Hypertension, nervosité, fatigue, dépression… L'état de stress n'est pas une maladie en soi mais lorsqu'il est intense et qu'il dure, il peut avoir des effets graves sur la santé physique et mentale des travailleurs concernés.
Le TOC. Le trouble obsessionnel compulsif (TOC) se manifeste par deux types de symptômes plus ou moins prononcés, les obsessions et les compulsions, qui peuvent apparaître isolément ou simultanément. Ces symptômes ont, dans tous les cas, un lourd retentissement sur le comportement au quotidien.
Les personnes anxieuses sont quatre fois plus exposées au risque de faire un infarctus du myocarde ; Le stress favorise aussi les addictions, notamment au tabac.
Le stress peut provoquer des infections cutanées sévères.
Entre autres, l'histamine. Produite en très grande quantité quand l'anxiété pointe son nez, cette substance chimique libérée lors de réaction allergique est largement impliquée dans les phénomènes inflammatoires.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
Les symptômes psychiques
Même lorsque les choses vont bien, elle se dit que cela ne va pas durer. Elle est fatiguée, irritable, a du mal à se concentrer et se sent incapable de contrôler les situations qui se présentent. Parfois, elle s'isole par peur de ne pas avoir le contrôle de ce qui l'entoure (anxiété sociale).
Dès sa confrontation à une situation évaluée comme stressante, l'organisme réagit immédiatement en libérant des catécholamines (hormones produites par la glande médullo-surrénale, dont l'adrénaline). Celles-ci augmentent la fréquence cardiaque, la tension artérielle, les niveaux de vigilance, la température corporelle…
Le stress provoque très souvent des douleurs musculaires et articulaires. Les maux de ventre sont aussi très fréquents. Le stress peut également entraîner des symptômes neurologiques ou, autrement dit, des maux de tête (migraines, céphalées de tension).
Il convient de consulter dès lors qu'on ressent un état d'anxiété excessif au regard de la situation vécue, qui entraîne des symptômes psychiques et physiques de type fatigue, agitation, irritabilité, sueurs, nausées, sensation de boule dans la gorge, tremblements, contractions musculaires, douleurs musculaires, maux ...
Le trouble anxieux généralisé est définie comme « une nervosité et une inquiétude excessive, à propos de nombreuses activités ou événements. Les personnes affectées sont anxieuses plus de jours qu'elles ne le sont pas pendant 6 mois ou plus », selon le MSD (Manuel Diagnostique et Statistique des troubles mentaux).
Lorsque le seuil d'une anxiété modérée est dépassé, l'anxiété forte entrave ce que nous sommes en train de faire et nous la ressentons comme une vraie souffrance. - Quand elle se prolonge. L'anxiété peut devenir permanente et envahissante. Elle empêche alors de vivre normalement et ne laisse plus de répit.
Troubles du sommeil, douleurs articulaires, perte de mémoire sont des maux qui peuvent survenir si vous n'enrayez pas votre stress. Mais ces réactions peuvent en provoquer d'autres plus graves encore.
Les troubles anxieux sont les problèmes de santé mentale les plus répandus.
Par exemple, pour lutter contre les crises d'angoisse, il est recommandé d'utiliser des huiles nommées Mimulus ou encore Aspen. Les huiles essentielles à base de lavande sont également idéales pour calmer la montée d'angoisse. Ses vertus apaisantes permettent de retrouver la sérénité dès les premiers signes d'angoisse.
L'anxiété-état génère également des troubles physiques très palpables : tensions dans le haut et le bas du dos, tensions musculaires, crampes d'estomac, tensions dans les jambes (jambes lourdes), mictions ou diarrhées fréquentes, oppression de la poitrine et essoufflement, augmentation du rythme cardiaque et ...
Le stress peut causer de la douleur, des tensions ou des courbatures dans vos muscles parce que lorsque votre corps est stressé, vos muscles se contractent.
En pratique, il semble que le stress aigu accélère la résolution des infections et la guérison des plaies (15). En situation de stress aigu, la réaction inflammatoire qui survient n'est pas exactement la même que la réaction inflammatoire qui se met en place lors d'une infection ou d'une blessure.
Des études scientifiques ont montré que le manque de fer peut augmenter le risque d'angoisse.
Chacun d'entre nous réagit différemment lorsque confronté à une situation nouvelle ou demandante. On peut classer les signes de stress en quatre grandes catégories : les réactions physiologiques, cognitives, émotionnelles et comportementales.
Crise d'anxiété, le cerveau à la manœuvre
L'angoisse (peur de mourir, peur de perdre la raison, agoraphobie…) active l'amygdale, une structure limbique qui avertit de la présence d'un danger immédiat et déclenche la réaction de peur (réelle ou subjective).
Dans le trouble panique, l'anxiété survient sans déclencheur identifiable. L'intensité des symptômes atteint son pic en quelques minutes. La personne peut croire qu'elle s'évanouira ou aura une crise cardiaque. L'épisode s'estompe habituellement en moins d'une heure, laissant l'individu épuisé.