Hauts-de-France. Selon les scientifiques, le nord de la France (Nord et Pas-de-Calais) serait la région la plus touchée, avec la submersion des villes de Dunkerque, Grande-Synthe, Calais et Saint-Omer. Une région, où près de 400.000 individus vivent sous le niveau de la mer.
D'après les projections du site Climadiag de Météo France, le niveau de la mer pourrait monter de 13 à 30 cm à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) en 2050.
Parmi les grandes villes les plus à risque entre 2020 et 2050, on trouve Le Havre (de loin la grande ville la plus menacée), Caen, Bordeaux, Arcachon, Deauville, Bayonne, Toulon et Sète. « Au Havre, par exemple, 3,6 % des biens vendus entre 2016 et 2021 vont devenir inondables avant 2050 », selon le cabinet Calendar.
Des lieux de vie adaptés en 2050
Ils préféreront privilégier la partie nord de la France, aux côtés de Lille notamment, qui proposera des températures plus supportables. Il semble donc que la France qu'on connaît actuellement pourrait totalement changer dans les années à venir…
En Europe, Londres (Royaume-Uni) ou encore Venise (Italie) ne sont pas en reste. En France, des villes comme Bordeaux et ses alentours, la région de Saint-Nazaire et les villages de la côte montpelliéraine pourraient être les premières à disparaître sous les eaux.
2050, OUVRONS LES YEUX - Les premiers signes de la hausse du niveau de la mer viendront de l'augmentation de phénomènes météorologiques extrêmes mais, à terme, des zones entières de l'Hexagone pourraient se retrouver sous l'eau.
Quel est le Classement des villes les plus chaudes de France dès 2040. Les villes d'Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne-France-Comté, Grand Est et Provence-Alpes-Côte d'Azur, situées loin des côtes, seront les plus touchées par la hausse des températures dans 20 ans.
Les Tuvalu, menacés par la montée des eaux
Et d'ici 2050 à 2100, si la hausse des températures ne se maintient pas en dessous de 1,5 °C, 95 % du territoire pourrait bien disparaître, précise le Huffington Post. Alors pour éviter de sombrer dans l'oubli, les Tuvalu vont… se numériser !
La vie sur la terre s'arrêtera dans environ 2,8 milliards d'années, selon une étude menée par Jack o'Malley-James, astrobiologiste à l'université de St. -Andrews.
En septembre 2019 , il publie Devant l'effondrement : Essai de collapsologie, dans lequel il annonce que par effets systémiques l'effondrement mondial devrait se produire entre 2020 et 2040, période durant laquelle la population serait décimée par la famine, les maladies, les guerres, jusqu'à être réduite à deux ou ...
Par exemple, en 2050, l'océan Atlantique pourrait avoir grignoté les côtes de l'estuaire de la Gironde. Saint-Nazaire, Nantes et les rives de l'estuaire de la Loire risquent de ne pas être épargnées non plus, et Noirmoutier pourrait être engloutie.
Avec des villes comme Lyon ou Grenoble, la région Rhône-Alpes devrait en être la principale bénéficiaire : la croissance de sa population sera de 16,8 %. Elle sera, en 2030, la région la plus peuplée après l'Ile-de-France avec 6,9 millions d'habitants.
En 2050, les vacanciers qui ont l'habitude de séjourner en Provence se tourneront vers la Bourgogne. Remonté jusqu'à la région du centre de la France, le climat méditerranéen va certainement attirer plusieurs touristes à Beaune, Dijon ou Mâcon. Vous pouvez vous rafraîchir dans les lacs et les cascades du Jura.
Les pays de l'extrême nord semblent rester à l'écart de ces préoccupations d'ici 2040 : le Canada, la Russie, les pays scandinaves, le Groenland mais aussi ceux de la grande muraille verte de l'Afrique et le Brésil utiliseront moins de 19 % de leurs ressources en eau.
Sur la base de ce dernier scénario, les chercheurs ont montré que la France de 2100 pourrait être 3,8 °C plus chaude que celle du début du XXe siècle. Une augmentation qui fait frémir. Une telle hausse des températures serait particulièrement marquée en été.
Le risque d'extinction de l'humanité a été "dangereusement sous-exploré". C'est l'alarmante conclusion d'une étude réalisée par des climatologues et publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) le 1er août 2022.
En 2100, les villes sont plus compactes et plus efficaces sur le plan énergétique. À cette date, la concentration en CO2 atteint 550 ppm (la population est de 8,5 milliards d'habitants), les températures mondiales sont en hausse, mais les conséquences des changements climatiques sont maîtrisées et en baisse.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
Concarneau, Bretagne, 5 août 2050
C'est parti pour deux semaines de vacances au bord de l'eau. Plages de sable fin, eaux turquoise, forêts de pins… La côte sud du Finistère a des airs de Riviera, d'autant qu'il y fait régulièrement plus de 30 °C en été.
Villes à risque :
Il est possible d'investir aujourd'hui à Marseille, Montpellier ou encore Nice. Cependant, il faut prendre ses précautions sur les localisations pour ne pas choisir les terrains les plus enclins à connaître les feux de forêt.
7. Le lieu le plus chaud en Océanie : la ville d'Oodnadatta en Australie avec une température de 50,7° en Janvier 1960.
La Bretagne, ça nous gagne !
Nous l'avions déjà remarqué durant ces dernières périodes de canicule : la région bretonne reste assez épargnée par les vagues de chaleur. C'est plus particulièrement le Finistère qui serait plus peuplé en 2050, bouillonnant de vie culturelle – la région deviendrait même hyper touristique.
L'Auvergne est la région où l'immobilier est le moins cher en France. Sur le territoire auvergnat, les prix des maisons vont de 750 € à 1 700 €/m² et ceux des appartements commencent à environ 2 790 €/m².