Après sa défaite militaire, les maréchaux forcent donc l'Empereur à abdiquer. Pour ne pas laisser une guerre civile se développer, Napoléon cède après avoir vainement essayé de les rallier et il est déchu par le Sénat dès le 3 avril.
Le Second Empire fut englouti par la défaite militaire de 1870. Le désastre aboutit au déchirement de la nation, avec la Commune et l'annexion de l'Alsace-Moselle.
Le Second Empire se termine le 4 septembre 1870 à la suite de la défaite de Sedan, lors de la guerre contre la Prusse, puissance montante en Europe dirigée par le chancelier impérial Otto von Bismarck. La Troisième République lui succède et inaugure la pérennité du régime républicain en France.
Après son retour de l'île d'Elbe, Napoléon affronte une coalition anglo-prussienne entre les villages de Waterloo et Mont-Saint-Jean, en Belgique. Face aux troupes du duc de Wellington et du maréchal Blücher, son armée s'incline. Le 18 juin 1815 signe ainsi la fin de l'épopée napoléonienne.
Dans cette commune belge, Napoléon aurait été doublement trahi le 18 juin 1815. D'abord par ses généraux, Ney et Grouchy en tête. Ensuite par la météo : une pluie diluvienne avait transformé en bourbier le champ de bataille, déroutant son artillerie.
"Son autoritarisme (...), son sens d'un Etat fort, son mépris du régime parlementaire, son impérialisme et surtout son génie de la propagande ; tout peut y faire penser". Mais "il n'y a chez Napoléon ni l'idéologie meurtrière, ni le délire raciste de ceux que l'on présente comme ses successeurs", ajoute l'historien.
Au total, 19 bicornes napoléoniens ont été recensés à travers le monde sur les 120 portés au cours des quinze années de règne, dont la plupart demeure dans des musées. Celui-ci avait été acheté en 1814 par un politicien écossais dénommé Sir Michael Shaw-Stewart.
L'épopée napoléonienne s'achève le 18 juin 1815 à une vingtaine de kilomètres au sud de Bruxelles, entre les villages de Waterloo et Mont-Saint-Jean, avec la défaite de l'empereur Napoléon Ier (45 ans) par une coalition anglo-prussienne.
Le 18 juin 1815, Napoléon Bonaparte perd une bataille décisive dans une petite commune belge, nommée Waterloo. Devenue aujourd'hui un terme générique, les causes de cette défaite restent pourtant en grande partie méconnues.
Le coup d'État du 18 brumaire an VIII ( 9 novembre 1799 ), souvent abrégé en coup d'État du 18 Brumaire, organisé par Emmanuel-Joseph Sieyès et exécuté par Napoléon Bonaparte, avec l'aide décisive de son frère Lucien, marque la fin du Directoire et de la Révolution française, et le début du Consulat.
Mal organisée, l'armée prend du temps à se mettre en place et s'agglutine sur les frontières entre les deux pays. Napoléon III, malade et fatigué, tient tout de même à être sur le devant de la scène et à rester dans son rôle de chef des armées. Mais il assiste impuissant aux premières défaites françaises.
La bataille de Waterloo, disputée le 18 juin 1815, est l'une des plus importantes de l'histoire moderne. Elle sonne la fin de Napoléon Bonaparte, et met un terme à plus de vingt ans de guerres sur le Vieux Continent. Retour sur les jours et les heures qui ont mené à la chute de l'Aigle.
Le 2 septembre 1870 marque la fin d'une ère. Ce jour là, l'empereur Napoléon III capitule à Sedan face à l'armée prussienne.
Le 2 septembre 1870 , Napoléon III est capturé lors de la bataille de Sedan. Le 4 septembre 1870 , la Troisième République est proclamée. Napoléon III part en exil en Angleterre, où il meurt en janvier 1873 .
Les causes de la guerre de 1870 reposent sur un coup politique du chancelier Bismarck. C'est la question de la succession à la Couronne d'Espagne, en 1868, qui déclenche l'exaspération de l'Empereur Napoléon III envers la Prusse.
Cet épisode de 1870 reste une blessure profonde pour la France. Déroute militaire, chute du régime, amputation du territoire… Comment le Second Empire qui rayonnait sur l'Europe a-t-il pu sombrer si vite devant les troupes prussiennes ?
Ces ouvrages inculpent sans ambiguïté Charles de Montholon de l'assassinat de Napoléon par empoisonnement chronique selon la méthode de la Brinvilliers. Les auteurs avancent comme mobile du crime l'hypothèse que Montholon était un agent royaliste et que le meurtre aurait été commandité par le comte d'Artois.
Bataille gagnée par Napoléon sur les Autrichiens de l'archiduc Charles. Après Essling (20 mai 1809), Napoléon a fortifié l'île Lobau, y concentrant 187 000 hommes et 488 canons, en attendant l'arrivée du prince Eugène avec l'armée d'Italie.
En 1812, l'armée de Napoléon pénètre sur la terre des tsars. Mais les Russes refusent le combat et reculent. C'est finalement les maladies et le froid de l'hiver qui sont les principales raisons de la défaite de Napoléon en Russie.
Le 2 septembre 1870, les Prussiens reçoivent la capitulation d'une armée française enfermée à Sedan, dans les Ardennes. Ils font 83 000 prisonniers y compris l'empereur des Français.
Spéculateur, munitionnaire et fournisseur des armées, Gabriel Ouvrard fut l'un des principaux financiers de son temps. Une puissance qu'il mit notamment au service de Napoléon Ier. Monsieur Ouvrard, vous avez abaissé la royauté au niveau du commerce ! "
Marengo était devenu le cheval préféré de Napoléon qui l'avait monté dans plusieurs batailles jusqu'à Waterloo en 1815, où il a été capturé par les troupes de Wellington.
Napoléon Ier était à peine mis hors jeu que la France a vu apparaître une flopée de Napoléon ! Focus sur le dénommé Jean Charnay, qui réussira à tenir son rôle durant un mois. 9 août 1815. Cette fois, c'en est fini de la France pour Napoléon.
Cette trilogie vengeresse constitue en effet une charge fort violente et parfois basse. La filiation même de Louis-Napoléon, qui ne serait pas un authentique Bonaparte, y est mise en cause. Hugo voit en lui «l'enfant du hasard […] dont le nom est un vol, et la naissance un faux.»