La promesse de vaut contrat de travail. L'engagement de l'employeur doit préciser les éléments suivants : Emploi proposé au candidat retenu (définition du poste) Date d'entrée en fonction envisagée.
La promesse d'embauche, dès lors qu'elle ne constitue qu'une offre de contrat de travail, ne vaut pas contrat de travail. À l'inverse, la promesse unilatérale d'embauche vaut contrat de travail.
Le promesse d'embauche permet au salarié d'être sûr d'être pris au sein de l'entreprise. Pour l'employeur, elle permet de lui assurer que le candidat viendra travailler dans sa société à partir de telle date.
accepter la proposition de manière officielle, en précisant l'intitulé du poste ; indiquer la date de votre prise de fonctions ; préciser les conditions d'emploi que vous acceptez (rémunération et avantages) ; conclure en réaffirmant votre motivation et votre volonté de fournir un travail de qualité.
La promesse vaut contrat de travail. Ce ne serait que d'un commun accord qu'ils pourraient y renoncer. L'employeur et le salarié peuvent effectivement se rétracter avant la signature de la promesse, dans ce cas, il n'y a plus de rencontre de leurs volontés et les parties reprennent leur liberté.
La promesse d'embauche signée par les deux parties est un engagement réciproque de l'employeur mais également du futur salarié. À partir du moment où elle est acceptée par le candidat, elle lie l'employeur à son futur salarié. Son existence est opposable aux deux parties.
En cas de non-respect de la promesse d'embauche de la part de l'employeur, il devra verser des dommages et intérêts au salarié ainsi qu'une indemnité de préavis. Si le non-respect de la promesse vient du salarié, il sera également condamné à réparer le préjudice financier causé.
Je vous remercie d'avoir retenu ma candidature. Je suis très heureux d'accepter l'offre de chef de projet marketing B2B et enthousiaste à l'idée de travailler au sein de votre équipe. Comme je vous l'avais précisé lors de l'entretien d'embauche, j'ai un préavis de 2 mois auprès de mon employeur actuel.
Il a, par exemple, intérêt à prévoir un délai de réponse. Ce dernier doit être raisonnable et suffisamment long pour permettre au candidat de prendre sa décision. En pratique, un délai de 15 jours reste acceptable. Une fois dépassé, la promesse ou l'offre devient caduque.
Le délai de signature d'un contrat de travail, pour les CDI, CDD ou contrats d'intérim, est de deux jours. L'employeur peut accorder au salarié, pour la signature du contrat de travail, un délai de réflexion. Ce délai de réflexion n'est cependant pas prévu par la loi.
Expliquer votre décision et argumentez si possible votre choix de refuser l'offre d'emploi : exprimer clairement votre refus et à en expliquer la raison. Ces éléments d'informations pourront également être repris à l'écrit si vous optez pour le mail de refus, plus formel.
L'offre d'emploi est une simple proposition d'engagement, là où la promesse de contrat est un contrat pour la formation duquel ne manque que le consentement du bénéficiaire… la différence est subtile. Le cas d'espèce n'aide d'ailleurs pas forcement à la compréhension de cette différence.
Soyez transparent(e)
Rien ne sert de donner des excuses bidons à votre employeur pour le faire patienter. Soyez clair(e) sur votre démarche et s'il est lucide il comprendra totalement votre décision. Dites-lui clairement que vous avez besoin de quelques jours de réflexion (pas une éternité non plus évidemment).
Et même s'il a signé la promesse d'embauche, cela ne signifie pas qu'il accepte cette proposition. Il faut que son acceptation soit matérialisée par un acte ultérieur par lequel il communique son accord à l'employeur. Il peut s'agir d'un appel téléphonique, un e-mail, un courrier, etc.
Il faut idéalement partir du salaire souhaité et l'augmenter de 10 à 15%." Autrement dit, si vous visez un salaire brut annuel de 30 000 euros, donnez une fourchette comprise entre 30 et 35 000 euros." Si la fourchette est trop vague, ça montre que vous n'avez pas assez étudié la question et vous perdez en crédibilité" ...
Prétention salariale, la réponse précise : donner un chiffre, suivi d'une question. C'est la réponse que les recruteurs attendent, en salaire brut annuel. Mais ne vous contentez pas de répondre 35 000 euros.
En effet, les deux contiennent les éléments essentiels du futur contrat (engagement sur l'emploi, la rémunération et la date d'entrée en fonction). La seule différence, c'est que dans la promesse, le bénéficiaire a donné son accord sur ces éléments sans les accepter, ce qui n'est pas le cas de l'offre.
Vous devez accepter une offre dite raisonnable d'emploi, c'est-à-dire correspondant à vos compétences professionnelles. Si ce n'est pas le cas, vous pouvez êtes radié de la liste des demandeurs d'emploi. Le PPAE est actualisé périodiquement.
« Je suis vivement intéressé par ce travail », « M'impliquer dans cette fonction correspond tout à fait à mes attentes », « Je serais très heureux de pouvoir rejoindre votre entreprise », « Cette mission représente, à mes yeux, une réelle opportunité de progression personnelle », « Votre projet d'entreprise semble ...
Soyez concis, remerciez-les de l'intérêt qu'ils ont porté envers votre candidature et exposez de façon authentique et professionnelle les raisons de votre refus (ex. vous avez eu une autre offre qui concordait à votre désir de développer X compétences, le poste est plus près de chez vous, etc.).