Si tout le monde procrastine, nous ne le faisons pas tous pour les mêmes raisons. Des causes variées nous amenant aux mêmes conséquences : stress, sentiments négatifs, qualité de travail détériorée et réprobation dans le pire des cas.
Ces motivations sont médiatisées par divers mécanismes comme le manque de confiance en soi, la faible tolérance à la frustration, l'agressivité passive, la rébellion, la peur de l'échec, l'indif¬férence, la paresse, l'ennui, la difficulté se contrôler.
On trouve généralement trois raisons à la procrastination : – la tâche n'est pas plaisante ou n'est pas intéressante ; – vous craignez d'échouer ; – vous ne savez pas par où commencer.
Si la procrastination n'est pas un trouble en tant que tel, elle peut en revanche être une conséquence de l'anxiété, d'un perfectionnisme excessif, d'un manque de confiance en soi, de l'hyperactivité, du refus de l'autorité, d'une difficulté à prendre des décisions, d'une tendance à la dispersion ou à l'évitement des ...
L'art de la procrastination permet de retarder l'anxiété et le stress, et d'en diminuer le temps d'action sur l'organisme.
Une personne qui remet tout au lendemain est appelée un procrastinateur ou une procrastinatrice.
Une personne qui remet tout au lendemain est appelée un procrastinateur. Au féminin, on peut utiliser le terme procrastinatrice.
Soyez clair et précis dans vos demandes : Les procrastinateurs peuvent avoir du mal à se concentrer sur les tâches et à les prioriser. Vos instructions seront claires et précises sur ce qu'ils doivent faire, quand ils doivent le faire et comment ils doivent le faire.
La procrastination est associée à toute une série de dangers et d'effets négatifs, notamment de mauvais résultats scolaires, une mauvaise situation financière, des problèmes accrus de relations interpersonnelles, une diminution du bien-être et une dégradation de la santé mentale et physique.
Remettre à plus tard ce que l'on pourrait faire tout de suite ; la procrastination. Tout le monde est concerné, à un niveau plus ou moins élevé, mais qui ne s'est jamais dit « pfffff, pas envie de le faire maintenant, je verrais ça demain ».
La procrastination peut être due à différents facteurs. Parmi eux : la mauvaise gestion du temps, la mauvaise estime de soi, le manque de concentration, le manque d'intérêt/motivation, le stress, la peur de l'échec, la peur du jugement ou encore le perfectionnisme.
Votre absence de réussite est souvent liée à votre manque d'effort. Lorsqu'une tâche vous est confiée, vous imaginez à l'avance à quel point vous pourrez la réaliser à la perfection. Vous avez tendance à fantasmer sur le futur travail à rendre : "il faut qu'il soit comme ci... comme ça".
La procrastination est l'habitude de reporter inutilement à plus tard des tâches ou des activités. Cette habitude peut avoir des conséquences négatives sur vos résultats scolaires, mais aussi sur la qualité de votre formation et sur votre bien-être.
Une autre cause qui peut être à l'origine de la procrastination est la peur de perdre le contrôle. Le procrastinateur a envie d'avoir le pouvoir décisionnel sur les tâches à accomplir : c'est lui qui doit pouvoir décider comment et quand s'en occuper. Le manque de motivation peut aussi expliquer la procrastination.
Le fait de toujours faire les choses au dernier moment est donc une forme de procrastination, provoquer par le manque de dopamine, qui entraîne un manque de motivation. Le manque d'organisation va être un paramètre à ne pas négliger, car il peut lui aussi être à l'origine de ce mécanisme.
À cause de la procrastination, nous perdons du temps que nous pourrions consacrer à quelque chose d'utile. Si l'on parvient à la vaincre, on devient alors capable de réaliser plus de choses et on exploite mieux le potentiel de notre vie.
Alors j'ai un scoop pour toi : tu es un être humain. Eh oui. Procrastiner est un comportement tout à fait normal qui trouve son explication dans le fonctionnement de notre cerveau.
Mais pourquoi certaines personnes atteintes du TDAH ont-elles du mal à se conformer aux activités liées à la gestion du temps et continuent-elles à faire l'expérience de la procrastination au quotidien ? Cela a quelque chose à voir avec la capacité du cerveau à maintenir correctement un bon fonctionnement exécutif.
Le « retardataire chronique », appelé procrastinateur, n'arrive pas à se « mettre au travail », surtout lorsque cela ne lui procure pas de satisfaction immédiate.
Autre point : on sait que le cerveau retient mieux lorsqu'il est bien reposé, mais aussi qu'il “révise” ses informations pendant la nuit. Une bonne façon de mémoriser une leçon consiste donc à la lire le soir avant de se coucher.
Les neurones ont besoin d'oxygène et de glucose pour fonctionner. Il est recommandé de les nourrir en acides gras et en glucides complexes, de boire beaucoup, mais aussi de pratiquer trois fois par semaine un exercice physique d'intensité moyenne (vélo, jogging, marche...), à raison de trente minutes par séance.
Un « retardataire chronique », appelé procrastinateur, n'arrive pas à se mettre à la tâche surtout lorsque cela ne lui procure pas une satisfaction immédiate.
Prendre du temps pour soi, se ressourcer et se détendre améliore ses relations avec son entourage. Ces moments apportent aussi un meilleur rapport avec ses propres émotions. Durant ces périodes de détente, l'esprit se libère de tous les soucis quotidiens pour se concentrer sur l'activité et le calme du moment présent.