Ces conditions de la lecture sont des dispositions de l'esprit qui appartiennent toutes au registre de l'obéissance : simplicité, humilité, discrétion, conformité à la volonté de Dieu, renoncement à soi-même, abnégation, abandon, docilité, etc.
Avec comme avantages majeurs, la priorité du désir, l'affirmation de soi, le sentiment de compétences chez l'enfant… et comme inconvénient principal la perception de toute limitation ou frustration comme autant d'expériences insupportables.
La notion d'obéissance, y compris à la parole de Dieu, est toujours liée à la liberté. L'obéissance engage le chrétien à s'ouvrir à la volonté de Dieu, elle est un acte de foi qui incite à rechercher la volonté de Dieu dans les événements et les défis de la vie.
Il semble plutôt que c'est la confrontation des apports empiriques de l'une et l'autre de ces approches qui le conduiront à émettre l'hypothèse que c'est la situation qui engendre l'obéissance parce qu'elle à la faculté de produire un état de déresponsabilisation de l'acteur aux commandes.
Action ou habitude d'obéir, de faire ce qui est commandé : L'obéissance des enfants à leurs parents.
L'obéissance de l'élève à son maître, sa docilité, est comme l'épisode annoncé et préparé de la docilité de l'âme irrationnelle à l'âme rationnelle ; l'obéissance à un maître est une relation intersubjective d'assujettissement qui ouvre la possibilité à l'assujettissement intra-subjectif de l'appétit à la raison.
En effet, la désobéissance civile est souvent punie avec une sévérité disproportionnée par rapport au préjudice social produit par l'action de désobéissance : on impose des peines équivalentes à celles associées à des conduites considérées comme plus nuisibles et plus graves, et même avec des conduites constituant d' ...
flanquer, donner ("administrer une correction", "administrer un coup"...)
Se soumettre à la volonté de quelqu'un, à un règlement, exécuter un ordre : Obéir à ses parents, à la loi. 2. Céder à une incitation, un sentiment, etc. : Obéir à ses instincts.
Aptitude à obéir. Synonyme : allégeance, discipline, docilité, esprit de subordination, obédience, soumission, subordination. – Littéraire : servilité.
Se conformer, se plier à (ce qui est exigé par autrui ou par soi-même). Obéir à un ordre. ➙ obtempérer.
Il vaut mieux obéir aux commandements par peur d'être punis que de ne pas obéir du tout. Mais nous serons beaucoup plus heureux si nous obéissons à Dieu parce que nous l'aimons et voulons le faire. Si nous lui obéissons librement, il peut nous bénir libéralement. Il a dit : « Moi, le Seigneur, je…
Obéir, c'est alors se comporter en toute intelligence tout en conservant une certaine liberté car l'acte d'obéissance est volontaire contrairement à l'acte soumis qui s'effectue par obligation.
Se faire obéir, c'est fixer des limites, établir des règles et les faire respecter. Parfois, cela signifie également mettre ses enfants en sécurité. L'obéissance des enfants permet de leur faire comprendre la présence d'une hiérarchie dans la société.
OBÉISSANT, -ANTE, part. prés. et adj.
Le respect des lois est une exigence mais la Constitution, se référant à la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, reconnait aussi la possibilité de désobéir au nom de la résistance à l'oppression.
définition - OBEIT
1.se soumettre en se conformant aux ordres de quelqu'un; se soumettre au règlement en vigueur.
[définition de l'obéissance] L'obéissance consiste à faire ce qu'une autre personne nous dit de faire, parce qu'elle a autorité sur nous, [type 1 d'obéissance] soit parce qu'elle peut user de sanctions si nous le lui obéissons pas, [type 2 d'obéissance] soit du fait des qualités que nous reconnaissons à cette personne, ...
être soumis
Manifester une disposition à obéir, de la docilité, un esprit de soumission : Un fils soumis. Un air soumis.
Étymologie de « désobéissance »
préfixe, et obéissance. Composé du préfixe dés- et de obéissance.
La règle majoritaire a ses vertus et ses limites, elle ne garantit pas un idéal de justice. «Renoncer à la désobéissance c'est mettre la conscience en prison» aurait en substance dit Gandhi. Il faut donc considérer la désobéissance comme possible, par principe, au nom de la liberté.
Ainsi, dès l'instant où la population refuse d'obéir, l'État n'a plus de pouvoir. Un peuple peut donc résister sans violence par la désobéissance et provoquer l'effondrement d'un État illégitime, car, disait-il, le pouvoir le plus féroce tire toute sa puissance de son peuple.