Une forte toux fait partie des symptômes caractéristiques d'une pneumonie, de même que des expectorations (crachats) et parfois une douleur thoracique, une gêne ou un essoufflement en cas d'encombrement important, ou encore une perte de poids.
La maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) est une maladie chronique caractérisée par l'essoufflement, la toux chronique et la production accrue de crachat.
La fibrose pulmonaire peut entraîner plusieurs complications graves. Comme les poumons ne permettent pas une oxygénation adéquate du sang, une baisse de la concentration d'oxygène dans le sang (ou hypoxémie) peut apparaître. Le manque d'oxygène a des effets sur tout l'organisme.
Les infections pulmonaires sont très courantes et peuvent être graves chez les patients fragilisés : adultes avec une immunité altérée ou une maladie respiratoire ou cardiaque, jeunes enfants, personnes âgées.
Le cancer du poumon peut aussi se manifester par des symptômes généraux : fatigue, amaigrissement, perte d'appétit, fièvre prolongée, maux de tête, phlébites, troubles nerveux avec confusion, gonflement progressif de l'extrémité des doigts en « baguettes de tambour ».
La principale cause de cancer du poumon est le tabagisme -Plus vous fumez et plus longtemps vous fumez, plus vous risquez de développer un cancer du poumon. De plus, le fait de vivre avec un ou des fumeurs (et d'être exposé à de la fumée secondaire) accroît vos chances de développer un cancer du poumon.
Troubles respiratoires
Asthme, bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), obstruction par un corps étranger, emphysème pulmonaire, infection des voies respiratoires (laryngite, bronchite, pneumopathie…), cancer bronchique, embolie pulmonaire et tabagisme.
La sarcoïdose est une maladie dite « inflammatoire » de cause inconnue qui peut toucher les poumons (chez 9 patients sur 10), mais également d'autres organes.
En moyenne, après le diagnostic de fibrose pulmonaire idiopathique, l'espérance de vie des patients est estimée entre trois et cinq ans.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
Cancer du poumon non à petites cellules (CBNPC)
Le CBNPC représente la forme histologique la plus fréquente (80-85%) des cancers bronchiques. Il est la première cause de décès par cancer chez l'homme.
Ainsi une simple prise de sang pourrait déterminer qui doit se voir conseiller un dépistage précoce avec une plus grande précision. Cette identification des patients à risque de cancer du poumon permet dès lors de les orienter plus rapidement vers des examens spécifiques (CT scanner à faible dose).
Des douleurs persistantes dans la poitrine et dans les bras sont un signe de cancer du poumon à un stade déjà avancé, lorsque les tumeurs commencent à irriter les nerfs situés aux alentours de l'apex du poumon.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Elle peut même provoquer des vomissements ou la fracture d'une côte si vous toussez très fort. La toux peut être sèche et quinteuse ou grasse et productive (expectorations). Il arrive parfois que les expectorations contiennent du sang provenant des poumons.
Le poumon droit est plus gros que le poumon gauche, pour deux raisons, qui dépendent toutes les deux l'une de l'autre : Le poumon droit possède trois lobes, comparé au poumon gauche qui en possède deux.
Pour le stade limité du cancer du poumon à petites cellules, la survie médiane est de 12 à 16 mois, avec traitement. Pour le stade étendu du cancer du poumon à petites cellules, la survie médiane est de 7 à 11 mois, avec traitement.
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
La pneumonie s'attrape le plus souvent comme une grippe ou un rhume, en inhalant des particules contaminées. Dans certains cas, elle survient après une autre infection respiratoire, comme une grippe ou une bronchite, qui « dégénère » et s'installe dans les alvéoles des poumons.
Les principales sont détaillées ci-dessous, il s'agit de la radiographie des poumons, le scanner des poumons, l'IRM thoracique, le TEP scanner et la scintigraphie pulmonaire. A côté de ces techniques d'imagerie, la fibroscopie et l'écho-endospcopie bronchique sont des examens pratiqués par des pneumologues.
Les symptômes d'une pneumonie sont une toux avec des crachats, des difficultés respiratoires, des « bruits » pendant la respiration, des douleurs au niveau du thorax ainsi qu'une fièvre souvent élevée et de la fatigue.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.