Les lois de la réflexion s'énoncent ainsi : le rayon réfléchi, le rayon incident et la normale (au dioptre) sont contenus dans le plan d'incidence ; les angles incidents et réfléchis sont égaux en valeurs absolues ; θ1 et θ2 vérifient : θ2 = - θ1.
« Le rayon réfracté et le rayon réfléchi appartiennent au même plan que le rayon incident et la normale. » Passons à la deuxième loi de Descartes. La deuxième loi de Descartes concerne le rayon réfléchi, tandis que la 3ème loi de Descartes concerne le rayon réfracté.
La loi de la réflexion stipule que l'angle d'incidence est toujours égal à l'angle de réflexion. De plus, le rayon incident, le rayon réfléchi et la normale sont situés dans un même plan.
Première loi de Snell-Descartes : le rayon réfracté, le rayon incident et la normale appartiennent au même plan. Ce plan est appelé plan d'incidence. Deuxième loi de Snell-Descartes sur la réflexion : les angles d'incidence et de réflexion sont égaux : .
Ces deux lois sont équivalentes à: Le rayon réfléchi et le rayon incident, orientés dans le sens de la lumière, sont symétriques par rapport au plan tangent au miroir au point d'incidence.
La première loi de Snell-Descartes : loi du plan d'incidence
Cette loi indique dans quel plan se trouve le rayon lumineux réfracté : le rayon réfracté appartient au même plan que la normale et le rayon incident.
Dans le Monde, Descartes énonce ses lois du mouvement : « La première est : que chaque partie de la matière, en particulier, continue toujours d'être en un même état, pendant que la rencontre des autres ne la contraint point de le changer. » (AT, XI, 38)
Descartes estime que c'est Dieu qui rend possible la vérité.
En effet, la clarté vient de la perfection divine, l'obscurité du néant. Quand des idées sont claires et distinctes, elles sont en cela vraies et parfaites ; donc elles ont nécessairement une origine divine – ce qui confirme leur vérité.
Cette détermination se base sur la mesure de l'angle d'incidence i 1 et l'angle de réfraction i 2. On connaît par ailleurs un des deux indices de réfraction intervenant dans la relation de Snell-Descartes. On obtient donc l'indice de réfraction inconnu par n 2 = n 1 × s i n i 1 s i n i 2 .
Quand un rayon de lumière rencontre un objet, il rebondit sur l'objet, comme une balle sur un mur. On dit que le rayon lumineux est réfléchi. Si la réflexion se fait sur une surface plane, on peut prévoir la trajectoire de la lumière après rebond.
– dans un sens matériel, la loi définie par son contenu, constitue une règle de droit générale, impersonnelle et écrite. Elle a un caractère normatif ; la loi dispose ; – dans un sens formel, la loi est définie par l'organe qui l'élabore. C'est dans ce sens que la Constitution emploie ce terme.
Pour pouvoir énoncer la loi de la réfraction, il faut que le rayon réfracté, le rayon incident et la normale (au dioptre) soient dans un même plan qui est appelé le plan d'incidence et que le rayon incident et le rayon réfracté soient situés de part et d'autre de la normale.
Historique. Il semble que la première postulation de la loi de la réflexion ait été faite par Euclide. À l'époque de l'école platonicienne, cette loi est déjà largement connue.
Descartes pose donc comme fondement de sa philosophie le fameux cogito ergo sum. Le fait de penser est un principe premier, qui se substitue à la cause première de la pensée scolastique. Le projet cartésien est un projet de science universelle reposant sur de nouveaux principes philosophiques fondés sur la raison.
Nous appelons angle de réflexion l'angle entre la lumière réfléchie et une ligne perpendiculaire à la surface. La ligne perpendiculaire est appelée normale. L'angle d'incidence est égal à l'angle de réflexion.
Lorsque la lumière change de milieu de propagation, elle peut subir plusieurs phénomènes : Un « retour » dans le milieu initial, c'est la réflexion. Un changement de direction dans le nouveau milieu, c'est la réfraction.
Nous définissons l'angle limite de réfraction (appelé aussi angle critique) comme l'angle mesuré dans le milieu d'indice le plus élevé et correspondant à un angle de 90° dans le milieu d'indice le plus faible.
L'angle de réfraction limite est le plus grand angle de réfraction pour lequel un rayon de lumière est toujours réfracté. Cet angle limite a lieu entre deux milieux dont un a un indice de réfraction beaucoup plus grand que l'autre.
Descartes lui reprend ainsi trois arguments justifiant le doute : la faillibilité des sens, qui peuvent tromper le sujet (par exemple, l'image du bâton brisé dans l'eau) ; le risque de la folie ; et la confusion avec le rêve, qui dissipe la frontière avec l'éveil et remet ainsi en cause la réalité du corps.
La raison est pour autant dire la lumière naturelle qui favorise à elle seule la compréhension et l'explication de toute chose. Autrement dit, la raison permet de bien comprendre car elle rend claire les choses.
René Descartes remarque que l'on définit couramment le vrai comme ce qui n'est pas faux, et le faux comme ce qui n'est pas vrai… Ici, les contraires se définissent les uns les autres, et la définition, circulaire, est purement « nominale », c'est-à-dire qu'en fait elle ne définit rien.
Énoncé de la première loi de Newton
L'énoncé originel de la première loi de Newton est le suivant : « Tout corps persévère dans l'état de repos ou de mouvement uniforme en ligne droite dans lequel il se trouve, à moins que quelque force n'agisse sur lui, et le contraigne à changer d'état. »
Cas particulier : Lorsque le faisceau lumineux arrive perpendiculairement à la surface de séparation de deux milieux, il n'est pas dévié. Ce phénomène existe lorsque la réfraction atteint ses limites et n'est plus possible.
Descartes, dans les Regulae et Le Monde, conçoit le mouvement local comme plus simple que les lignes et surfaces, puisque l'on peut engendrer ces lieux par déplacement d'un point ou d'une ligne. Par là, le mouvement apparaît bien comme une nature simple, connue par elle-même.