Le 9 janvier , le vol Sriwijaya Air 182 s'écrase en mer de Java peu après son décollage de Jakarta (Indonésie) entraînant la mort des 62 personnes à bord.
Malgré la récupération des deux boîtes noires, le mystère demeure sur la cause de l'accident du Boeing 737-800 du vol MU5735 de China Eastern, qui s'est écrasé le 21 mars dernier dans l'est de la Chine, tuant les 132 personnes à bord. Voici ce que l'on sait, un mois après.
Selon les statistiques de l'université de Greenwich, les places à éviter absolument sont celles. Les passagers y ont 49% de chance de survivre à un crash. A l'inverse, les passagers se trouvant sur les sièges à l'arrière ont 69% de chance de rester en vie en cas d'incident.
Cette année, c'est la compagnie aérienne néo-zélandaise Air New Zeland qui prend la tête de ce classement grâce notamment au « nombre d'innovations dans le poste de pilotage, de la formation des pilotes et du très faible âge de sa flotte », ainsi que d'un très faible taux d'accidents.
Selon le dernier classement JACDEC sur la sécurité des 60 plus importantes compagnies aériennes (en termes de trafic), Air France pointe seulement à la 42ème place. L'organisme souligne toutefois que c'est la valeur de l'indice qui caractérise son niveau de sécurité, plus que son rang dans le classement.
Oui, il est possible de survivre à un accident en plein air. Vous aurez à peu près 3 minutes avant de toucher le sol en tombant d'un avion en plein vol.
L'erreur de pilotage est la cause principale de 57% des accidents mortels. Il peut s'agir par exemple d'un manque de carburant, d'une erreur de piste d'atterrissage, d'une descente prématurée.
Elles peuvent venir directement du comportement du pilote (stress, manque de concentration, fatigue, maladie, malaise, incapacité…), de sa réaction inadaptée face à une situation inattendue, du manque de préparation ou de formation, d'erreurs de jugement, le non-respect des procédures ou de problèmes de communication ( ...
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
Il existe plusieurs degrés d'aviophobie, de l'anxiété modérée à la panique totale. Certaines personnes souffrant d'aviophobie ressentiront une forte appréhension qui commencera plusieurs jours avant le voyage puis qui sera à son apogée lors du décollage.
Le vol par temps orageux génère souvent des turbulences anxiogènes à bord des avions. C'est surtout en phase de décollage et d'atterrissage que les nuages peuvent créer des turbulences mais, en altitude de croisière, un avion de ligne vole la plupart du temps au-dessus de la zone orageuse.
Un avion ne peut pas tomber comme une pierre. S'il perdait ses moteurs, ou s'il était en panne d'essence, il pourrait planer plus d'une demi-heure sur plusieurs centaines de kilomètres !
personnes ayant souffert récemment de troubles psychiatriques ; personnes souffrant de drépanocytose (selon avis du médein traitant) ; personnes ayant pratiqué la plongée sous-marine dans les 24 heures précédant le décollage ou ayant été victime d'un accident de décompression.
L'écrasement du vol 123 de la Japan Airlines, le 12 août 1985, est considéré comme le pire accident aérien de l'histoire impliquant un seul appareil. L'événement, qui fait 520 morts, est d'autant plus tragique qu'il est le résultat d'un problème mécanique connu par l'entreprise.
N'ayez pas peur des turbulences
Si cela peut s'avérer très désagréable, ce n'est en fait pas dangereux. La turbulence n'est rien de plus que le mouvement de votre avion sur les vagues d'air. Cela se produit principalement au décollage et à l'atterrissage ; la différence de température est à l'origine de la turbulence.
En effet, selon une étude du magazine américain Popular Mechanics, qui a examiné des dizaines de crashs d'avions commerciaux aux États-Unis depuis 1971, les passagers assis à l'arrière ont 40% de chances en plus d'y réchapper par rapport aux passagers situés dans les premières rangées à l'avant.
Sur base de ces données, ses membres sont arrivés à la conclusion que les personnes installées à l'avant de l'appareil ont 49% de chances de survivre à un accident.
Les scientifiques ont conclu que les personnes les plus éloignées du cockpit avaient 78 % de chance de survie ! Selon l'étude menée en 2007 par Popular Mechanics, les chances de survie des personnes se trouvant assises sur les sièges placés à côté du flanc arrière des ailes atteindraient 69 %.
"Le 16 décembre 2021, le Conseil d'Administration d'Air France-KLM a pris des décisions reflétant l'ambition du Groupe d'améliorer sa performance économique et environnementale à travers l'utilisation d'appareils de dernière génération", justifie l'entreprise. L'argument écologique est particulièrement mis en avant.