La dispersion des cendres en pleine nature à la suite d'une crémation, est une possibilité qui est offerte en France par l'article L2223-18-2 du Code général des collectivités locales qui le prévoit. Il ajoute que la personne chargée des obsèques doit faire une déclaration à la mairie du lieu de naissance du défunt.
Parmi les différents lieux de dispersion des cendres d'un défunt, on trouve la dispersion en pleine nature. Avec la loi du 19 décembre 2008, les cendres ont désormais le statut de corps à part entière, en conséquence, la pratique de la dispersion est désormais strictement encadrée et réglementée.
il est aussi interdit de les disperser dans une propriété privée. Après un délai de 1 an, si les proches du défunt n'ont pas pris de décision, les cendres sont dispersées dans l'un des lieux suivants : Espace dédié du cimetière de la commune du lieu de décès. Site cinéraire le plus proche.
En effet, les cendres du défunt sont assimilées à un corps, par conséquent, de la même manière que pour les inhumations sur des propriétés privées, il convient d'obtenir au préalable l'autorisation préfectorale évoquée précédemment. Il sera également nécessaire d'obtenir l'accord du propriétaire.
Vous pouvez disperser les cendres du défunt en forêt, en pleine mer ou dans un océan. Vous ne pouvez pas disperser les cendres dans un jardin public, dans la rue ou dans la rivière à côté de chez vous, assimilée à une voie publique.
La crémation est autorisée par le maire du lieu du décès (ou du lieu de mise en bière en cas de transport du corps). L'autorisation est accordée sur présentation des documents suivants : Expression écrite des dernières volontés du défunt ou demande de la personne chargée de l'organisation des obsèques.
Si vous souhaitez rouvrir l'urne à l'avenir et qu'elle a un couvercle à coller, nous vous recommandons d'utiliser un mastic à la silicone. De cette façon, le couvercle de l'urne peut être coupé assez facilement avec un couteau tranchant.
Les cendres ne peuvent désormais plus être partagées entre les héritiers. Elles sont recueillies dans une urne. L'urne pourra être conservée pour une durée d'une année au maximum au crématorium ou dans un lieu de culte après accord de l'association cultelle.
La dispersion des cendres dans un jardin du souvenir est soumise au règlement intérieur du cimetière ou du crématorium et, par conséquent, est généralement réalisée par le personnel du cimetière ou du crématorium. Comme dans le cas de la dispersion en pleine nature, il faut en informer la mairie de naissance du défunt.
Il faut envoyer l'urne en recommandé à son siège parisien. Elle la fera parvenir à ses correspondants, près de la mer Méditerranée ou de l'océan Atlantique . Compter 325 euros pour la dispersion et 360 euros pour l'immersion. Ses prestations sont effectuées "à partir de navires homologués par la marine marchande".
Effectivement, idée reçue car depuis la loi du 19 décembre 2008, il n'est plus possible de conserver chez soi les cendres du défunt. Désormais, l'urne funéraire pourra être scellée sur une pierre tombale, enterrée dans une sépulture ou enfin déposée dans un columbarium.
Une inhumation dans le terrain d'une propriété privée est possible à titre exceptionnel. Les formalités peuvent être accomplies par l'opérateur de pompes funèbres.
Qu'est-ce que la crémation ? La crémation, parfois appelée incinération, consiste à incinérer le corps du défunt dans un crématorium. Les cendres sont ensuite recueillies dans une urne choisie au préalable par la famille et les proches avec le conseiller funéraire PFG.
Le transport de l'urne funéraire en France métropolitaine
Ainsi, en France métropolitaine, la famille est en droit de se charger elle-même du transport de l'urne : il n'est pas obligatoire de faire appel à un opérateur funéraire ni de recourir à un véhicule spécialisé.
Comment les rédiger ? Elles doivent prendre la forme d'un document écrit, que vous devez dater et signer. Le document est manuscrit ou dactylographié. Il se fait sur papier libre, mais certains établissements de santé fournissent un formulaire.
Autre mesure pour la paix des familles : après le décès, l'urne pourra rester pendant un an au crématorium ou dans un lieu de culte prévu à cet effet, le temps de se mettre d'accord. On pourra disperser les cendres dans la nature (forêt, mer ou jardin du souvenir).
Prothèses, stérilets, pacemakers et surtout dents en or... Autant de reliquats qui ne brûlent pas lors de la crémation et qui sont revendus par les crématoriums à des entreprises de recyclage, déplore le magazine.
Le prix d'un emplacement en columbarium
Votre niche vous est acquise pour un certain nombre d'années, allant de 5 à 50 ans, voire à perpétuité. Les tarifs d'un columbarium varient selon les villes et les régions, et sont généralement compris entre 350 euros et 1200 euros.
Quel est le prix d'une incinération (crémation) ? Le prix moyen de la crémation est de 3600 €. L'incinération nécessite des prestations différentes, notamment celle du crématorium, qui est d'environ 700 euros.
Il est en principe interdit de disperser les cendres de crémation d'un défunt dans une propriété privée, comme un jardin.
Selon la loi, une urne funeraire doit posséder une capacité minimum de 2,5 litres. En général, les urnes courantes peuvent contenir 3 litres de cendres, ce qui est adapté à tous les défunts. En ce qui concerne les animaux disparus, le volume des leur cendres est beaucoup plus petit.
Si certaines personnes décident de conserver les cendres dans un monument funéraire ou dans leur jardin, d'autres décident de les disperser à la mer par amour pour la nature, par rapport à un souvenir ou encore pour cette vision de liberté qu'elle inspire.
Lors de la crémation du corps d'un défunt au crématorium, les cendres sont recueillies dans une urne funéraire (ou un cendrier) qui est ensuite fermée : Cette urne est à traiter avec respect et dignité. La loi du 19 décembre 2008 a donné le statut de « corps » aux cendres : dans une urne il y a donc une « personne ».
Pour une inhumation, la concession sera un caveau ou une tombe. Pour une crémation, elle sera une place dans un columbarium ou une cavurne.