Il existe pour cela de nombreuses solutions : consommer durable en choisissant des objets de qualité que l'on devra remplacer moins vite ; isoler son logement ; s'équiper d'appareils économes en énergie ; se déplacer le moins possible en voiture, en scooter ou en avion ; préférer les fruits et légumes locaux et de ...
Encourager la marche, le vélo et les transports en commun. Améliorer l'isolation des bâtiments. Modifier son alimentation : manger local, consommer moins de viande, diminuer le gaspillage alimentaire. Développer une agriculture plus respectueuse des sols, réduire la quantité d'engrais et de pesticides.
L'effet de serre est déséquilibré par les activités humaines, en particulier l'utilisation des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon). Celles-ci provoquent artificiellement l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et, par conséquent, accentuent le réchauffement de notre planète.
développer des voitures moins polluantes (moteur, climatisation, véhicules électriques et hybrides rechargeables…) ou avoir recours à des carburants moins émetteurs, comme le diesel ; modifier les comportements individuels (choix de transport, respect des limitations de vitesse, conduite au volant…).
Baisser le chauffage de 1 °C, utiliser des ampoules fluocompactes, ne pas laisser d'appareil en veille, trier ses déchets : cet ensemble de gestes, apparemment anodins, permettrait de réduire d'au moins 300 kg par an et par ménage (soit de 10 %) les émissions de dioxyde de carbone (CO2), l'un des principaux gaz à effet ...
Interdiction de mettre en location les logements mal isolés : les étiquettes G à compter de 2025, les F en 2028 et les E en 2034. Dès 2025, il sera interdit de louer les passoires thermiques les moins bien isolées (classées étiquette G), et dès 2028 pour le reste des passoires (classées F).
La seule solution pour diminuer l'effet de serre dû aux activités humaines est de réduire les émissions de gaz à effet de serre.
La réduction des émissions de GES permettrait de limiter le réchauffement climatique, mais il pourrait aussi avoir d'autres bénéfices, tant les conséquences de ce réchauffement sont nombreuses sur la santé, le climat et l'environnement : hausse du niveau des mers, perte d'habitats, inondations...
Les jeunes ne se posent pas seulement en victimes des changements climatiques. Ils contribuent aussi de manière décisive à l'action pour le climat. Ce sont des acteurs du changement, des entrepreneurs et des innovateurs.
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
La première chose sensée à effectuer afin de lutter efficacement contre le réchauffement climatique consiste à réduire notre consommation d'énergie : nous utilisons essentiellement des énergies fossiles pour nous chauffer et pour avoir de l'électricité (gaz, charbon, fioul, pétrole…) et contribuons ainsi à émettre ...
Diminuer notre consommation d'énergie. C'est efficace : on consomme moins de pétrole, de gaz et de charbon et donc on rejette moins de gaz à effet de serre*. On diminue aussi certaines pollutions qui dégradent notre environnement. Agir sur les transports, qui sont les plus gros émetteurs de gaz à effet de serre*.
Comment éliminer le CO2 ? en substance, le co2 peut être éliminé en étant soit extrait de la solution, soit transformé en une forme que la membrane oi peut éliminer. Dans les grands systèmes, des tours de dégazage à air forcé sont utilisés. Dans les petits systèmes, une membrane de dégazage est fréquemment utilisée.
Une fois émis, le gaz est en partie absorbé par les puits de carbone naturels. Cette absorption du dioxyde de carbone a doublé en cinquante ans (de 1960 à 2010) mais cela ne suffit pas pour compenser la hausse des émissions : la moitié du CO2 rejeté par les activités humaines s'accumule dans l'atmosphère.
Pour extraire du CO2 de l'atmosphère, il faut d'abord faire passer l'air sur ce qu'on appelle un absorbant à l'aide de ventilateurs. Cet absorbant fixe le CO2 jusqu'à ce que sa capacité d'absorption du gaz à effet de serre soit épuisée.
C'est là que par un échange avec l'air tout proche, le sang perd une bonne partie de son dioxyde de carbone que l'on rejette ensuite en expirant (l'air que l'on avait inspiré, lui, n'en contenait presque pas).
Le dioxyde de carbone (CO2) est le premier GES émis par l'homme. On mesure d'ailleurs l'effet des autres gaz par rapport à lui en équivalent CO2. Il représente 77 % des émissions.
Le méthane est le principal responsable de la formation de l'ozone troposphérique, un polluant atmosphérique dangereux ainsi qu'un gaz à effet de serre, dont l'exposition provoque chaque année un million de décès prématurés (en anglais). Le méthane est également un puissant gaz à effet de serre.