La croissance se heurte à des limites sociales (les inégalités) et écologiques (les externalités négatives, les gaz à effets de serre, l'épuisement des ressources naturelles). Une externalité est un effet non voulu de la production.
La croissance économique entraîne des externalités négatives. Les ressources naturelles s'épuisent, la forêt perd du terrain, la biodiversité est attaquée, la pollution augmente, ce qui contribue à entraîner des changements climatiques importants.
La croissance économique a des conséquences négatives sur l'environnement. Elle est responsable de l'augmentation de la pollution et des risques d'épuisement du capital naturel (car les ressources sont non-renouvelable ou que l'utilisation intensive de ces ressources ne permet pas leur renouvellement).
La croissance économique n'est pas obligatoirement synonyme de développement. En effet, elle peut entraîner un mal développement, ainsi qu'un appauvrissement du niveau de vie dû aux inégalités dans la répartitions des richesses.
L'IDH est calculé en utilisant la formule : IDH = (Indice d'espérance de vie × Indice d'éducation × Indice de revenu)^(1/3). Chaque indice est compris entre 0 et 1.
Certaines conséquences de la croissance économique comme la pollution et les atteintes à l'environnement, l'accentuation des inégalités sociales ou l'épuisement des ressources naturelles (pétrole, métaux notamment) sont souvent considérés comme des effets pervers qui obligent à distinguer croissance et progrès.
Cet indicateur donne une vision complémentaire du niveau de développement d'un pays. Cette année encore, le Luxembourg conserve sa première place avec un PIB de $127 579,81 contre $135 050 l'année précédente. La Norvège et l'Irlande restent aussi dans le top 3.
2) « La croissance économique est favorable au développement humain car elle permet de dégager des ressources qui peuvent être mises au service des populations, comme l'enseignement, la santé, la communication …
La croissance économique conduit à l'épuisement progressif de certaines ressources naturelles non renouvelables. Si le processus se poursuit, il faudra trouver de nouvelles sources d'énergie et de nouveaux modes de consommation et de production pour assurer leur développement.
La croissance démographique provoque une hausse des besoins humains (énergie, nourriture, services, etc.) dont la satisfaction engendre des problèmes environnementaux et sociaux.
Aujourd'hui, la croissance démographique rapide, provoquée par un taux de fécondité élevé et durable, est associée à des taux de pauvreté plus élevés, de faibles taux d'éducation primaire et des taux de mortalité infantile et maternelle qui restent élevés.
En effet, à court terme, un plus grand nombre d'enfants représente une charge pour leur famille et plus largement pour la société. Mais à plus long terme, une fois parvenus à l'âge adulte, ils peuvent inverser le ratio entre actifs et inactifs et participer ainsi au décollage économique du pays.
Ainsi, la raison fondamentale pour laquelle la croissance est si importante du point de vue du développement s'explique non seulement par le fait qu'elle permet d'engendrer une économie plus grande en soi, mais aussi, en théorie tout du moins, d'accroître la production, et donc de générer davantage de croissance future ...
souterraines, émission de gaz à effet de serre, production de déchets ménagers, diffusion des produits chimiques, pollution atmosphérique due aux particules fines, érosion des terres, production de déchets radioactifs, sont tous en augmentation constante depuis 1980.
La croissance économique entraîne l'épuisement du capital naturel. Afin de mieux combattre l'épuisement des ressources et la dégradation de l'environnement, les économistes ont mis en évidence la présence d'un capital nouveau dans la combinaison productive : le capital naturel.
close et les sources de la croissance. On distingue traditionnellement trois sources de la croissance économique : l'accumulation du facteur travail, l'accumulation du facteur capital physique et les gains de productivité générés principalement par le progrès technique.
La croissance économique se heurte à des limites écologiques telles que l'épuisement des ressources, l'augmentation des gaz à effet de serre, etc. La prise en compte de ces limites aboutit à la notion de développement durable.
DES LIMITES ECOLOGIQUES
- concentration de gaz à effet de serre et dérèglements climatiques (canicules, tsunamis, ouragans, …) que cela génère. - catastrophes écologiques telles que des accidents pétroliers, nucléaires ou chimiques.
« Le taux de fécondité élevé est un problème de santé publique » explique-t-il, en particulier pour les femmes dont les grossesses sont espacées de moins de deux ans, ce qui les affaiblit et les rend vulnérables aux maladies.
Un développement sans croissance en volume permettra de concilier ce qui est apparemment inconciliable : la satisfaction des besoins fondamentaux et la protection de la nature. Il suppose de renoncer à la production comme à la consommation de masse, de tourner la page du fordisme.
La croissance économique est une condition nécessaire mais pas suffisante pour assurer le développement durable, a dit à son tour, M. OLIVER ZEHNDER (Suisse). Il a jugé important de réaffirmer la volonté d'une croissance favorisant l'intégration économique et la cohésion sociale.
La croissance et le développement sont interdépendants. La croissance est une condition préalable au développement et un certain seuil de développement est nécessaire pour amorcer un véritable décollage économique.
L'économie allemande est de loin la plus importante de l'Union, avec un PIB de 3 877 milliards d'euros, suivie par celle de la France avec 2 639 milliards d'euros. Viennent ensuite l'Italie (1 946 milliards) et l'Espagne (1 346 milliards). Economie, emploi, numérique, commerce...
Comme le montre la figure 1, le Venezuela détient les réserves prouvées de pétrole les plus larges au monde, estimées à 300 milliards de barils, suivi par l'Arabie saoudite. L'Iran, avec 1 200 billions de pieds cubes de gaz, suivie par la Russie, possède les plus grandes réserves prouvées de gaz naturel (figure 2).
Ce niveau place la France parmi les 5 pays les plus endettés dans le monde. Ce sont les États-Unis qui occupent la tête du classement avec une dette extérieure de 32 900 milliards accumulée au cours des années.