Au premier ordre, un tel cycle comprend trois phases : sédimentation dans un bassin sédimentaire qui correspond souvent à une marge continentale ; orogenèse, c'est-à-dire plissement des sédiments accumulés dans le bassin sédimentaire et surrection d'une chaîne de montagnes ; pénéplanation de la chaîne montagneuse.
L'orogenèse par subduction survient notamment lorsqu'une plaque océanique subduit sous une plaque continentale. Il se forme alors un arc volcanique en avant de cette dernière, qui va petit à petit augmenter en volume au cours des ères géologiques.
L'orogenèse désigne l'ensemble des processus entrainant la formation des montagnes. C'est le mouvement des plaques tectoniques qui nous permet de comprendre et d'expliquer la formation des chaînes de montagnes.
La orogenèse est la formation de grandes montagnes et d'élévations de la terre par certains mouvements de la plaques tectoniques. Le fait que la Terre tourne signifie qu'elle agit comme une sorte d'entité vivante et qu'elle subit également des transformations comme des êtres vivants.
Lorsque deux plaques se rencontrent, elles se chevauchent et forment une zone de subduction. La plaque plongeante entraîne avec elle le bord de l'autre, formant une fosse océanique. Le chevauchement a également pour conséquence de plisser et de soulever la plaque supérieure, créant ainsi les montagnes.
1. Partie de la géologie qui a pour objet l'étude des déformations des corps solides du système solaire (planètes telluriques et satellites naturels), en relation avec les forces (la dynamique) et les mouvements (la cinématique) qui les produisent. 2. Ensemble des caractéristiques communes de ces déformations.
Les zones de subduction sont ce que l'on appelle des marges actives. Elles représentent des limites de plaques tectoniques convergentes et se caractérisent par la plongée d'une plaque océanique sous une autre plaque.
1La tectonique, qui étudie l'architecture des roches et, en particulier, qui essaie de comprendre comment et pourquoi elles se déforment, s'intéresse depuis longtemps aux chaînes de montagnes. Ces chaînes, qui forment souvent des reliefs imposants, sont des éléments morphologiques d'importance.
La subduction est un processus géodynamique d'enfoncement d'une plaque tectonique sous une autre plaque de densité plus faible, en général une plaque océanique sous une plaque continentale ou sous une plaque océanique plus récente, dans un contexte de convergence.
Le groupe de Beaumont parle de collision quand toute la croûte est impliquée dans le prisme, de subduction quand toute la croûte est subduite, de subduction par- tielle quand une partie de la croûte est subduite.
La subduction est un processus d'enfoncement d'une plaque tectonique sous une autre plaque de densité plus faible, en général une plaque océanique sous une plaque continentale ou sous une plaque océanique plus récente.
Les plaques des continents s'écartent donc les unes des autres en glissant sur le magma. Certaines plaques sont entrées en collision ! Même si ce processus prend plusieurs milliers d'années, quand deux plaques se rencontrent, ils se montent l'un sur l'autre. Cela crée les montagnes.
Ces plaques bougent, car la chaleur stockée à l'intérieur de la Terre remonte à la surface en créant des courants de convection, sous l'effet desquels les roches magmatiques rentrent en mouvement et entraînent les plaques.
La cordillère des Andes, longue de 7 000 km , est souvent considérée comme la plus longue chaîne de montagnes au monde. La ceinture alpine comprend l'Indonésie et l'Asie du sud-est à travers la chaîne de l'Himalaya (avec notamment le mont Everest, le plus haut sommet du monde) et se termine dans les Alpes.
L'écossais James Hutton (1726-1797) est considéré comme le père fondateur de la géologie moderne.
La géologie est bien l'étude de la Terre, même si elle a des relations avec l'ensemble des sciences de l'Univers ; la biologie est l'étude d'un phénomène, la vie, apparue sur une planète particu- lière, la Terre.
La geologie est la science qui a pour objet de décrire et d'expliquer la nature, l'origine et la situation des roches, des terrains, etc., constituant la croûte terrestre. La geographie est la science qui a pour objet la description de l'aspect actuel du globe terrestre, au point de vue naturel et humain.
Plaques principales
plaque africaine. plaque antarctique. plaque australienne (parfois intitulée indo-australienne ou australo-indienne) plaque eurasiatique.
Dans certaines circonstances, la croûte océanique ne s'enfonce pas sous le continent mais vient au contraire le chevaucher, d'où le terme d'obduction, qui s'oppose à celui de subduction.
Les zones de divergence s'observent là où deux plaques tectoniques d'éloignent l'une de l'autre. Elles font l'objet d'un volcanisme intense. Sous la surface des océans, elles correspondent donc aux dorsales ou rides médioatlantiques, et peuvent dans certains cas abriter des îles, comme les Açores ou l'Islande.
En surface, la matière est simplement translatée des dorsales vers les zones de subduction. Sous l'effet du refroidissement, cette matière devient cassante et constitue de grandes plaques d'une épaisseur de 10 à 100 km. C'est ce mouvement, appelé tectonique des plaques, qui donne lieu à la dérive des continents.
1. Feuille de matière quelconque, pleine, large et peu épaisse, mais rigide : Plaque de marbre. 2. Élément métallique servant à immobiliser un os fracturé, après sa réduction, pendant le temps nécessaire à sa consolidation.
La tectonique des plaques
La lithosphère, couche mobile la plus superficielle de la Terre, est divisée en un petit nombre de plaques rigides en déplacement sur l'asthénosphère, partie du manteau terrestre située immédiatement en-dessous.