Gaz naturel, gaz propane, gaz butane, biogaz, biométhane… Tous ces types de gaz sont des gaz dits combustibles, utiles pour des usages domestiques. Leur combustion libère en effet de l'énergie thermique, récupérée pour faire fonctionner vos appareils (cuisson, chauffage, etc.)
Par exemple, si la combustion est en trop grand excès d'air, on chauffe inutilement un grand volume d'air qui se retrouve dans les fumées. C'est une perte évitable en modifiant simplement le réglage d'admission d'air du brûleur.
Par exemple, en ajoutant 20% d'oxygène à 100% d'air (21% d'O2 et 79% de N2) on obtient un comburant contenant environ 34% d'oxygène et 66% d'azote. Le ratio N2/O2 passe donc de 79/21 = 3.76 (voir plus haut) à 66/34 = 1.94 seulement.
NOx est la somme de NO et NO2. Sur les installations domestiques, la part de NO2 dans le NOx est inférieure à 3 %.
Les techniques de réduction
Elles consistent en la réduction de monoxyde d'azote (NO) et dioxyde d'azote (NO2) en présence d'oxygène, pour produire de la vapeur d'eau et du diazote gazeux. Les agents réducteurs utilisés sont principalement l'ammoniac (NH3) ou l'urée (CO(NH2)2).
Les NOx sont réduits par l'action d'urée, d'ammoniac ou d'acide cyanurique injecté dans le foyer sans catalyseur. La réaction se produit à haute température (850 -1050°C). Bien qu'elle puisse parallèlement favoriser les émissions de protoxyde d'azote, de CO et d'ammoniac.
Un bon rendement de combustion est consécutif à : L'absence d'imbrûlés (ni CO, ni suie) Au taux de CO2 le plus élevé A la température des gaz de combustion la plus basse.
La source d'énergie la plus utilisée est le pétrole. En 2016, c'est 42 % de la consommation d'énergie dans le monde d'après l'Agence Internationale de l'Énergie. Mais le gaz et le charbon ne sont pas en reste, avec une part de consommation de 15 % et 12 % la même année.
L'air contient un gaz indispensable à la vie : le dioxygène (O2). Les êtres humains, les animaux et les végétaux l'absorbent et rejettent du dioxyde de carbone.
Le gaz naturel, ou gaz fossile, est un mélange gazeux d'hydrocarbures constitué principalement de méthane, mais comprenant généralement une certaine quantité d'autres alcanes supérieurs, et parfois un faible pourcentage de dioxyde de carbone, d'azote, de sulfure d'hydrogène ou d'hélium.
Normalement, la flamme est jaune. La couleur dépend de la qualité du fioul et de la pression après l'accroche-flamme. La couleur peut être plus ou moins bleuté.
Il existe essentiellement deux types de flammes ou combustion : ce sont la déflagration et la détonation ; mais il est possible, avec certaines réserves, d'en considérer un troisième, l'explosion.
L'acétylène, l'ammoniac, l'hydrogène, le propane, le propylène, le méthane sont tous des gaz inflammables, aussi appelés gaz combustibles. Ils brûlent lorsqu'ils sont mélangés avec un oxydant (par exemple, l'oxygène) et une source d'inflammation se trouve à proximité.
Il existe 2 types de gaz en bouteille : le propane et le butane. Si ces deux produits sont des GPL (gaz de pétrole liquéfiés) odorants, chacun présente ses propres caractéristiques : Gaz propane : il est issu de champs ou de raffineries. Son composé chimique majoritaire est le propane C3H8.
Pour une utilisation en intérieur, il faudra utiliser une bouteille de gaz butane (seule à pouvoir être stockée en intérieur). Mais, on peut aussi raccorder une bouteille de gaz propane depuis l'extérieur du logement.
La molécule d'eau est une molécule suffisamment stable pour ne pas réagir chimiquement à la chaleur d'une flamme.
le chauffage au bois est de loin le combustible le moins cher du marché! Avec une facture moyenne annuelle s'élevant à 769€, le bois est très économique.
Le charbon, le bois et les hydrocarbures (pétrole, gaz naturel, butane ou propane) sont des combustibles. Leur combustion s'accompagne d'un dégagement de chaleur. C'est ce qui les rend importants dans la vie courante et dans l'industrie.
IV – Les dangers des combustions.
Risque d'incendie : si la combustion se propage à d'autres objets ; il faut donc éloigner des flammes toute matière combustible. Risque d'asphyxie : si le dioxygène de l'air est consommé par la combustion ; il faut donc éviter de boucher les ventilations.
Le charbon de bois réagit avec l'oxygène de l'air à la température du rouge incandescent pour former du monoxyde de carbone incolore, qui brûle alors avec une flamme bleue en se combinant avec une quantité supplémentaire d'oxygène de l'air pour former du dioxyde de carbone ou gaz carbonique.
Pour réduire l'émission d'oxydes d'azote (NOx) sur les moteurs diesel, qui en émettent davantage que les mécaniques essence, deux technologies peuvent être utilisées: le piège à NOx, et le SCR (Selective Catalytic Reduction).
« Deux caissons équipés de filtres à ionisation positive ont été installés sur l'un des quais, explique Jérôme Arnaudis. Lorsque l'air de la station s'y engouffre, les filtres aimantent les particules fines qui se collent ensuite à des plaques collectrices.
Un comburant, soit une substance qui entretient la combustion, principalement le dioxygène (O2) . Une température suffisamment élevée permettant d'atteindre le point d'ignition: c'est la température qui permet de fournir suffisamment d'énergie pour amorcer la combustion.