La Terre est confrontée à une « triple crise planétaire » : le dérèglement climatique, la perte de nature et de biodiversité, et la pollution et les déchets. « Cette triple crise menace le bien-être et la survie de millions de personnes dans le monde.
La pollution de l'air :
La pollution de l'air participe grandement à la pollution de la planète. Elle est principalement due à la calcination de combustibles fossiles comme le charbon, le pétrole et gaz.
Imperméabilisation, érosion, baisse des teneurs en matière organique, contamination, tassement, salinisation, acidification…
Les principales causes de dégradation des sols sont anthropiques : agriculture intensive, déforestation, surpâturage, pollution industrielle, irrigation… Et cette dégradation risque de s'aggraver si rien n'évolue dans les pratiques agricoles et environnementales.
Selon cette association, les trois secteurs qui polluent le plus sont les transports, les bâtiments (avec la climatisation et le chauffage), l'agriculture et l'exploitation des forêts.
Les trois pays les plus gros émetteurs de CO2 sont donc : La Chine responsable à hauteur de 32.9% des émissions de CO2, en grande partie dues à l'exportation de biens de consommation et à sa forte dépendance au charbon ; Les États-Unis responsables à hauteur de 12.6% ; L'Inde responsable à hauteur de 7.0%.
La plus grande menace pour la sécurité mondiale : Le changement climatique n'est pas seulement un problème ecologique.
CO2, nucléaire, plastique, pesticides menacent la survie de l'Humanité. Il existe un lien entre ces quatre fléaux que l'on pourrait maîtriser.
menacée par l'homme ! Actuellement, l'homme a un effet plutôt destructeur sur la nature : il rase des forêts, construit des routes, utilise des produits chimiques qui tuent massivement certains insectes, pêche plus que nos océans ne le permettent… La biodiversité souffre de ces activités et décline fortement.
La biodiversité est confrontée à de nombreuses pressions : artificialisation des sols, fragmentation des milieux naturels, changement climatique, pollutions chimique et lumineuse, etc.
L'accumulation du dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère contribue pour 2/3 de l'augmentation de l'effet de serre induite par les activités humaines (combustion de gaz, de pétrole, déforestation, cimenteries, etc.).
En raison de la surpêche, de la déforestation, de la destruction des habitats, de la pollution et d'autres facteurs, un plus grand nombre de plantes et d'animaux sont en voie d'extinction. Même la moindre perturbation d'un écosystème peut avoir un effet domino qui nous affecte tous.
C'est certainement celle produite par les déchets de l'industrie nucléaire. Ces déchets sont produits par les centrales nucléaires qui fournissent la plus grande partie de notre électricité.
Les principales conséquences sont la diminution de la disponibilité en eau et des rendements des cultures, l'augmentation des risques de sécheresses et de perte de biodiversité, les incendies de forêt et les vagues de chaleur.
La chute de ces indicateurs est bien sûr liée à la montée structurelle des températures qui, en 2050, seront entre 1,6 et 1,9 °C plus élevées que celles qui y étaient relevées durant la période 1976-2005.
Effectivement, non seulement la Terre se réchauffe mais elle se réchauffe à vitesse grand V, c'est-à-dire en quelques centaines d'années et non comme avant, c'est-à-dire progressivement sur quelques milliers d'années. Comparons l'énergie solaire reçue par la Terre et la température moyenne à la surface du globe.
Métaux, engrais et pesticides.
Le rejet des déchets
L'augmentation des déchets domestiques ou industriels rejetés par l'homme modifie les milieux et les rend parfois impropres à la vie. La diversité des espèces animales et végétales s'en trouve diminuée. La France produit chaque année 580 millions de tonnes de déchets.
Le rapport révèle que les principales sources anthropiques de pollution des sols sont les produits chimiques utilisés ou produits comme sous-produits des activités industrielles, les déchets domestiques, animaux et municipaux (y compris les eaux usées), les produits agro-chimiques et les produits dérivés du pétrole.