Les changements organisationnels sont associés à l'expérience de conditions de travail stressantes, l'incertitude et l'anxiété. Ils peuvent à la fois engendrer du stress et un impact négatif sur le bien-être physique et psychologique des employés.
Les risques les plus communs pour un projet de changement en dehors des risques liés à l'objet de changement lui-même sont : le risque de rejet du projet, le risque de dysfonctionnements organisationnels, le risque de manque d'information, le risque d'incompréhension, le risque de conflit social et le risque de choc ...
Le changement du point de vue de l'individu
Le changement va donc déclencher ou réactiver chez de nombreuses personnes des émotions telle que la peur, la colère ou la tristesse, et donc bien sûr de résistances qui ne sont pas forcément en lien avec la réalité.
Le principal enjeu de la conduite du changement se situe au niveau humain. Le changement, quel qu'il soit, est en effet difficile à accepter à tous les niveaux de l'entreprise.
Les salariés sont censés ne pas avoir changé d'entreprise. Tous les éléments des contrats de travail sont transférés au nouvel employeur. La qualification professionnelle est maintenue ainsi que les salaires et les primes éventuelles.
Ce qui importe dans le changement, c'est la manière de l'anticiper et d'y réagir. Le changement peut nous apprendre à nous adapter, il peut nous aider à faire preuve de résilience, mais seulement si nous comprenons notre propre capacité à évoluer et à apprendre.
Instaurer le dialogue
prêtez une oreille attentive à leurs doutes ou protestations. Invitez-les à vous en faire part au lieu de les garder pour eux. Montrez-leur que vous êtes prêt à les soutenir pendant cette période de transition, où ils devront se familiariser avec de nouvelles habitudes.
Conduite du changement : objectifs et enjeux-clés
Réussir à maîtriser le facteur humain et impliquer tous les collaborateurs ; Limiter les impacts négatifs, gérer les résistances ; Motiver les collaborateurs, les former lorsque c'est nécessaire ; Inscrire durablement le changement opéré.
La réticence face au changement survient simplement parce que le changement représente souvent l'inconnu, un manque de sécurité et la perturbation de tout type de routine. D'un point de vue psychologique, il manque une compréhension de ce qui motive réellement les gens à changer.
les risques de transition : ce sont les impacts financiers incertains (positifs et négatifs) qui résultent des effets de la mise en place d'un modèle économique bas-carbone sur les acteurs économiques.
Les changements organisationnels sont associés à l'expérience de conditions de travail stressantes, l'incertitude et l'anxiété. Ils peuvent à la fois engendrer du stress et un impact négatif sur le bien-être physique et psychologique des employés.
Ce modèle, proposé à la fin des années 1970 et appelé modèle transthéorique du changement , inclut cinq étapes : la précontemplation (ou l'inaction), la contemplation (ou la prise de conscience), la préparation, l'action et le maintien. À l'étape de la précontemplation, la personne ne songe pas à faire de changement.
La courbe du changement d'Elizabeth Kübler-Ross est également une stratégie très efficace lorsque vous recherchez une méthodologie de conduite du changement. Selon elle, une entreprise est en mesure de mieux se préparer au changement lorsque les réactions du personnel sont anticipées.
Faciliter le changement c'est accompagner les individus pour les rendre acteurs et leur permettre de contribuer à prendre ce tournant dans un climat apaisé et efficace. Dans un contexte de changement, les aspects techniques sont souvent prioritaires au détriment des préoccupations humaines.
Accepter que le problème vient de soi est une étape essentielle pour lutter contre sa peur du changement. Savoir identifier les excuses, et les résistances psychologiques de sa peur permet de mettre en place le changement nécessaire à l'accès au bonheur.
Vous avez la possibilité de remédier à cela lors des négociations contractuelles en prévoyant une clause d'ancienneté conventionnelle. Vous convenez dans ce cas avec votre nouvel employeur d'adopter une ancienneté déterminée dans votre contrat. Ce type de clause est parfaitement valable.
Toute modification unilatérale du salaire par l'employeur constitue une modification du contrat de travail. La rémunération du salarié ne peut être modifiée par l'employeur sans l'accord du salarié : sachez que le salarié peut refuser cette baisse, et que cela ne constitue pas une faute.
⚠️ Attention : en cas de démission ou d'abandon de poste, le solde de tout compte doit être remis au salarié, mais ce dernier n'a pas le droit de bénéficier d'indemnités de rupture de contrat puisque c'est lui qui est à l'initiative de la rupture.