Selon les adeptes de cette thérapie un peu particulière, l'urine permettrait de soigner certaines infections telles que les mycoses grâce aux substances actives qu'elle contient. Parmi ces substances, on peut notamment citer les sels minéraux, les acides ou encore certaines vitamines.
Boire son urine revient à augmenter la charge de travail des reins. Certes, l'urine peut aussi contenir des substances non toxiques, voire intéressantes, comme les vitamines hydrosolubles (B, C) ou des médicaments dans leur forme active.
L'urinothérapie ou les vertus cachées de l'urine
Ce liquide contient des sels minéraux, des acides, des hormones, des enzymes, des vitamines, en particulier la vitamine C. Urinothérapie est le terme occidental donné à l'amaroli, plus couramment pratiqué en Chine. L'urine est déjà reconnue contre les problèmes de peau.
"Les urines contiennent beaucoup de sel. Donc si on a une hypertension artérielle, boire ses urines peut être dangereux parce que l'on va boire beaucoup de sel. Boire ses urines n'a aucun intérêt. Les composants de l'urine sont inutiles et ne présentent aucun intérêt.
Plus de trois millions de Chinois ingurgitent régulièrement leur propre urine à des fins médicinales, dans l'espoir de vivre vieux. Yang Liansheng, un professeur de médecine traditionnelle, estime que l'urine, après filtrage par les reins, est plus saine que le sang.
L'urine est-elle bonne pour la peau ? C'est parce que notre urine contient de nombreux nutriments et sels minéraux que certains courageux se sont imaginés la transformer en produit de beauté. Appliquée sur un coton, et en traitement local, elle ferait des merveilles contre les boutons et pour purifier la peau.
L'urine est produite grâce à la filtration du sang par les reins et permet, entre autres, d'éliminer les déchets de l'organisme. Pourtant, certaines personnes lui attribuent de nombreuses vertus thérapeutiques et ont pris l'habitude de la boire chaque matin ou de l'utiliser en application locale.
"Boire sa propre urine est un principe connu en ayurveda. Mais plus que l'urine humaine, c'est l'urine de vache qui est citée par les textes anciens. Elle est considérée comme un régénérateur des fonctions corporelles et de l'immunité", explique Fabien Correch, praticien en ayurveda.
L'urinothérapie, ou « amaroli » (signifiant « tradition » en Inde), est la pratique de boire une partie de son urine dans le but d'entretenir sa santé ou se soigner. Il n'y a pas de preuves scientifiques d'un effet thérapeutique de cette pratique.
La consommation de bière, et d'alcool en règle générale, diminue la libération d'ADH, l'hormone qui permet de conserver plus longtemps les liquides dans le corps afin que certaines de leurs substances bénéfiques pour l'organisme se libèrent, explique Gentside.
L'urine contient du sel ; aussi, en cas de déshydratation il est déconseillé de la boire. Alors que certains prétendent que boire son urine peut apporter des bénéfices à la santé, ceci va à l'encontre des principes du métabolisme, puisque l'urine contient des molécules que l'organisme cherche à éliminer.
L'appliquer sur son visage
C'est parce qu'elle contient de nombreux nutriments et sels minéraux que certains courageux l'ont transformé en produit de beauté. Appliquée en traitement local, elle fait des merveilles contre les boutons. Et bonus : c'est un très bon anti-âge !
Le rôle de l'urine dans l'organisme est d'éliminer les déchets provenant de l'alimentation, mais aussi des traitements médicamenteux.
Chez les personnes en bonne santé, l'urine présente dans la vessie est stérile et ne contient pas de bactéries, ni d'autres micro-organismes. Le conduit qui véhicule l'urine de la vessie vers l'extérieur de l'organisme (l'urètre) ne contient pas de bactéries ou en trop faible quantité pour entraîner une infection.
L'odeur d'urine normale est généralement plutôt neutre si vous buvez suffisamment (entre 1,5 et 2 litres par jour) et que vous videz votre vessie régulièrement. Mais parfois, l'urine peut avoir une odeur forte, et il peut y avoir plusieurs raisons à cela.
Les urines sont donc composées d'eau et de produits de dégradation du sang, comme l'hémoglobine, avec l'urochrome qui a une teinte jaune.
La couleur marron de l'urine peut être due à la présence de métabolites de l'hémoglobine (la protéine qui achemine l'oxygène dans les globules rouges).
La couleur idéale de l'urine est jaune pâle, un peu comme la couleur du vin blanc. Concernant la fréquence, la diurèse normale est d'environ 1.5 L d'urine par jour, ce qui correspond à 5 à 7 mictions par jour.
Définition. La blennorragie (appelée aussi urétrite gonococcique ou chaude-pisse dans le langage populaire) est une infection sexuellement transmissible (IST). Il s'agit d'une infection des organes génito-urinaires par un gonocoque.
Durant le sommeil, notre cerveau secrète une hormone anti-diurétique qui ralentit le travail des reins afin que nous ne soyons pas réveillés pendant la nuit par une envie d'uriner. Mais boire trop d'eau avant le coucher (même 2 à 3 verres), perturbe ou annule cette fonction.
Non seulement ce la ne permet pas de maigrir, de prévenir les problèmes rénaux ou d'améliorer la concentration, mais cela peut provoquer l'inverse. Boire trop d'eau ne coupe pas l'appétit, peut entraîner des dommages aux reins et altérer la concentration, rapporte le Daily Mail ce mardi.
Boire de l'eau chaude le matin, à jeun, accélère le métabolisme et permet à notre organisme de brûler plus de calories. Ce rituel matinal vous permettra en plus d'éliminer les toxines à l'origine, entre autres, du vieillissement prématuré des cellules. Après avoir bu de l'eau chaude, la température corporelle augmente.
Liquide vital aux hommes, le sang fascine et pourtant, il n'apporterait aucun avantage à notre organisme si nous l'ingurgitons. «Il n'y a pas d'études montrant quelconque intérêt nutritif du sang, explique de docteur Jean-Michel Lecerf, médecin nutritionniste à l'institut Pasteur de Lille.
Hémato-phile : litt. « qui aime le sang », attirance pour le sang, dont la vue ou le goût provoque le plaisir sexuel – un exemple célèbre est le marquis de Sade. Ce n'est pas la même chose que le vampir-isme, qui est une maladie psychique qui fait qu'un individu cherche à boire du sang humain. Nécro-phile : litt.