Drogue : Substance psychotrope naturelle ou synthétique qui conduit au désir de continuer à la consommer pour trouver la sensation de bien-être qu'elle procure, substance dont l'usage excessif est toxique en raison aussi de la dépendance qu'il crée chez l'utilisateur.
L'individu qui se drogue régulièrement adopte un mode de vie qui porte en germe un retrait narcissique, un repli sur soi. La toxicomanie aboutit souvent à l'impasse d'une jouissance immédiate, absolue et tyrannique.
Elles se divisent en 3 catégories : les perturbateurs/hallucinogènes; les dépresseurs; les stimulants.
Les drogues sous contrôle international comprennent les stimulants de type amphétamine, le coca/la cocaïne , le cannabis, les hallucinogènes, les opiacés et les sédatifs hypnotiques.
1. Substance psychotrope naturelle ou synthétique, généralement nuisible pour la santé, susceptible de provoquer une toxicomanie, et consommée en dehors d'une prescription médicale. 2. Usage systématique des stupéfiants : La drogue l'a conduit au suicide.
L'objectif peut être de s'échapper de la réalité. La drogue est utilisée comme un anesthésiant des pensées, des sentiments, des émotions, de la souffrance. Les usagers disent souvent qu'ils utilisent la drogue pour « oublier » ou pour « décompresser ».
Des doses importantes ou une consommation chronique entraînent une grande nervosité, une fatigue intense, ainsi que des problèmes d'équilibre et de coordination, des troubles psychiques (instabilité d'humeur, crises de panique), des pertes de mémoires, des troubles du sommeil.
Les effets, les risques et les dangers des drogues varient suivant les substances et l'usage qu'on en fait. Risques psychiques : – Difficultés de concentration, – Troubles de la mémoire, – Déformation de la perception de la réalité, – Nervosité, agressivité, – Anxiété, dépression, – Risque de suicide.
Des risques sanitaires sont associés à la consommation de drogues illicites : dépression respiratoire, intoxication, contamination, surdose, vulnérabilité psychique ou physique...
Les effets recherchés lors de la consommation d'une drogue ou d'un médicament psychotrope varient en fonction de chacun, mais sont notamment d'ordre anxiolytique (euphorie, bien-être, apaisement…), stimulant (toute-puissance, disparition de la fatigue, indifférence à la douleur…), ou encore hallucinatoires ( ...
Parfois, les comprimé d'ecstasy peuvent contenir d'autres drogues et substances. Effets: Sous l'influence de l'ecstasy, on peut se sentir plus alerte et plus en harmonie avec son environnement. On se sent heureux, calme et l'on éprouve des sentiments chaleureux envers les autres.
L'opium semble être la première substance de cet ordre à avoir été découverte par l'homme, il y a 8 000 ans, un peu partout dans le monde. Dans le plus ancien langage écrit connu, le sumérien (3 100 avant Jésus-Christ), on trouve un idéogramme présentant une fleur d'opium comme " la plante de la joie ".
À fortes doses, la drogue peut aussi occasionner des maladies mentales, telles que la schizophrénie, la paranoïa et la psychose. Elle rend aussi les personnes qui en consomment plus agressives, en plus de détruire un nombre considérable de neurones dans leur cerveau.
1. LSD - 2686€ Oui, c'est un peu cher. Mais c'est seulement parce que quelques microgrammes sont nécessaires pour créer une dose de LSD efficace, qui coûte à peu près 10 euros l'unité pour la substance hallucinogène (en buvard, comprimés, ou en gélules).
Parmi les conséquences néfastes qu'entraînent l'usage et l'abus des drogues chez les jeunes, on peut citer la dépendance, les surdoses, les accidents, les dommages physiques et psychologiques et, parfois, un décès prématuré.
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
On ne dispose à l'heure actuelle d'aucun moyen permettant d'identifier les personnes qui deviendront dépendantes. La dépendance à la drogue est un trouble d'ordre médical, et non un manque de volonté ou de force de caractère. La dépendance à la drogue et les maladies mentales touchent souvent les mêmes personnes.
Une autre drogue, la phencyclidine (PCP), appelée « angel dust » ou « poudre d'ange », puissante substance hallucinogène, a aussi la réputation de conduire à des actes auto ou hétéro-agressifs qui peuvent être d'une extrême violence.
Le projet LST est un programme de prévention en milieu scolaire d'une durée de trois ans. Il cible l'usage de tabac, d'alcool et de marijuana, en offrant aux étudiants l'opportunité de briser la progression allant de la consommation de ces substances à l'abus d'autres drogues.
Le cannabis reste la drogue illicite la plus consommée
En 2020, le cannabis reste largement diffusé dans la population : 46% des adultes l'ont déjà expérimenté. Un adulte sur 10 a consommé du cannabis au moins une fois dans l'année (11% en 2020).
Les dangers encourus :
Les risques somatiques respiratoires et cardio-vasculaires liés au fait de fumer doivent être pris en compte sur le long terme (une cigarette de cannabis produit en moyenne 5 fois plus de monoxyde carbone inhalé qu'une cigarette de tabac).
La société se sent agressée par l'addict
Celui qui est sous l'effet d'une drogue quelconque n'est plus le même : il exprime par ses actes des attitudes à l'égard d'autrui que le groupe social incite à réprimer ; il est indifférent, « mal élevé », agressif, grossier ; il s'emporte, peut devenir cruel, menteur, voleur.