tourner la tête à votre agresseur. Profitez-en pour le frapper de l'autre côté du visage, dans la mâchoire ou au menton.
L'objectif est de faire en sorte que la tête de votre adversaire soit directement heurtée du bas vers le haut. Le crochet. Dans ce mouvement-ci, vous ciblez la mâchoire avec votre poing qui vient de côte. L'objectif est de faire en sorte que la tête de votre adversaire soit percutée de côté, provoquant le KO.
La pointe du menton, la tempe et le foie
Mais si vous arrivez à les toucher, vous avez de grandes chances de mettre KO l'agresseur. Pour le coup au foie, vous pouvez y aller avec le poing fermé. Mais pour le menton et la tempe, privilégiez les frappes avec la paume de main.
Pour vous défendre contre un agresseur, servez-vous de vos mains, votre front, vos genoux, vos coudes, pour le frapper aux yeux ou atteindre son nez, ce qui devrait vous permettre de vous enfuir. Vous pouvez aussi essayer de lui donner un coup de pied au tibia ou frapper sa rotule pour le neutraliser.
Visez des points faibles comme la mâchoire ou le menton.
Les points sensibles comme le nez, le visage, les reins, le ventre et les tempes sont des cibles de choix à frapper pour immobiliser temporairement votre adversaire.
« Le plus efficace, c'est de viser la pointe du menton. Plus c'est sec, mieux c'est », confie notre expert. L'effet de surprise joue également un rôle déterminant : pour un maximum d'efficacité, il ne faut pas que l'adversaire voie le coup venir.
Traiter directement la peur
La seule façon de faire face à la peur est de l'aborder de front. Le déni est une tendance naturelle de la nature humaine. Se forcez à faire face à une situation de peur dans la vie renforcent l'estime et la confiance en soi.
Il est plus difficile de lutter contre 2 personnes en même temps que contre une seule. Restez hors du groupe des attaquants et essayez de les obliger à se battre contre vous un par un. Utilisez une arme si vous la maitrisez. Dégainer une arme peut terminer le combat avant même qu'il n'ait commencé.
Si vous êtes hors de portée de ses attaques, privilégiez les coups de pied au genou, à l'aine ou à l'abdomen. Si vous êtes à mi-distance, visez sa tête et son corps. Si vous êtes suffisamment proche, vous pouvez lui donner un coup de boule, un coup de genou ou un coup de coude.
Adopter une attitude ferme en regardant l'assaillant droit dans les yeux. Riposter dès le deuxième coup bloqué, afin d'avoir l'opportunité de fuir. Se coller à l'agresseur s'il vous agrippe pour limiter sa marge de manœuvre. Viser les parties génitales, le cou ou le visage, notamment les yeux, le nez ou les oreilles.
Pour un KO rapide, viser les tempes, le foie ou le menton. Les amateurs du travail de sape préfèrent s'acharner sur le nez.
Faites tourner votre poing à 180 degrés vers votre cible. Gardez l'autre main devant votre visage. Ne laissez pas votre visage vulnérable à une attaque. Ramenez votre bras en arrière en position de départ.
Ce mouvement est particulièrement important dans un choc au menton qui entraîne une vive rotation cervicale et un important mouvement du reste de la tête. Ce déplacement de la tête entraîne un déplacement du cerveau à l'intérieur de la boîte crânienne (le cerveau flotte à l'intérieur).
Pour réaliser un bon coup de tête, il est essentiel que la tête de votre assaillant subisse un mouvement de coup de fouet. Pour ce faire, vous devez tirer votre agresseur vers vous puis le repousser rapidement, le tout en le tenant par le col. Évitez d'attraper la nuque de votre agresseur.
Écartez vos pieds et gardez vos poignets au-dessus des yeux et devant le visage. Si la personne vous donne un coup de poing direct du bras arrière, déplacez vos mains vers vos oreilles et protégez-vous le visage avec vos coudes. Lancez un coup de genoux ou de coude pour lui faire mal.
Imite sa voix. Chaque fois que ton frère parle, répète ce qu'il a dit, mais avec une voix aigüe de petite fille. Cela rend les petits frères furieux de génération en génération. C'est particulièrement efficace s'il est en train de te dire « Arrête ça ! », ou « Je vais tout dire aux parents ! »
La self-défense permet d'apprendre à se défendre face à une agression. Il s'agit d'une méthode de défense personnelle, adoptant des techniques de combat au corps d'origines variées. Pour n'en citer que quelques-uns, vous trouverez, par exemple, le Krav Maga (utilisé par l'armée israélienne) ou le Penchak Silat.
Mettez votre second bras derrière la tête de la personne. Serrez en fermant votre biceps et votre avant-bras et poussez la tête de la personne vers l'avant en vous servant de votre autre bras. Maintenez l'étranglement pendant 10 à 20 secondes puis relâchez la personne lentement sur le sol.
L'une des raisons pour lesquelles la peur peut être si puissante, à tel point qu'elle inhibe notre capacité à combattre est qu'elle se cache dans l'obscurité. Inaperçue, dans les recoins de notre esprit, elle agit sans que nous le sachions. Donc, la première étape est de tenter de faire preuve de lucidité.
Quand on arrête de se battre et qu'on accepte la situation qu'on est en train de vivre, on fait le premier pas pour la régler. Avec honnêteté, humilité et simplicité, on entre en contact avec la réalité et cela est la clef pour avancer.
La gifle, démonstration sur le vif
Ce dernier est en garde passive, main droite le long du corps pour pouvoir protéger la partie basse de son torse tandis que son avant-bras gauche protège sa gorge et son visage (il existe une variante intéressante avec le bras droit à l'horizontale au niveau du plexus).
Yeux, gorge, genoux ou encore parties génitales, Franck Ropers vous dévoile les points les plus sensibles du corps humain. Un doigt dans l'œil entraîne une douleur importante, une difficulté de l'adversaire à se concentrer, et obstrue temporairement le champ visuel.
Il en va de la santé de son cerveau, à court et long terme. Les chocs à la tête, même sans conséquences immédiates, peuvent provoquer des troubles neurologiques handicapants, délicats à prévenir et à diagnostiquer.