Les bénédictions qu'il recherchait étaient celles de la prêtrise détenue par les dirigeants des dispensations qui l'avaient précédé : Adam, Hénoc et Noé et leur postérité juste. Abraham a reçu la prêtrise du prophète Melchisédek (voir Traduction de
« Les promesses divines faites à Abraham comprenaient ce qui suit : (1) Le Christ viendrait par son lignage et (2) La postérité d'Abraham recevrait certaines terres comme héritage éternel (Genèse 17 ; 22:15-18 ; Galates 3 ; Abraham 2).
D'autres suggèrent que l'apparent engagement d'Abraham à sacrifier Isaac était sa propre manière de tester Dieu. Abraham s'était auparavant disputé avec Dieu pour sauver des vies à Sodome et Gomorrhe.
Abraham voulait être juste et recevoir les bénédictions que sont le bonheur et la paix. Grâce à la fidélité d'Abraham, le Seigneur a fait une alliance avec lui. Cette alliance a donné à Abraham le droit de recevoir la prêtrise avec les bénédictions et les responsabilités qui l'accompagnent.
Et c'est ce qu'on peut entendre dans l'appel de Dieu à Abram : « Pars pour toi-même de ton pays, de ta famille de la maison de ton père… va vers le pays que je te ferai voir. » Ce « pars vers ou pour toi-même » a été beaucoup commenté par la psychanalyse, entendue comme une sorte de promesse d'accomplissement du sujet.
Il est la figure humaine centrale du Livre de la Genèse. Abraham fait partie des premiers patriarches de la Bible et est considéré comme le fondateur du monothéisme de tradition « abrahamique » par le judaïsme, le christianisme et l'islam.
Avec Abraham, c'est l'histoire de Dieu avec le peuple hébreu qui commence. Pour ce peuple dont la descendance est immense, Abraham est un modèle de foi car il est le premier à chercher le Dieu vivant et à placer sa confiance en Lui. Encore aujourd'hui, il est appelé le père des croyants.
L'alliance conclue avec Abraham, telle qu'elle est décrite au chapitre xvii de la Genèse, a été inconditionnelle. Abraham a reçu la bénédiction divine assortie d'une double promesse : il allait devenir le père de nombreuses nations et sa descendance devait posséder pour toujours la terre de Canaan.
Le Seigneur dit à Abram : « Quitte ton pays, ta parenté et la maison de ton père, et va vers le pays que je te montrerai. Je ferai de toi une grande nation, je te bénirai, je rendrai grand ton nom, et tu deviendras une bénédiction.Je bénirai ceux qui te béniront ; celui qui te maudira, je le réprouverai.
Abraham n'était ni juif ni chrétien ; il était monothéiste, soumis à Dieu, et il n'était pas un païen » (Sourate 3, v. 65 et 67). Dans le Coran, Abraham est ainsi la figure d'un monothéisme supraconfessionel.
Quand ils furent arrivés à l'endroit que Dieu lui avait indiqué, Abraham y éleva l'autel et dis- posa le bois, puis il lia son fils Isaac et le mit sur l'autel, par-dessus le bois. Abraham étendit la main et saisit le couteau pour immoler3 son fils.
Car, au fond, pour la Bible, le sacrifice est essentiellement l'expression d'un intense élan vers Dieu et d'une profonde aspiration à vivre dans sa proximité.
« On sacrifie pour une cause ou une idée qu'on juge supérieure. C'est le cas dans la religion, ou encore du parent qui fait table rase de ses désirs personnels – et de ses nuits ! – au service d'une cause supérieure, en l'occurrence, assurer la survie de son enfant, explique la psychanalyste.
Abram, son neveu Lot, et leur famille quittent l'Égypte et retournent au pays de Canaan. Quand un conflit éclate entre les bergers des troupeaux d'Abram et ceux de Lot, Abram agit en artisan de la paix entre eux. Abram et Lot se séparent et une armée d'envahisseurs capture la famille de Lot qui habite à Sodome.
La Terre promise (hé. הארץ המובטחת, translit.: ha'aretz hamuvtakhat) représente ce que dès la Genèse, la Torah (Bible hébraïque) désigne sous le nom de « Terre d'Israël » dans le pays de Canaan, « pays où coulent le lait et le miel », qui, selon les textes, fut promise par Dieu au patriarche hébreu Abraham (Gen.
Dieu promet à ses enfants que, s'ils suivent les préceptes de son plan et l'exemple de son Fils bien-aimé, respectent les commandements et persévèrent avec foi jusqu'à la fin, alors, par la vertu de la rédemption du Sauveur, ils auront « la vie éternelle, qui est le plus grand de tous les dons de Dieu 4 ».
D'après la Genèse Abraham est marié avec Saraï, qui est longtemps stérile. Il a tout d'abord un fils, Ismaël, avec Agar, la servante de Sarah. Puis Sarah et Abraham (alors centenaires) ont alors un fils nommé Isaac. Sarah est jalouse d'Agar et la fait chasser avec son fils Ismaël dans le désert.
Juda ha-Levi [...] estime qu'Abraham utilisait l'araméen comme langue profane, et l'hébreu comme « langue sacrée »27.
Isaac comme Ismaël naît selon les lois de la nature à ceci près que Sara est âgée et Abraham aussi. Les deux fils ont incontestablement le même père. «Selon la chair » dans la suite de l'épître (5,15-23) signifie selon les désirs naturels dé l'homme pécheur.
Dans ces alliances, Dieu a promis de grandes bénédictions à Abraham et à sa famille. Ces bénédictions, qui s'étendent à toute la postérité d'Abraham, sont appelées l'alliance abrahamique.
dans sa maison et tous ceux acquis avec de l'argent, tous les mâles parmi les gens de la maison d'Abraham et il circoncit la chair de leur prépuce, ce même jour, selon ce que Dieu lui avait dit.
Objet d'un traité consistant dans l'engagement d'entraide mutuelle de deux ou de plusieurs États et, par extension, nom de ce traité et, éventuellement, de l'institution qui en résulte. (Toutes les alliances ont officiellement un but défensif.)
D'Abraham, le patriarche, à Moïse, l'homme de la Loi, la Bible retrace les étapes de la naissance de Dieu.
Et c'est dans un de ses édifices, la mosquée d'Abraham pour les Palestiniens, ou caveau des Patriarches pour les juifs, et plus précisément dans ses cavités souterraines, que seraient abrités les tombeaux des Patriarches, ceux d'Abraham, le père des peuples, de ses fils Jacob et Isaac, et de leurs épouses respectives [ ...
Translittération de l'hébreu יהוה est le nom divin et c'est le tétragramme de Dieu dans la Bible hébraïque en lettre se traduit ainsi YHWH composé des quatre lettres yōḏ (י), hē (ה), wāw (ו), hē (ה) qui se traduit avec les voyelles suivants YAHWEH – YAHUAH – YAH.