Amputation d'un doigt
Le doigt étant la partie du corps la plus richement innervée, son amputation sans anesthésie provoque une douleur très intense. D'autant que la victime souffre souvent ensuite des douleurs dites du « membre fantôme ».
Douleur irradiante : douleur qui diffuse en rayons à partir d'un point de plus forte intensité. Douleur lancinante : douleur ressentie sous forme d'élancements aigus. Douleur pongitive : douleur semblable à celle que provoquerait une pointe en pénétrant profondément.
La relaxation
Ainsi, la sophrologie, une technique de relaxation qui associe respiration, décontraction musculaire et visualisation, peut soulager de nombreux troubles et peut donc avoir sa place dans le traitement des douleurs chroniques.
Quand une douleur chronique résiste à tout traitement, il reste une solution : les thérapies « psychologiques », comme la méditation, qui apprennent au patient à vivre différemment avec la douleur pour ne plus la subir.
Quand la douleur persiste, ces réactions s'épuisent, et le stress se chronicise : les troubles du caractère, la fatigue, la perte d'envie, la perte d'énergie s'installent. L'inactivité physique, le retrait de la vie professionnelle et sociale, la perte de contact avec ses amis dépriment la personne souffrante.
Le curcuma, anti-inflammatoire à tout faire
Cette racine épicée est la star des anti-inflammatoires naturels. Il est principalement utilisé pour calmer les douleurs articulaires ou les inflammations de la muqueuse intestinale, mais il peut être employé pour toute douleur d'origine inflammatoire.
Les femmes, dans une phase du cycle caractérisée par un taux bas de progestérone et élevé d'œstrogènes, ont un seuil à la douleur comparable aux hommes. Le seuil à la douleur est par contre abaissé lors d'une phase avec un taux réduit d'œstrogènes.
Le cerveau peut moduler la façon dont la moelle épinière traite l'information douloureuse. Soit via un signal électrique, soit via des hormones comme l'ocytocine, dont la libération est coordonnée par trente neurones situés dans l'hypothalamus (notre image).
Les hypocondriaques sont des personnes angoissées par leur santé. Douleur musculaire, migraine et coupure les inquiètent, ils doutent des diagnostics des médecins et la proximité avec une personne malade leur est souvent insoutenable.
Le National Health Service, le système de santé publique britannique, a listé les pathologies les plus douloureuses pour le corps humain. La migraine, la sciatique, l'appendicite, la fracture osseuse ou encore l'attaque cardiaque: autant de pathologique provoquant des douleurs insupportables.
L'EVA mesure l'intensité de la douleur sur une échelle allant de 0 à 10 (ou parfois de 0 à 100). Une ligne horizontale (chez l'adulte) ou verticale (chez l'enfant) représente le score qui augmente.
Le bout des doigts de la main arrive largement en tête ! C'est un médecin allemand nommé Ernst Weber qui l'a montré dès 1834, en mesurant la plus petite distance perçue entre deux points de stimulation sur différentes parties du corps à l'aide d'une sorte de compas. A cet endroit, la sensibilité est de seulement 2mm.
La douleur est temporaire et progressive, elle n'est pas continue. Entre chaque contraction, il y a une pause pour permettre à la femme de relaxer et de refaire le plein d'énergie. Plus les contractions sont fortes, plus elles sont efficaces. Lors de l'accouchement, la douleur est normale.
Elle varie selon le contexte, l'humeur ou le passé du sujet. Sauf que là où la douleur d'un CDLC ne dépend que de la force de l'émetteur, il y a peut-être autant de douleurs qu'il y a d'accouchements.
En cause : une modification du circuit neuronal de la douleur, qui est alors « mémorisée » dans les neurones. La douleur se propage de neurone en neurone le long d'un circuit. Parfois, elle s'imprime durablement dans ces cellules, engendrant alors une douleur chronique.
La douleur psychosomatique est bien réelle, c'est une véritable douleur qui est ressentie même s'il n'existe pas de causes physiques. Elle nécessite comme toute autre douleur une prise en charge spécifique. Les personnes qui sont submergées psychologiquement expriment leurs émotions à travers le corps.
Souffrir d'analgésie congénitale c'est ne pas ressentir de douleur lorsque l'on se fait mal. A première vue, cette maladie génétique présente des avantages.
Les femmes plus sensibles à la douleur que les hommes
Il semblerait que les hormones aient un impact direct : la testostérone, hormone mâle, diminuerait en effet la sensation de douleur des hommes.
Les hommes ne sont en moyenne absolument pas plus sensibles à la douleur que les femmes, affirme le spécialiste, professeur de biopsychologie à l'Université du Luxembourg. Au contraire : en parcourant la littérature sur ce sujet, les études et les statistiques, on se rend compte que c'est plutôt l'inverse.
Le manque de sommeil exacerbe la douleur, rendant ainsi le sommeil plus difficile. Un état de grande fatigue peut aussi abaisser votre seuil de tolérance à la douleur pendant le jour. La douleur peut sembler pire la nuit parce que rien ne vous distrait de celle-ci lorsque vous êtes au lit.
La banane suscite beaucoup d'intérêt chez les personnes atteintes d'arthrose. Effectivement, les fruits alcalinisants dont la banane participe au bon rétablissement de l'équilibre acido-basique dans l'organisme et d'autant plus au niveau du cartilage.