On y voit que pain au chocolat recouvre la plus grande partie du territoire, alors que chocolatine étend sa domination à tout le Sud-Ouest. La variante couque au chocolat ne couvre que l'ouest de la Belgique francophone; quant à croissant au chocolat, il est attesté sporadiquement dans l'Est et en Suisse romande.
chocolatine, dans le grand Sud-Ouest de la France, excepté la région de Perpignan, selon les résultats d'un sondage et la cartographie issue des données recueillies, diffusés et analysés sur nombre de périodiques en ligne et de sites web.
Il faudra remonter au XIXème siècle pour connaître la genèse du pain au chocolat ou de la chocolatine. À l'origine, en 1830, un boulanger autrichien du nom de Auguste Zang s'installe à Paris, au 92 de la rue Richelieu.
On poursuit la lecture de sa carte de France : « Sur la majeure partie du territoire français, on parle de « pain au chocolat ». « Chocolatine » appartient à un grand quart sud-ouest. » Ce qui n'empêche pas certaines chaînes de boulangerie d'y utiliser le terme « pain au chocolat », même s'il est minoritaire.
“Les boulangers qui vendaient cette viennoiserie l'ont rebaptisée pain au chocolat pour qu'un lien soit fait avec leur métier. Ils ont également décidé de la renommer ainsi car elle se consommait au goûter et à cette heure-là, les gens mangeaient du pain avec un bout de chocolat”, dit le boulanger toulousain.
Faut-il dire pain au chocolat ou chocolatine ? Le débat sur l'appellation de cette viennoiserie agite la France depuis de nombreuses décennies. D'un côté, les Français du Sud-Ouest pour qui "chocolatine" est le terme correct, de l'autre, le reste du pays, qui opte plutôt pour "pain au chocolat".
En effet, toujours selon le livre de Jim Chevalier, ce serait le boulanger autrichien Auguste Zang, qui aurait importé les viennoiseries dans la capitale française, et notamment le "Schokoladencroissant". C'est la sonorité de ce dernier qui aurait donné le mot chocolatine.
En Corse c'est Ni Chocolatine, Ni pain au chocolat.
À Marseille, comme dans une grande partie du pays, le pain au chocolat est roi. Mais attention, dans le sud-ouest, si vous vous y rendez, notre meilleur ami du petit déjeuner se dit "chocolatine".
Historiquement, l'inventeur ou plutôt l'importateur serait un boulanger-pâtissier autrichien nommé Auguste Zhang qui, installé à Paris dans les années 1830 aurait introduit le "Schokoladencroissant".
Si vous entrez dans une boulangerie toulousaine pour acheter votre traditionnel pain au chocolat, demandez une « chocolatine ». Oui, c'est ainsi que les habitants de la Ville rose (et du Sud-Ouest en général) nomment cette viennoiserie au chocolat.
Pourquoi en Belgique un pain au chocolat est appelé une couque ?
« Chocolatine » est réservé aux régions bordelaises et toulousaines. En Belgique, on emploie plus volontiers le mot « Couque au chocolat », mais « pain au chocolat » est aussi connu, alors que « chocolatine » est très marginal.
C'est officiel. Selon un sondage IFOP mené auprès d'un échantillon de 1009 personnes, âgées de 18 ans et plus, 84% des Français préfèrent déguster des «pains au chocolat». Les «chocolatines», elles, ne retiennent que 16% des suffrages. Chacun le sait, la guerre de l'expression est séculaire.
Une tradition fait de Marie-Antoinette d'Autriche, originaire de Vienne, celle qui aurait officiellement introduit et popularisé en France le croissant à partir de 1770, d'où le nom de viennoiserie.
Egypte. On attribue l'invention du pain aux Egyptiens en 3000 avant JC. En effet en Egypte ancienne, on trouve déjà l'ancêtre de notre pain quotidien à base d'eau, de farine, de sel et de levain.
Une chocolatine est un terme employé au Canada et dans certaines régions françaises pour désigner une pâtisserie fourrée au chocolat. C'est en fait une pâte feuilletée contenant deux barres de chocolat. En France, on parle plutôt de pain au chocolat.
Plus légère et moins volumineuse que la miche traditionnelle, la baguette aurait été plus facile à transporter dans les poches des soldats. Mais d'après une autre source, c'est un boulanger autrichien, August Zang, qui aurait introduit la baguette en France. En 1839, le Viennois ouvrait une boulangerie à Paris.
La viennoiserie a apparu en France pour la première fois entre 1837 et 1839, quand un officier autrichien a ouvert une boulangerie viennoise à Paris (située dans rue de Richelieu). Le savoir-faire de la viennoiserie a été transmis des ouvriers viennois à leurs élèves français.
Pour les boulangers autrichiens, le « pain au chocolat » évoque tout autre chose, c'est le Schokoladebrot, qui ressemble plus à un cake au chocolat. Il est donc probable que le premier terme pour désigner une viennoiserie fourrée au chocolat ait été « Chocolatine », à cause de cette déformation linguistique.
en effet, la production d'un bien nécessite d'utiliser des ressources naturelles car pour produire un pain au chocolat, il faut de la farine qui provient du blé, de l'eau, provenant de la rivière par exemple, du chocolat provenant du vrai cacao, et du fromage provenant du lait de la vache.
S'excluant du débat, les Alsaciens l'appellent petit pain, tout comme les habitants du Nord-Pas-de-Calais. Autre originalité de la région, le petit pain est parfois saupoudré de sucre glace ou glacé au sucre.
Pour dire bonjour en occitan, vous avez adieu ou adieu-siatz.
Celui qui a alors le titre d'Empereur des Français inaugurait un pont traversant la Garonne lorsqu'un violent coup de vent aurait arraché le pompon situé sur son chapeau, l'envoyant ainsi dans le fleuve. La foule voyant le pompon flotter sur l'eau se serait alors exclamé “c'est le pompon sur la Garonne”.