À Retenir : dans l'ordre suivant : do(C), ré(D), mi(E), fa(F), sol(G), la(A), si(B), do(C), ré(D),… Pour les apprendre, il suffit de les répéter en boucle dans la tête, Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do, Ré…
Dans la musique occidentale, douze fréquences fondamentales différentes portent un nom. Sept d'entre elles sont considérées comme les principales et ont pour noms : do, ré, mi, fa, sol, la et si.
Il existe sept noms de notes : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La et Si. Il n'en existe pas d'autres. Ces notes peuvent être modifiées (plus précisément la hauteur du son) par les altérations telles que le # (dièse) ou le b (bémol).
Les notes. Il existe 7 notes naturelles : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si. Ces notes sont répétées dans le même ordre pour atteindre des tons plus graves ou plus aigus. Chacune de ces répétitions est appelée une octave.
Notez également qu'il y a également les lignes supplémentaires pour dépasser les "limites" des 5 lignes de la portée. Cet ordre des noms des notes est très connu mais il faut aussi le connaître ans l'ordre inverse, donc de l'aigü vers le grave : Do, Si, La, Sol, Fa, Mi, Ré et Do.
À Retenir : dans l'ordre suivant : do(C), ré(D), mi(E), fa(F), sol(G), la(A), si(B), do(C), ré(D),… Pour les apprendre, il suffit de les répéter en boucle dans la tête, Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do, Ré…
Lire une partition se fait de gauche à droite, ainsi des notes situées l'une au-dessus de l'autre se jouent simultanément. La portée du haut désigne généralement les notes à jouer avec la main droite, et celle du bas est plutôt réservée à la main gauche.
Plus la vibration est rapide, plus le son est dit aigu ou haut ; plus la vibration est lente, plus le son est dit grave ou bas.
La gamme est une suite de 8 notes qui se succèdent de manière ascendante : du grave à l'aigu (do, ré, mi, fa, sol, la, si, do) ; ou de manière descendante : de l'aigu vers le grave (do, si, la, sol, fa, mi, ré, do).
La pause, placée sur la quatrième ligne de la portée, elle correspond à la valeur d'une ronde : c'est un silence à 4 temps. La demi-pause, placée sur la troisième ligne de la portée, elle correspond à la valeur d'une blanche : c'est un silence à 2 temps. Le soupir : il correspond à un silence de 1 temps.
C'est à un moine toscan, le musicien Guido d'Arezzo (995–1050), que l'on doit les noms des notes de la gamme que nous utilisons aujourd'hui. Elles ont été pensées selon un chant religieux, l'hymne à St Jean-Baptiste. Pour le créer, le moine il a utilisé les initiales des sept phrases de cette chanson.
La gamme do, ré, mi, fa, sol, la et si, bien connue des amateurs de solfège, remonte au XIe siècle. A l'époque, le moine italien Guido d'Arezzo, qui réfléchissait à une méthode pour classer la hauteur des notes, avait eu l'idée de choisir le début de chaque vers d'un chant religieux, l'Hymne à Saint Jean-Baptiste.
Parce que l'intervalle de quarte équivaut à l'écart entre quatre notes (do, ré, mi, fa), la quinte équivaut à cinq notes (do ~ sol), l'octave à huit notes, etc.
Le découpage de l'octave en 12 intervalles est mathématiquement optimal : il permet une quinte la plus juste possible, dans un format compact, et dans un tempérament égal (avec des intervalles égaux).
C'est un moine bénédictin italien du 11ème siècle du nom de Guido d'Arrezo (992-1050), qui posa les bases du Solfège et qui met au point le système de notation musical que nous employons en France et dans les pays Latins.
En solfège, le ton correspond à la seconde majeure. -fa, etc. Le ton est le complémentaire de la quarte pour former une quinte (voir l'article gammes et tempéraments). Traduit en addition d'intervalles, on posera : une quarte plus un ton valent une quinte.
(Musique) Clé qui indique le sol n o 3, proche du la du diapason, et qui concerne les sons aigus. Elle est représentée par le signe ? et se place en début de portée, sur la deuxième ligne en partant du bas.
Dans l'échelle diatonique naturelle — c'est-à-dire sans altérations —, le demi-ton diatonique existe d'une part entre les notes mi et fa, d'autre part entre les notes si et do ; les autres intervalles conjoints sont des tons. Le demi-ton diatonique a une fonction attractive.
La clé de Fa placée sur la quatrième ligne de la portée
Les 8 notes de la gamme de Do majeur écrites en clé de fa. Les notes de musique de la clé de fa quatrième ligne sont utilisées pour écrire les partitions de piano, clavecin, orgue, harpe, violoncelle, guitare basse, trombone, basson, timbales, tuba…
Tim Storms est un chanteur probablement plus connu pour sa voix que pour ses compositions. Il détient le record de la note la plus basse émise par un humain, la note G –7, (huit octaves en dessous du premier sol d'un piano), tellement basse qu'elle serait uniquement audible par certains animaux.
Qualité particulière du son, indépendante de sa hauteur ou de son intensité mais spécifique de l'instrument, de la voix qui l'émet : Voix au timbre chaud. (Il est lié aux intensités relatives des harmoniques qui composent le son.)
Le timbre désigne l'ensemble des caractéristiques qui permettent d'identifier un instrument ou un type de voix. Il permet de distinguer deux sons de même hauteur (exprimé en hertz) et de même intensité (exprimé en decibel). Le timbre est le produit de sons harmoniques.
Pour savoir lire les notes de musique il faut apprendre par cœur les noms des notes dans l'ordre mélodique conjoint : Apprenez par cœur l'ordre des notes suivant DO RÉ MI FA SOL LA SI DO et l'ordre inverse DO SI LA SOL FA MI RÉ DO.
Pourquoi il n'existe que 7 notes de musiques et pas 5 ou 12 ? La question fait probablement allusion à la gamme diatonique, qui est la principale gamme utilisée dans la culture musicale occidentale moderne, et qui contient les sept notes que nous nommons en langue française do, ré, mi, fa, sol, la et si.
Qu'on les appelle La Si Do Ré Mi Fa Sol, A B C D E F G ou ハ ニ ホ ヘ ト イ ロ, les notes renvoient aux mêmes hauteurs de son, aux mêmes touches du clavier. Mais si elles n'ont pas d'appellation universelle, c'est parce qu'elles sont le fruit d'un héritage propre à chaque civilisation et à chaque langage.