prolifération des nuisibles et des maladies. perte de la biodiversité en raison de la capacité et de la vitesse d'adaptation limitées de la faune et de la flore. acidification des océans due aux concentrations de HCO3 élevées dans l'eau en raison de la hausse des concentrations de CO.
Les populations, les biens et les activités humaines des territoires (enjeux) sont soumis à de nombreux aléas climatiques (inondation ou submersion marine, tempête ou cyclone, mouvements de terrain, érosion côtière, feu de forêt, avalanche) qui génèrent des risques climatiques sur les biens et personnes.
Les principales conséquences sont la diminution de la disponibilité en eau et des rendements des cultures, l'augmentation des risques de sécheresses et de perte de biodiversité, les incendies de forêt et les vagues de chaleur.
Quelles sont les causes du réchauffement climatique actuel ? Le réchauffement climatique actuel est dû aux activités humaines. Les 4 causes principales sont la production d'énergie, l'industrie, les transports et l'agriculture.
Les cyclones sont de plus en plus intenses et la montée des eaux menace fortement les habitats et infrastructures. Les écosystèmes, particulièrement riches, sont également en grand danger : au-dessus de +1,5°C, les coraux dépériront, avec de graves conséquences sur l'accès à l'alimentation dans certains territoires.
un ralentissement de la croissance économique et de la réduction de la pauvreté, une érosion de la sécurité alimentaire.
L'effet de serre est déséquilibré par les activités humaines, en particulier l'utilisation des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon). Celles-ci provoquent artificiellement l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et, par conséquent, accentuent le réchauffement de notre planète.
Le CO2 produit par les activités humaines est la principale cause du réchauffement climatique. En 2020, sa concentration dans l'atmosphère était passée à 48 % au-dessus de son niveau préindustriel (avant 1750). D'autres gaz à effet de serre sont émis par les activités humaines en moindres quantités.
Un des changements observables est la dégradation de l'environnement, c'est-à-dire la pollution de l'eau, de l'air, des milieux naturels, etc. Elle est due à de multiples causes, les plus importantes étant l'augmentation de la population, l'augmentation des activités industrielles et la surconsommation.
Le changement climatique menace d'extinction près d'un cinquième des espèces animales. Le constat de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) ne prête plus à confusion. 41 % des amphibiens, 13 % des oiseaux et 27 % des mammifères se trouvent sur la liste rouge des espèces en péril.
Pollution de l'air, de l'eau, des sols, nuisances sonores, destruction de la biodiversité… les répercutions de l'activité humaine sont diverses. En plus de dégrader l'environnement, l'activité humaine dégrade la vie quotidienne des hommes eux mêmes.
Une augmentation des gaz à effet de serre suite aux activités de l'homme piège une partie de ce rayonnement, ce qui provoque une hausse de la température des surfaces jusqu'à trouver un nouvel équilibre. C'est la cause principale du réchauffement climatique observé ces dernières décennies.
Les risques technologiques, d'origine anthropique, sont au nombre de quatre : le risque nucléaire, le risque industriel, le risque de transport de matières dangereuses et le risque de rupture de barrage.
Les risques climatiques physiques sont qualifiés d'aigus quand ils découlent d'événements extrêmes (sécheresses, inondations, tempêtes...) et de chronique lorsqu'ils résultent de changements graduels (hausse des températures, élévation du niveau de la mer, stress, hydrique...)
La pollution, y compris l'utilisation de produits chimiques, de combustibles fossiles et de plastiques, perturbe les écosystèmes de la Terre et, ce faisant, nuit aux espèces et les force à modifier leurs habitudes.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).
On peut néanmoins conclure que, dans le monde entier, les systèmes naturels sont touchés par les changements du climat régional, en particulier par la hausse des températures, et que ce réchauffement est très probablement dû aux émissions de gaz à effet de serre d'origine anthropique.
Le changement global est une réalité mondiale, et les risques naturels sont aggravés par l'activité humaine. La déforestation, par exemple favorise les risques de crue. Lorsque les arbres sont coupés, ils ne peuvent plus limiter l'écoulements des eaux de pluie, qui vont alors gonfler les cours d'eaux.
L'augmentation de la température sur les terres émergées est environ le double de l'augmentation moyenne mondiale et entraîne l'expansion des déserts ainsi que des vagues de chaleur et des feux de forêt plus fréquents.
Les recherches scientifiques montrent que le changement climatique augmente de jour en jour et constitue une menace pour l'humanité. Les rapports du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) avertissent que le changement climatique est en « alerte rouge » pour l'humanité.
L'effet de serre est un phénomène naturel par lequel les gaz naturellement présents dans l'atmosphère (principalement la vapeur d'eau) retiennent une partie de la chaleur émise par notre planète.
Le réchauffement atteindra 1,5°C dès 2030-2035
Le réchauffement climatique atteindra 1,5°C par rapport à l'ère pré-industrielle dès les années 2030-2035, prévient le Giec, alors que la température a déjà grimpé de près de 1,2°C en moyenne.