Le problème majeur de l'agriculture américaine semble être celui de la surproduction. Mais cette agriculture est en fait vulnérable à court et à long terme pour différentes raisons et en particulier à cause de l'érosion constante des terres et de l'épuisement prévisible des ressources en eau.
Une autre faiblesse du secteur agricole est relative à sa grande dépendance aux conditions météorologiques, les agriculteurs ayant du mal à planifier leur production à long terme étant donné les aléas météorologiques.
Les ressources vives du pays, notamment, sont menacées par le délabrement du système scolaire public, la criminalité des jeunes et la répression judiciaire croissante à leur égard ; la précarisation et la vulnérabilité des classes sociales les plus pauvres et la persistance des inégalités et de la ségrégation raciales ...
Pourtant, la fragilité de l'économie américaine ne s'arrête pas là. L'ampleur de la dette et la faiblesse de l'investissement représentent un sérieux obstacle pour l'économie américaine. L'endettement des entreprises a atteint 9 400 milliards de dollars aux États-Unis, soit 46 % du PIB selon la Réserve fédérale.
Avec sa production riche et variée, l'agriculture américaine s'impose comme la plus puissante du monde. C'est agriculture très modernisée qui dispose d'atouts importants (laboratoires de recherche agronomique, mécanisation, usage des engrais et des pesticides...).
Le problème majeur de l'agriculture américaine semble être celui de la surproduction. Mais cette agriculture est en fait vulnérable à court et à long terme pour différentes raisons et en particulier à cause de l'érosion constante des terres et de l'épuisement prévisible des ressources en eau.
Premier exportateur mondial, notamment de céréales, l'agriculture américaine contribue largement à limiter le déficit commercial du pays. L'exportation est devenue une nécessité vitale pour l'agriculture américaine si elle veut éviter la surproduction et la chute des prix qui en découle.
Aujourd'hui, les Etats-Unis demeurent la puissance industrielle dominante du monde. Cependant, l'industrie américaine doit faire face à plusieurs problèmes : la crise de certaines activités, la concurrence internationale (Japon, Union Européenne, NPI) et le déficit de la balance commerciale.
Taux d'emploi, dette extérieure, désindustrialisation… Les problèmes structurels des États-Unis finiront par freiner durablement leur croissance.
La pauvreté et les inégalités sociales créent parfois des tensions (émeutes de Los Angeles en 1992). Les centres-ville accueillent la population marginalisée qui ne bénéficie pas de la richesse produite. Enfin, les flux de populations qui dynamisent la Sun Belt renforcent le déclin relatif du Nord-Ouest industriel.
ÉTATS-UNIS
La croissance du PIB a alors atteint 5,7 % en 2021, après -3,4 % en 2020, tirée par une consommation dynamique et l'investissement privé. En 2022, le PIB s'est contracté de -0,4 % au 1er trimestre et de -0,1 % au 2ème trimestre en raison du ralentissement de la demande.
Les États-Unis sont la 1re puissance industrielle du monde. Ils produisent des biens manufacturés de toute nature. Leurs principaux points forts sont l'industrie lourde (chimie, métallurgie…), les industries de pointe (électronique, informatique, aéronautique, aérospatial, biotechnologies…), l'automobile (Ford).
Les Etats-unis sont la première puissance économique mondiale. Avec un produit intérieur brut (PIB) de 14 266 milliards de dollars en 2009, représentant environ un quart du PIB mondial. Pays vaste, pourvu de nombreuses les ressources naturelles, les États-Unis ont un PIB par habitant parmi les plus élevés au monde.
– Le détournement des fonds alloués au développement de l'agriculture ; – Le mauvais état des routes et l'enclavement de certaines zones de production qui ne permettent pas d'écouler facilement les produits des zones rurales vers les centres urbains ;…
Avec un volume d'échange agricole évalué à 405 Milliards d'Euro en 2016, l'UE est le premier importateur et le premier exportateur mondial de produits agricoles notamment les produits issus des industries agroalimentaires.
LES PROBLÈMES DE L'AGRICULTURE IVOIRIENNE
~ Les aléas et les changements climatiques surtout la sécheresse font chuter les productions. ~ L'agriculture ivoirienne est encore extensive avec des techniques et matériels agricoles rudimentaires, archaïques.
Par exemple, au niveau individuel, la population américaine connaît un phénomène d'obésité très important : un homme sur trois et presque une femme sur deux (40%) sont obèses. En outre, l'obésité devient de plus en plus répandue chez les enfants et menace leur santé.
Ainsi, l'État le plus riche des États-Unis, la Californie, serait la cinquième puissance économique du monde si elle était indépendante.
Les secteurs qui font le succès de l'industrie américaine et qui la positionne au premier rang mondial sont : l'automobile qui représente un tiers du marché mondial, l'aéronautique (Boeing), la pharmacie, l'informatique avec IBM qui fournit plus de la moitié du matériel informatique mondial, les industries ...
Les États du Nord-Est sont le berceau de l'industrie américaine. Ils se sont développés sur les industries de la première révolution industrielle (sidérurgie, textile, transports) puis de la deuxième (automobile, pétrochimie).
Pour conclure, les États-Unis ont encore aujourd'hui tous les attributs de la puissance : ils possèdent le premier réseau diplomatique, la première armée du monde, une hégémonie en matière économique, financière et culturelle.
Les productions de maïs, soja, blé, coton et luzerne sont très développées, ainsi que l'élevage. La majorité de la production agricole se trouve dans les Grandes Plaines, ainsi que la vallée de San Joaquin (Californie). En 2012 : 2,2 millions d'exploitations, 371 millions d'hectares de surface agricole utile.
Elle détériore, voire détruit les sols, pollue l'atmosphère (1/4 des émissions de gaz à effet de serre mondial), gaspille des ressources naturelles comme l'eau et participe à la disparition du vivant.
L'agriculture est un secteur important de l'économie américaine, contribuant à 0,9% du PIB et 1% de l'emploi (Banque mondiale, 2019). Elargie aux secteurs industriels associés, elle contribue à 5,2% du PIB et environ 11% de l'emploi (USDA, 2019).