L'agriculture et l'agro-alimentaire. Le secteur du luxe. Les transports et la mobilité L'industrie du futur et la frenchfab.
L'environnement de travail de demain
Une transformation qui façonne le travail de demain. Les entreprises mettent aujourd'hui à disposition de leurs collaborateurs des technologies, des outils, des dispositifs de sécurité efficaces et un accès à des formations leur permettant de développer des compétences digitales.
L'Industrie du futur, c'est, en France, le nom d'un programme national en faveur de la modernisation de l'outil de production et de la transformation numérique des entreprises industrielles.
Résolument tournée vers l'avenir, l'industrie 4.0 est perçue comme l'industrie du futur. Pour ses promoteurs, l'industrie de demain reposera sur une utilisation et une intégration optimale des outils numériques au sein des différentes industries.
Notre histoire moderne comprend 4 révolutions industrielles. Ce sont des vagues d'industrialisation qui se succèdent et se propagent de pays en pays. Les deux premières sont liées à l'énergie, la troisième énergie et informatique et la dernière à la gestion de la Data.
Industrie 4.0 : définition et mise en œuvre vers l'usine de production connectée. Animée par l'émergence de nouvelles technologies, l'industrie 4.0 désigne une nouvelle génération d'usines connectées, robotisées et intelligentes.
Les enjeux pour une entreprise industrielle
Dynamiser l'innovation. Mobiliser les collaborateurs. Améliorer l'expérience, créer plus d'intimité clients. Gagner en traçabilité et efficacité
La « smart factory » – ou Usine 4.0 – vise à réaliser de nouveaux gains de compétitivité et à optimiser des consommations par l'efficacité énergétique. La production est notamment maximisée en fonction du coût de l'énergie et de sa disponibilité au cours d'une journée.
Les usines intelligentes sont les ateliers de production pour lesquels des technologies et des processus de pointe ont été adoptés (intelligence artificielle, Internet des objets - IoT, robotique, BIG DATA...).
Le monde du travail en 2050 sera certainement dominé par la technologie, l'intelligence artificielle et les assistants intelligents, tandis que la réalité augmentée ne cessera de gagner du terrain. Nous serons toujours plus connectés et nous manipulerons de grandes quantités de données.
Comment imaginer le travail du futur ? Si l'on en croit les résultats d'une étude menée par Citrix sur la thématique du travail du futur, les nouvelles technologies ne vont avoir de cesse de gagner du terrain. En 2025, 42% des métiers et 3 millions d'emplois pourraient être remplacés par des machines.
l'intelligence artificielle (IA), les applications blockchain, les nouvelles technologies de calcul (telles que l'informatique quantique), les réalités virtuelle et augmentée.
Les avantages
Cette transformation industrielle favorise l'automatisation et la connectivité au niveau interne des produits, mais aussi la mondialisation des modèles d'entreprise. La numérisation permet d'obtenir des informations plus rapidement et en temps réel.
Industrie est un terme polysémique recouvrant originellement la plupart des travaux humains. Il s'agit à présent de la production de biens grâce à la transformation des matières premières ou des matières ayant déjà subi une ou plusieurs transformations et de l'exploitation des sources d'énergie.
Le terme industrie 5.0 se rapporte à la coopération et aux interactions entre humains, robots et machines intelligentes. Il s'agit de robots qui aident les humains à travailler mieux et plus vite en tirant parti de technologies avancées comme l'Internet des objets (IoT) et les Big data.
La seconde révolution (l'industrie 2.0) se produit entre 1870 et 1914. Elle est plus connue sous le nom de révolution technologique. À cette époque, les avancées technologiques permettent une amélioration considérable des moyens de communication et de transport.
Industrie 3.0 – l'ordinateur fait son apparition
Depuis les années 1970, il est possible d'utiliser des composants électroniques dans des environnements industriels. La production a encore progressé grâce à l'automatisation par l'électronique, l'informatique et les automates programmables (PLC).
L'objectif consiste à engager l'usine ultra-connectée dans une dématérialisation des procédures, afin de permettre aux opérateurs de se concentrer sur des tâches à forte valeur ajoutée. Les enjeux sont d'accroître la productivité pour assurer au client un service toujours plus qualitatif.
Les enjeux de l'industrie
La digitalisation des processus, l'exigence d'un expérience client au bon niveau, la hausse de la pression concurrentielle et le développement des technologies obligent les groupes industriels à repenser leur process de production et à changer de paradigme.
Au niveau des inconvénients, il faut reconnaître que les métiers dans le secteur industriel sont en règle générale assez physiques. Ainsi, ils causent régulièrement de la fatigue et ils ne s'adressent pas à toutes celles et tous ceux qui cherchent un « job de planqué ».
Le concept d'industrie 4.0 (aussi appelée industrie du futur ou quatrième révolution industrielle) correspond à une nouvelle façon d'organiser les moyens de production.
Économistes et historiens s'accordent pour situer la première révolution industrielle à la fin du XVIIIe siècle au Royaume-Uni, précisément entre 1780 et 1810, avec l'extraction massive du charbon et l'exploitation de la machine à vapeur.
Elle impactera tous les métiers (ingénieurs, ouvriers, opérateurs de maintenance etc.) et le marché du travail. On assistera à une destruction créatrice d'emploi comme s'est passé durant les trois premières révolutions industrielles. Plusieurs emplois qui sont détruits et qui sont remplacés par de nouveaux.
Les usines vont remplacer les ateliers artisanaux et les manufactures. Le besoin en capitaux pour créer les entreprises est permis par le développement du capitalisme . Les ouvriers de l'industrie vont considérablement augmenter en nombre, et le travail des femmes et des enfants prend de l'importance.
Appelée aussi “industrie du futur”, l'industrie 4.0 allie objets réels et technologies numériques pour aboutir à des produits encore plus performants, grâce à une activité optimisée. Pour ce faire, elle fait appel aux robots, à l'impression 3D, à la réalité augmentée et, bien sûr, à l'intelligence artificielle.