Windpassenger ne vole pas dans des conditions dangereuses ! Pour effectuer un vol tranquille, il nous faut un temps sec et stable et la vitesse du vent ne doit pas dépasser 20 km/h au sol.
Pour ce week-end : un risque de tempête classique
Néanmoins si les vents soufflent au-delà de 100 km/h, les passerelles pour accéder aux avions pourront être endommagées si elles sont exposées au vent, voilà pourquoi certains terminaux plus exposés au vent pourraient ne pas ouvrir leurs portes.
Bref, vous l'aurez compris, si les rafales sont inférieures à 50km/h de vent il n'y a jamais de question à se poser. Si ces 50 km/h de vent viennent totalement de travers alors certains vols vont commencer à être annulés.
Mais leurs qualités aérodynamiques peuvent aussi constituer un danger : même au sol, un avion conserve ainsi une tendance naturelle à s'orienter « face au vent » ! Malgré une masse importante, sous l'effet de vents forts, un avion mal calé peut ainsi se déplacer et occasionner d'importants dégâts.
Un vent est en général estimé violent donc dangereux lorsque sa vitesse atteint 80 km/h en vent moyen et 100 km/h en rafales dans l'intérieur des terres.
Léger (0 à 9 km/h) Modéré (10 à 40 km/h) Fort/venteux (41 à 60 km/h) Très fort/coups de vent (61 à 90 km/h)
Ses vents ont soufflé jusqu'à 305 km/h. Des bourrasques à 1.000 kilomètres de son centre ont également été enregistrés. Bien qu'elle ne provoque pas des dégâts aussi conséquents que les ouragans ou les typhons, les tornades sont les plus dangereuses.
La litanie sinistre des catastrophes aériennes des cinq dernières années tendrait à prouver que, conformément au sens commun, les phases d'atterrissage et de décollage sont réputées plus dangereuses que celle où l'avion vole à son altitude de croisière.
Le site http://www.meteovol.fr permet ainsi de voir la carte d'Europe et les turbulences prévues à différentes échéances et à chaque niveau de vol.
La disponibilité d'équipements de dégivrage pour les avions déterminera si le décollage est sécuritaire ou non. De plus, si le point de congélation est inférieur à la température extérieure, la pluie peut geler lorsqu'elle touche le sol. Dans ce cas, la piste devient glissante, ce qui rend les décollages difficiles.
Mal aux oreilles
Ce symptôme survient généralement pendant le décollage ou l'atterrissage. En cas de douleur, plusieurs méthodes peuvent être employées pour la diminuer : Mâcher un chewing-gum ou bâiller : ces deux gestes créent une décompression au niveau de l'oreille interne, ce qui soulage la douleur.
Évitez les sièges : À proximité des toilettes : c'est une zone bruyante. À l'arrière de l'avion : c'est la zone où l'on ressent le plus les turbulences.
Les avions, à l'atterrissage et au décollage, se placent toujours face au vent. Cette règle permet de réduire au minimum leur vitesse lorsqu'ils se posent et assure leur portance au moment de prendre leur envol. A la construction d'un aéroport, les pistes sont donc toujours installées en fonction des vents dominants !
La vitesse minimale du vent pour faire fonctionner une éolienne est d'environ , 14.5 km/h.
Entre 22 heures et 24 heures, les décollages ne sont autorisés que sous certaines conditions, notamment liées au volume sonore de l'avion. Les atterrissages sont interdits entre 24 heures et 5 heures. Si le vol est retardé, les décollages et les atterrissages sont autorisés jusqu'à 00 h 30 au plus tard.
Les turbulences ne sont pas signes de danger. Elles ne peuvent pas provoquer de crash à elles seules, l'avion ayant été conçu pour résister aux plus fortes. Il faut donc intégrer le fait que l'avion résiste aux turbulences pour ta sécurité mais il ne peut pas pour autant t'offrir un confort douillet en tous temps.
Il existe quatre types de turbulences: légères, modérées, sévères et extrêmes. Lorsqu'elles sont extrêmes, le pilote peut perdre le contrôle de l'avion, et ce dernier peut subir des dommages structurels.
On peut croire que l'avion risque de se casser ou qu'il risque de tomber jusqu'au sol, mais il n'en est rien. Même si l'on voit les ailes bouger et que l'on entend des bruits spécifiques, les turbulences ne peuvent provoquer aucun dommage à un avion moderne.
En nombre de crashs, c'est le 707/720 de Boeing qui l'emporte avec 105 catastrophes, devant le DC9 et le DC8 (62 chacun), le Boeing 727 (57) et le Boeing 737- 1/200 (48).
Si l'on parle du personnel de bord et de l'équipement, les vols de nuit sont aussi sûrs que n'importe quel autre vol. En revanche, si vous prenez souvent l'avion de nuit, il existe des risques potentiels pour votre santé, en particulier si vous ne dormez pas bien à bord.
Les sièges du milieu positionnés au fond de l'avion sont de ce fait les plus sécurisés en cas de crash. Toutefois, cette affirmation peut légèrement différer selon le type et la taille de l'avion.
Côté records exceptionnels, on sait par exemple qu'en 1967 un coup de Mistral à 320 km/h est enregistré au sommet du Mont-Ventoux (Vaucluse) ou encore qu'en 1996, Leucate (Aude) a subi 254 jours de vent dans l'année...
Le 19 novembre 1967 un coup de Mistral à 320 km/h est enregistré au sommet du Mont-Ventoux, dans le département du Vaucluse. Plus au sud encore, le Cap Pertusato, situé à la pointe de la Corse, non loin de Bonifacio, est également connu comme étant l'un des coins les plus venteux de France.
Au niveau mondial, c'est probablement le typhon TIP évoluant dans le nord-ouest de l'Océan Pacifique, qui détient le record de pression centrale la plus basse, mesurée le 12 octobre 1979 de 870 hPa, les vents maximums soutenus étant estimés alors à 165 noeuds ou 305 km/h.