La discopathie est responsable de douleurs de la nuque ou du dos, suivant l'étage vertébral touché. "Dans certains cas, elle peut se transformer en hernie discale et entraîner une compression des racines nerveuses.
Une discopathie peut affecter un ou plusieurs disques. En outre, le disque L5 et S1 est le plus souvent touché. C'est également l'une des maladies les plus courantes affectant la colonne vertébrale ! Si la discopathie est sévère, elle peut également favoriser l'apparition d'arthrose.
un déficit moteur au niveau des jambes et/ou des pieds, entraînant des difficultés à marcher voire une claudication neurogène (sensation de fatigue et/ou de fourmillement au niveau des jambes au bout d'un certain temps de marche, nécessitant de s'arrêter et/ou de s'asseoir).
La discopathie peut être prévenue en pratiquant une activité physique, garante d'une bonne musculature du dos, mais également en ne fumant pas. "Il faudra veiller à adapter son poste de travail, l'assise, les gestes répétitifs, la position des écran (notamment pour le rachis cervical", conclut le Dr Queinnec.
Lorsque les douleurs de discopathie persistent à un niveau qui limite les activités de la vie quotidienne malgré un traitement médical (antalgiques, anti-inflammatoire, infiltrations) et une rééducation bien conduite, on peut envisager un traitement chirurgical.
La discopathie est le plus souvent d'origine dégénérative : c'est l'arthrose vertébrale, une pathologie très fréquente en raison des sollicitations mécaniques quotidiennes que subit le rachis, et fortement corrélée à l'âge.
"En cas de discopathie dégénérative, le disque se pince et du coup les vertèbres sont un peu plus les unes contre les autres. Et à l'arrière de la vertèbre, il y a aussi des articulations et notamment deux de chaque côté qui elles du coup, se retrouvent intriquées l'une dans l'autre.
On parle de discopathie (disco = disque, pathie = maladie) protrusive en cas de hernie discale et de discopathie dégénérative (ou bien de discarthrose) en cas d'arthrose discale. La hernie discale est une des conséquences possibles de la détérioration d'un disque.
Toute douleur du dos ne nécessite évidemment pas un traitement chirurgical. Dans la majorité des cas d'atteinte dégénérative, comme par exemple la discopathie dégénérative, il est utile de débuter par un traitement dit conservateur. Seules quelques situations particulières nécessitent une prise en charge chirurgicale.
La position idéale pour ceux qui souffrent de maux de dos est de dormir sur le côté, c'est-à-dire dans la position fœtale classique. Cette position est excellente car elle maintient les courbes naturelles de la colonne vertébrale.
La marche à pied et ses variantes comme la marche nordique ou la randonnée sont particulièrement indiquées en cas de mal de dos. "Ces activités permettent de muscler le dos et renforcer les muscles de la posture tout en gardant bien les courbures physiologiques de la colonne vertébrale, précise notre spécialiste.
► Une discopathie est une lésion du disque intervertébral situé entre deux vertèbres du rachis ou colonne vertébrale. ► Une discopathie L5-S1 se manifeste par des douleurs en barre, qui irradient, en ceinture en bas du dos. ► La prise d'anti-inflammatoires permet de soulager les douleurs.
Pour certaines personnes, la discopathie dégénérative fait partie du vieillissement naturel. Lorsque nous avançons en âge, nos disques intervertébraux peuvent perdre de leur flexibilité, de leur élasticité et de leur résistance aux chocs.
Depuis le 15 février 1999, le mal de dos est reconnu maladie professionnelle dans certaines conditions très strictes : affections chroniques de la colonne vertébrale provoquées par des travaux exposant soit aux vibrations le corps entier (conducteurs de tracteurs ou de poids lourds par exemple) (cf.
La fonction de commercial peut également être viable, sous condition que les trajets en voiture soient réduits. Les métiers liés à Internet, réalisables à domicile, peuvent aussi séduire : rédacteur, traducteur, graphiste, blogueur, coach, etc.
Les patients ayant des douleurs au cou ou au dos associées à la discopathie dégénérative ne doivent pas tous subir une intervention chirurgicale. En fait, la plupart soulagent leurs symptômes par des traitements non chirurgicaux, comme l'exercice physique, les médicaments, la physiothérapie et les soins chiropratiques.
Le pincement discal est quelque chose de très fréquent. Il s'agit d'un disque situé entre les vertèbres et servant normalement d'amortisseur qui a tendance à s'écraser, se pincer; devenir plus fin. Tout d'abord, le pincement n'entraîne pas spécialement de problème par lui-même.
Toutes les tumeurs ne sont pas opérables. Mais si l'opération est possible, il faut intervenir vite en cas d'atteinte neurologique. Si le risque de fracture est important, une vertébroplastie (injection d'un ciment dans une vertèbre fragilisée) peut être réalisée.
Le taux d'invalidité retenu est de 15%.
Douleur nerveuse par distraction exagérée lors de l'ouverture des plateaux vertébraux qui provoquent une tension excessive sur les racines. Lésions digestives : exceptionnelles, les brèches péritonéales sont facilement suturée. Risque d'éventration par faiblesse de la paroi abdominale suturée.
Le mal de dos n'est pas une fatalité. Vous pouvez le prévenir ou empêcher que la douleur ne s'installe. Le vélo renforce la sangle abdominale, les muscles du dos et allège le poids sur la colonne vertébrale.
Du sport pour muscler son dos
Un programme régulier et soutenu est nécessaire pour raffermir les muscles dorsaux mais aussi les abdominaux, les fessiers et les quadriceps. Évitez les sports qui sollicitent trop le dos comme la course à pied.