Un accès avec des escaliers, des portes trop étroites, un plan de travail trop élevé sont autant d'éléments qui entravent la bonne circulation de la personne handicapée dans son propre logement et, de fait, dégrade son quotidien.
Qu'elles soient liées à l'ignorance, à la peur, à un manque de compréhension ou à la haine, certains comportements et certaines perceptions peuvent devenir des obstacles qui empêchent les personnes handicapées de poursuivre leurs rêves et leurs aspirations.
Surdité, malvoyance, handicap moteur ou intellectuel… Chaque situation de handicap est particulière. Elle nécessite donc d'adapter le poste à la situation de l'employé handicapé dans trois dimensions : L'aménagement « matériel » du poste de travail, afin qu'il soit plus adapté aux capacités de la personne.
Les actes de la vie quotidienne deviennent difficiles à gérer. La conscience de ces problématiques peut entraîner un sentiment de culpabilité ou de dévalorisation de soi qui engendre un repli sur soi et une grande vulnérabilité.
A cause de leur handicap, elles sont parfois privées d'éducation, de travail, de loisirs ; elles subissent une forme d'exclusion sociale, conséquence de la précarité de la situation financière ou matérielle dans laquelle elles peuvent être plongées.
Elles sont près de deux fois plus nombreuses à vivre dans un ménage pauvre en conditions de vie, le plus souvent confronté à des insuffisances de ressources et des restrictions de consommation. Ces personnes handicapées présentent aussi des indicateurs de santé dégradés par rapport à l'ensemble de la population.
Faute de reconnaissance officielle, ils sont privés de protection juridique et exclus des services sociaux "essentiels à leur survie et à leur avenir", rappelle l'Unicef. Malnutrition, carence de soins, hygiène défaillante sont autant de facteurs déclencheurs possibles du handicap ou l'aggravant.
La situation des personnes handicapées s'est considérablement améliorée au cours du dernier demi-siècle : on rencontre désormais des personnes en fauteuil roulant dans la rue, dans certains trains et dans les magasins, des enfants handicapés dans les musées, et on côtoie même des travailleurs handicapés dans les ...
L'intégration d'une personne handicapée peut complexifier l'organisation, être source d'absentéisme prolongé, voire source de jalousie en interne, d'un sentiment d'inégalité, de favoritisme.
60 % des répondants déclarent avoir une réaction positive et vouloir échanger avec elle. Ils ressentent notamment de l'admiration et reconnaissent « leur courage ». Mais, pour les personnes handicapées, c'est une toute autre histoire ! Elles affirment ressentir la gêne, l'indifférence et la peur de leur interlocuteur.
Un accès avec des escaliers, des portes trop étroites, un plan de travail trop élevé sont autant d'éléments qui entravent la bonne circulation de la personne handicapée dans son propre logement et, de fait, dégrade son quotidien.
Les missions de bénévolat au profit des personnes souffrant de handicap concernent de nombreux domaines, dont : l'aide au déplacement. le parrainage vers l'emploi. l'animation culturelle ou sportive.
La Vie Autonome est bien plus qu'une philosophie, c'est un « mode de vie » par lequel les personnes handicapées, malgré les barrières encore existantes, sont libres et responsables d'envisager différents choix de vie possibles, de faire des erreurs, de connaître des échecs, en un mot d'assumer leurs propres choix.
Deux voies s'offrent pour combattre le handicap : soit diminuer la déficience et l'incapacité, soit modifier l'environnement et les normes sociales (comme les exigences à l'école ou au travail).
Le handicap, représente, à la fois une anomalie physique, mentale ou même les deux, qui gêne un certain nombre de personnes dites normales. Le handicap dérange car il concrétise les peurs, en particuliers, celle de devenir « comme ça ». Il fait également « tache » dans le contour bien policé de notre société.
Au-delà du traumatisme, la survenue du handicap et l'accompagnement de la personne provoquent un véritable bouleversement qui nécessite, dans l'urgence, l'adaptation et le réaménagement familial, professionnel et relationnel, avec le risque d'induire un véritable isolement.
Elle explique que leurs ressources soient plus faibles. » Le manque d'accessibilité, dans les transports, les lieux culturels, de loisirs et de sport ne favorise pas les sorties ; la difficulté d'accès au logement freine leur vie sociale.
Les traumatismes crâniens sont la principale cause de mortalité et de handicap sévère avant 45 ans. Les causes principales sont : les accidents de la voie publique (environ 50 %), les accidents sportifs, les accidents de travail, les accidents domestiques, les agressions.
Les personnes handicapées peuvent être empêchées d'accéder aux soins de santé en raison de pratiques et de politiques discriminatoires, du manque d'accès à l'information. Les régimes de sécurité sociale peuvent limiter la possibilité de couverture pour certaines maladies.