La perception des limites d'une négociation va varier en fonction de ces représentations. Dans le cas de la conception restreinte, les limites ne sont pas objet de négociation, le jeu des acteurs est rigide. Dans l'autre cas, la négociabilité des limites est une des conditions du jeu.
Si les enjeux de la négociation sont, au départ, différents entre les acteurs, la recherche d'une solution acceptable pour tous, mais sans abandon des valeurs fortes de chacun, constitue bien le fond d'une pratique de négociation réussie.
Il est nécessaire d'apprendre à négocier, car la négociation est présente au quotidien, que ce soit dans la vie personnelle ou professionnelle. Elle permet de résoudre un problème sans employer ni l'autorité ni la force. En effet, la négociation met en avant une discussion de confiance entre deux protagonites.
La négociation est destinée à trouver un terrain d'entente pour les différentes positions, intérêts, points de vue, objectifs… des deux parties. L'importance de la négociation réside dans les objectifs qu'elles visent à atteindre : Elle permet à l'entrepreneur d'avoir une marge dans la trésorerie de son entreprise.
Le Larousse de 1923 en deux volumes établit clairement la différence : est négociant celui qui fait le commerce alors que le négociateur est « celui qui négocie une affaire considérable auprès d'un Prince ou d'un État, et, par extension, celui qui négocie une affaire quelconque ».
La stratégie de négociation est basée sur le rapport de force et la relation avec ses interlocuteurs. Pour se situer dans une négociation et savoir quelle stratégie adopter, il est important de connaître le rapport de force existant entre les différentes forces engagées : qui a le plus besoin de l'autre ?
La négociation peut avoir des antécédents, sur le même sujet ou non. Les négociateurs devront parfaitement les connaître. Lors de la préparation, ils devront également déterminer le contexte global et en mesurer les conséquences. Une situation de guerre donne par exemple d'autant plus de valeur au facteur temps.
Une bonne négociation sera celle qui réussira à instaurer un dialogue «ouvert» où chacun connaît son intérêt mais reste attentif aux arguments et contraintes de l'autre. Acceptez que l'on discute vos propositions et prenez en compte toutes les remarques.
L'analyse est réalisée à partir d'éléments observables d'ordre linguistique, paralinguistique et situationnel. Les résultats de l'expérimentation sont multifacettes et concernent l'étude de trois types de négociation ouverte ou présentant une plus ou moins grande marge de liberté pour l'un des protagonistes.
La négociation commerciale n'a qu'un seul objectif, qui est de parvenir à un accord. Les protagonistes ont donc intérêt à s'entendre. Une zone d'entente va être recherchée par le vendeur et l'acheteur car celui-ci veut combler son besoin et celui-là veut commercialiser son produit.
La vente est avant tout l'art de convaincre les clients. Pour être plus productif, un commercial doit connaître la règle des 4 C (contact, connaître, convaincre, conclure) de la vente.
Pour réussir une vente, c'est-à-dire, signer un contrat et acquérir un nouveau client, respecter dans l'ordre les 7 étapes de la vente est indispensable (la préparation et la compréhension du besoin du client, la prise de contact, l'argumentation, le traitement des objections, la phase de négociation, la conclusion de ...
S'il est seul à coopérer, il prend le risque de se faire exploiter. À l'inverse, si le négociateur s'abstient de coopérer, il s'aliène à terme la partie adverse qui a choisi de coopérer ou bien il s'enlise avec la partie adverse dans un même refus de coopérer.
En négociation intégrative, les négociateurs estiment que le gain accumulé ne se fait pas nécessairement au détriment de l'adversaire. Il existe ici une possibilité de gagner ensemble, d'atteindre ensemble les objectifs et intérêts poursuivis par chacune des parties.
Elle intervient en fin de phase de vente et consiste à conclure un accord commercial entre plusieurs parties, celle qui vend le produit ou service et celle qui l'achète.
Le pouvoir de négociation étant au cœur de la négociation collective, il importe, dès le début de la préparation, de procéder à une analyse des divers éléments à considérer et de se livrer à une réflexion approfondie pour évaluer son pouvoir de négociation et celui, bien sûr, de l'autre partie.
Convaincre de la nécessité d'acquérir le produit • Situer l'interlocuteur, découvrir sa personnalité, écouter ses besoins • Citer le bon argument au bon moment • Signer un contrat de vente. Poser des questions sur les besoins du prospect et surtout écouter sa réponse pour connaître ses préoccupations.