Aujourd'hui, les employeurs ne sont pas en écoute très active des candidats qu'ils rencontrent. Ils ne répondent pas aux attentes des talents qu'ils souhaitent recruter, au risque de les perdre : proposition de rémunération trop juste, pas de télétravail, pas de flexibilité dans l'organisation de travail, …
Quels sont les facteurs qui influencent le recrutement ?
Le taux de chômage est l'un des facteurs externes qui influencent la stratégie de recrutement de nombreuses organisations. Lorsque le nombre de personnes non qualifiées est trop important, il est difficile d'attirer et de retenir les bonnes personnes.
Comment expliquer les difficultés de recrutement ?
Des conditions de travail ou de salaire trop dégradées pour attirer des candidats. Des désajustements temporels, lorsque les employeurs renouvellent fortement leur main-d'œuvre et que les entreprises se retrouvent en concurrence entre elles parce qu'elles cherchent à recruter les mêmes demandeurs d'emploi.
Le stress et la pression en milieu professionnel sont de plus en plus aigues et se traduisent par des sensations de fatigue, de l'irritabilité, un épuisement physique et psychique face à des tâches à réaliser se présentant souvent comme insurmontables.
La réactivité plébiscitée par les entreprises clientes
La réactivité du cabinet est le premier des trois critères principaux influant sur le choix d'un cabinet ; preuve s'il en est qu'une fois exprimés et validés en interne les besoins de recrutements, ces derniers s'opèrent toujours dans une certaine urgence.
Erreurs de casting coûteuses, mauvaise utilisation des ressources internes (humaines ou financières), postes vacants par défaut de candidats… les risques liés au recrutement sont importants. La bonne nouvelle, c'est qu'il existe des solutions pour les éviter !
Quelles sont les conséquences d'un mauvais recrutement ?
Démotivées et surchargées de travail, les équipes perdent en productivité. Les objectifs ne sont pas atteints et la qualité du travail peut être impactée. Les performances de l'entreprise sont donc altérées, ce qui influe directement sur le chiffre d'affaires et l'insatisfaction des clients notamment.
Quelles sont les causes et les conséquences de l'échec ?
Les conséquences d'une telle dévalorisation sont nettes au niveau affectif : cela provoque des sentiments de menace et d'insécurité. L'échec est également source de comportements significatifs. Il favorise les comportements de tricherie, ou antisocial.
Les mauvaises conditions de travail qui rebutent le plus les actifs, selon les employeurs interrogés, sont à la fois physiques et psycho-sociales. D'un côté, les postes qui impliquent des “charges lourdes, du bruit, un travail répétitif, des agents chimiques dangereux, etc.” peinent fortement à recruter.
Les principales raisons évoquées sont par ordre d'importance : Le manque de temps (55%) Un manque d'intérêt « ça ne m'intéresse pas » (47%) Un manque d'information sur les formations (36%)
La cooptation : votre meilleur outil de recrutement.
En effet, la cooptation est sûrement la meilleure méthode de sourcing de candidats. Elle permet une économie de diffusion sur vos offres, mais surtout de trouver des candidats qui partagent les valeurs de l'entreprise.
La pénurie de talents est aussi liée à la forte dynamique du marché du travail. Le turn-over génère plus d'opportunités, donc de nouveaux départs. C'est un peu un cercle vicieux, ou vertueux, selon la perspective de l'employeur ou du candidat.
Pour 58 % des cas, ces difficultés sont liées à un nombre insuffisant de candidats, 71 % à un profil inadéquat des candidats, 33 % aux conditions de travail, 23 % à un déficit d'image, 17 % un manque de moyens financiers et pour 15 % des cas, les difficultés de recrutements sont liées à l'accès au lieu de travail.