La timidité chez une personne peut provoquer de la tension et de l'anxiété face à l'appréhension d'un résultat potentiellement négatif (échec d'une prestation orale, jugement négatif lors des nouvelles rencontres).
Souvent la timidité est vue comme un défaut. Si elle entraîne parfois une gêne importante, et peut contrarier notre quotidien, les choses ne sont pas si tranchées… Elle provoque en fait chez les autres des réactions très diverses, pas seulement négatives !
La timidité est la réaction qu'on ressent face au regard de l'autre, quand on a peur de ne pas faire bonne impression, de donner une bonne image de soi. La timidité est liée au regard de l'autre dans des situations nouvelles, ou avec un enjeu nouveau.
La timidité est cette gêne et cet embarras que l'on ressent face aux autres avant même ou dès que les regards sont braqués sur nous. C'est cette tendance habituelle à se tenir en retrait, à se montrer aussi discret que possible, passer inaperçu, et cette difficulté d'oser…
A la croisée des chemins entre l'anxiété, la timidité et l'introvertisme, l'anxiété sociale est à la fois un trouble à part et un savant mélange des trois. Laurie Hawkes, psychothérapeute, nous guide pour mieux comprendre les subtilités de l'anxiété sociale.
Le bleuet est symbole de timidité et d'humilité. C'est donc une fleur à offrir à une femme d'une grande humilité ; il peut, en outre, dévoiler la timidité de celui qui l'offre.
Le psychologue ou le psychothérapeute pourra aider une personne timide à explorer les sources de son malaise en société, la soutenir dans ce qu'elle vit et l'amener à changer ses perceptions et ses comportements.
Lorsque la timidité devient une angoisse quotidienne au point de modifier la personnalité de la personne, elle devient ce qu'on appelle une timidité maladive.
Pourquoi les femmes n'aiment pas les hommes timides
Parce qu'elles ont besoin de sentir que leur homme peut se gérer tout seul. Et même si elles sont fortes et indépendantes, elles veulent aussi la certitude qu'elles pourront compter sur lui (pour les défendre ou les aider en cas de soucis).
On ne naît pas timide ou complexé, on le devient. Toutefois, on repère un point commun : c'est à partir des péripéties de la relation aux parents qu'ont surgi les éléments ayant donné lieu à ce manque de confiance en soi.
Contraire : assuré, audacieux, cynique, décidé, désinvolte, dynamique, effronté, entreprenant, fanfaron, fier, hardi, impertinent, impudent, insolent, intrépide, résolu. – Familier : crâneur.
La timidité n'est pas héréditaire, même si, fréquemment, les parents d'un timide le sont aussi. Les attitudes des parents peuvent renforcer une timidité naissante. En effet, les enfants ont généralement tendance à reproduire la méfiance à l'égard d'autrui qu'ils observent chez leur père ou leur mère.
Lorsque les hommes timides tentent de cacher leur grande curiosité, ils ont tendance à en faire trop. Comme il est intimidant d'aborder une femme, ils font tout pour avoir l'air de ne pas s'intéresser à elle. Cependant, comme le langage corporel ne ment pas, vous remarquerez quelques indicateurs subtils.
Apprenez à vous exprimer.
Une autre étape importante consiste à apprendre à verbaliser vos pensées et vos idées. Les timides ont fréquemment l'impression qu'ils n'ont rien de valable à dire, mais ce n'est pas vrai ! Commencez par partager vos idées dans un petit groupe avant de passer à des groupes plus influents.
Des chercheurs américains viennent découvrir une zone du cerveau qui expliquerait en partie la timidité. Mais pour beaucoup de spécialistes, la « phobie sociale » est favorisée par l'éducation et peut se soigner avec succès.
Vaincre sa timidité en amour, c'est aussi accepter le regard aimant de l'autre. "Cela revient à apprendre à faire un pas vers l'autre et accepter qu'il peut être sincère, qu'il dit vrai lorsqu'il valorise. C'est aussi commencer à regarder ses qualités, les laisser exister aux yeux de l'autre, accepter d'être vu.
S'exposer progressivement aux situations anxiogènes
D'où la nécessité de se lancer des petits défis, au départ à deux si c'est plus facile: aborder quelqu'un en soirée, partager la table de collègues qui nous intimident, accepter une invitation ou en lancer une, etc.
Des troubles émotionnels vécus dans le passé, des situations stressantes au sein d'un groupe, etc., beaucoup de causes peuvent être à l'origine de cette peur des gens, mais ces causes sont souvent bien dissimulées et enfouies, ne laissant dépasser que l'iceberg de la peur obsessionnelle des autres.