Punition positive : Avec ce type de punition, l'enfant doit faire quelque chose qu'il n'aime pas. Par exemple, si votre enfant n'a pas fait sa tâche de la semaine, il doit la faire et vous aider à faire une autre tâche. Punition négative : Dans ce cas-ci, l'enfant se fait enlever quelque chose qu'il aime.
La punition, ça commence à quel âge ? La punition doit être proportionnelle à l'âge et à la gravité de la bêtise de l'enfant. Quand il s'agit d'un bébé, il faut être ferme et expliquer ! À cet âge, il n'y a pas de punition.
Pourquoi fait-il ça ? Il arrive à l'âge où il prend conscience de son individualité, il sait qu'il ne pense pas toujours comme ses parents ou comme les autres adultes, il cherche à former sa propre personnalité en vous montrant qu'il ne suit pas vos règles.
La punition négative consiste à supprimer un stimulus agréable pour l'enfant lorsque ce dernier fait preuve d'un mauvais comportement. Il s'agit donc d'enlever un stimulant positif, c'est à dire lui retirer quelque chose qu'il aime.
Qu'est ce qu'une sanction positive ? C'est la sanction d'une erreur par une action qui favorise la prise de conscience, qui fait passer un message pour éviter que l'erreur ne se reproduise, pour la personne concernée et pour le plus grand nombre.
Parler avec tendresse et empathie, cela baisse le niveau de stress du parent et de l'enfant. Puis enchainer, en pratiquant l'écoute, avec un petit peu d'explication. Se dire que c'est un mauvais moment à passer et que l'enfant va forcément finir par se calmer afin de pouvoir en reparler avec lui tranquillement.
Lorsque l'insolence de l'enfant perdure, expliquez-lui clairement quelles seront les conséquences. Le but n'est pas de punir l'enfant, mais de l'aider à comprendre son comportement et à mieux le gérer. En revanche, les conséquences ne doivent pas être des menaces en l'air, sinon il reproduira son mauvais comportement.
Face à un enfant difficile ou un enfant colérique, comment réagir ? Selon la discipline positive, il faut entrer en lien avec l'enfant avant de le corriger. Cela nécessite d'avoir une écoute de qualité, de valider ce qu'il ressent, mais aussi parfois, de prendre soi-même le temps de gérer ses émotions.
En revanche, à cet âge, on peut pratiquer une autre forme de punition : la gronderie. Il s'agit de lui signifier en prenant une grosse voix et en faisant les gros yeux que ce qu'il a fait n'était pas bien et qu'il ne doit pas recommencer.
Qu'est-ce qu'une bonne punition ? G.M. Vallet : Une bonne punition doit permettre à l'enfant d'apprendre quelque chose, soit en soulignant un interdit qui a été transgressé soit en mettant en évidence une valeur qui doit être respectée aux yeux de ses parents et qui ne l'a pas été.
On punit les enfants pour leur faire prendre conscience qu'ils ont dit ou fait une grosse bêtise. Mettre au coin son enfant ou le priver de dessins animés sont des techniques souvent utilisées comme principe éducatif afin de faire respecter une certaine discipline.
Indiscipline (bavardage, gêne des camarades) Réprimande orale. En cas de récidives (3 réprimandes), privation de droits* ou privation partielle de récréation. En cas de nouvelle récidive, information aux parents. En cas de nouvelle récidive, procédure d'exclusion de la classe **.
Pour résumer, voici quelques alternatives à la punition :
verbaliser les émotions qu'il traverse ; utiliser les conséquences logiques pour réagir à un comportement ou une bêtise.
La punition doit être adaptée à l'âge de l'enfant et à la gravité de la bêtise. Il est impératif d'expliquer à l'enfant pourquoi il est puni voire même lui demander s'il comprend votre colère. Il est en effet peu judicieux de punir un enfant si celui-ci ne comprend pas son erreur.
Quelle punition donner à un enfant ? Pour Didier Pleux, " la sanction la plus judicieuse est celle qui a un lien avec le passage à l'acte. " Autrement dit, priver un enfant de télévision parce qu'il a mal parlé à sa sœur n'a aucun sens !
Le silence passif-agressif
Si vous êtes celui qui utilise habituellement la punition par le silence, sachez que c'est une façon passive et agressive de faire face aux situations. En plus d'être inutile, car elle ne résout pas les problèmes, elle peut avoir des conséquences irréparables.
Il est généralement caractérisé par: Une désobéissance chronique aux règles et consignes de l'adulte. Des luttes de pouvoir continuelles avec les adultes en autorité, en particulier ses parents. De l'argumentation incessante, même pour les consignes les plus banales.
Ne pas crier aide à renforcer le pouvoir parental. Éviter d'élever la voix pour vous faire obéir car les enfants vous obéiront alors pas peur et non par respect. C'est donc en restant vous-mêmes calmes que vous aurez plus de prise sur eux. Les cris affaiblissent l'estime de soi des enfants.
Pour pouvoir se libérer d'une mère toxique, il est essentiel de d'abord se sentir libre d'être qui on est en sa présence. Alors n'hésitez plus à exprimer vos besoins, vos désaccords et vos positions face à elle, quitte à la vexer ou la décevoir.
Assurez-vous qu'il y a bien un mensonge car si vous l'accusez et que vous avez tort, vous trahirez la confiance que vous avez l'un envers l'autre. La meilleure punition pour cette tranche d'âge est la sanction TV, téléphone ou jeux vidéos.
Pour les bavardages, appliquer une échelle de sanctions: rappel à l'ordre, punition ( toujours signée des parents, sinon ce n'est pas drôle ), mot / observation écrite dans le carnet, heure de retenue, exclusion.