La température typique de trempe est située entre 440 °C et 500 °C . Il faut veiller à ne pas utiliser une température trop élevée pour ne pas « brûler » le métal (fusion partielle), car en cas de brûlure, la pièce devient impropre à l'utilisation par perte de caractéristiques mécaniques et ne peut pas être retouchée.
Pour le durcir, il faut effectuer une trempe. Cette manipulation consiste à chauffer le métal puis à le refroidir de façon contrôlée dans un bain d'eau ou d'huile. La trempe est suivie d'un revenu qui est une étape permettant de fixer les propriétés de dureté et de ductilité de l'acier X Source de recherche .
FENSO 150 est une huile de trempe rapide préconisée pour les aciers au carbone et alliés lorsque la régularité du durcissement est primordiale, de même que la propreté et la stabilité dimensionnelle des pièces.
La trempe consiste à chauffer le métal à une température ou le carbone se dissout dans la matière (au dessus de A de la figure ci-dessous ), puis, à refroidir rapidement pour garder cette structure a température ambiante. Juste une petite explication succincte pour se raccrocher aux sites spécialisés.
Revenu « obtenir un bon compromis dureté-déformation »
Une trempe est toujours suivie d'un ou plusieurs cycles de revenus dont la température permet d'ajuster le niveau de dureté et d'obtenir de meilleures propriétés de ductilité qui correspond à la capacité du composant à se déformer.
L'huile est un des milieux de trempe les plus utilisés. On utilisera les huiles d'origine végétales de préférence aux minérales. Il ne faut absolument pas utiliser l'huile de vidange (risque de toxicité) ! Il existe des huiles spéciales pour la trempe, mais elles sont chères.
L'air est un milieu largement utilisé pour le processus de trempe. Comme tout métal chauffé que l'on laisse refroidir à la température ambiante est techniquement "trempé à l'air", le terme le plus approprié pour désigner l'air utilisé dans le processus de trempe rapide est l'air comprimé ou forcé.
Elle permet d'affiner le grain de l'acier, afin de rendre la lame moins fragile lors de la trempe et donc d'éviter une déformation de la lame au moment de la trempe.
Pour le traitement thermique, nous vous conseillons d'utiliser la Thermic TO 10R, une huile légèrement accélérée qui est très bien adaptée pour la trempe des aciers et inox de coutellerie.
Il est absolument nécessaire de pratiquer la trempe de la lame de votre couteau pour obtenir par la suite une pièce de qualité. En effet, cette étape permettra de durcir considérablement l'acier. La température de chauffe est dite de changement de phase, c'est-à-dire que toute la masse chauffée sera transformée.
Historiquement, les forgerons travaillaient les pièces métalliques sur le feu pour agir sur leur forme ou les affûter, avant de les plonger dans l'eau ou l'huile. Ce refroidissement brutal permettait de les figer instantanément, d'où l'appellation « trempe ».
Le revenu est un processus employé pour diminuer la dureté, la force et d'augmenter la ténacité des aciers trempés, en supprimant les tensions créées dans la trempe et en conférant à l'acier la dureté requise.
Prendre un récipient de volume proportionnel a la masse de la pièce a tremper pour éviter une élévation trop rapide de la température de l'huile et surtout avoir un couvercle pour étouffer les flammes si besoins. Opération a pratiquer en extérieur. Pas d'huile de vidange qui encrasse les pièces.
L'acier carbone ou l'acier à outils sont donc souvent utilisés pour ce type de couteaux. Pensez à l'acier D2, 1095, CPM 3V, Sleipner, A2 et bien d'autres. Ils sont souvent extrêmement résistants tout en étant faciles à aiguiser avec du matériel limité.
Le principe est simple : il s'agit chauffer l'acier à la température de recuit. Cette température est spécifique à chaque acier, mais elle oscillera entre 500 °C à 850 °C. Cette température devra être maintenue 1 minute par millimètre d'épaisseur. Le refroidissement devra être le plus lent possible.
La trempe et plus généralement les traitements thermiques (austénitisation, trempe, revenu, …) effectués sur les pièces de fonderie en acier permettent de leur conférer leurs propriétés d'usage : caractéristiques mécaniques, résistance à la corrosion, résistance à l'usure, ….
Le but de la trempe dans le cas des alliages d'aluminium est de maintenir à la température ambiante une solution solide sursaturée en éléments d'addition. Cette solution solide est obtenue en effectuant une mise en solution des éléments constituant les précipités présents à la température ambiante.
Les cycles de traitement thermique sont composés de plusieurs étapes : cycle de chauffe, maintien en température puis refroidissement sous atmosphère contrôlée. Pour chaque matériau à traiter (aciers, alliages, inox, ..), les cycles sont adaptés en termes de durée, température, vitesse de refroidissement, etc.
température d'austénitisation (trempe) ; recuit complet ; recuit d'homogénisation.
Le durcissement par vieillissement de précipitation s'effectue généralement à des températures situées entre 480 et 620°C sous vide, dans une atmosphère inerte ou l'air, pendant une durée de maintien à température de 1 à 4 heures, en fonction des caractéristiques et du matériau exacts spécifiés.
tremper. nettoyer rapidement la pointe à la lime. laisser monter la pointe au jaune sur la chaleur résiduelle. plonger la pointe dans l'eau sur 2-3 cm et laisser refroidir.
Le fer doit être chauffé très court (4 à 5 cm) à forte température, sachant qu'il se refoule le plus à l'endroit où la chaleur est maximale. D'où l'importance de concentrer la chauffe à cet endroit précis.
C'est en mélangeant une grande quantité de carbone avec une grande qualité de chrome que l'on obtient un acier inoxydable. Dans la pratique, la limite est fixée à une teneur de chrome de 13%. Plus de 13% de chrome permet l'appellation 'inoxydable', moins de 13% et il s'agit toujours d'un acier carbone.
L'acier inoxydable ne craint pas l'eau à cause de son alliage composé majoritairement de chrome et de carbone, mais aussi de molybdène et de cuivre.
La trempe est un moyen rapide de ramener le métal à température ambiante après le traitement thermique pour éviter que le processus de refroidissement ne modifie radicalement la microstructure du métal. Pour ce faire, les métallurgistes placent le métal chaud dans un liquide ou parfois dans de l'air forcé.