Premièrement, la Pascaline est conçue pour exécuter les quatre opérations, addition, soustraction, multiplication et division.
La Pascaline, qui sera construite à une dizaine d'exemplaires, n'a néanmoins que des possibilités très limitées : capable d'additionner et de soustraire, éventuellement de multiplier par additions successives ou de diviser par soustractions successives, elle ne peut guère être utilisée pour le calcul scientifique.
La pascaline, initialement dénommée machine d'arithmétique puis roue pascaline, est une calculatrice mécanique inventée par Blaise Pascal et considérée comme la première machine à calculer.
Il permet d'effectuer assez facilement des additions et des soustractions, mais devient plus difficile à manipuler quand il s'agit de multiplier et de diviser.
Il affirme que la machine est robuste, et prend peu de place. Son utilisation est très simple et très commode, et les calculs sont rapides : car malgré la robustesse, les roues sont maniables (« la facilité des mouvements qui ne font aucune résistance », D2). Qui plus est, les risques d'erreur sont nuls.
1645. Blaise Pascal effectue ses premiers calculs sur la Pascaline, la première machine de calcul mécanique opérationnelle, qui était capable d'effectuer des additions et des soustractions (cette seconde opération était toutefois difficile à effectuer).
C'est en 1623, que fut construite la toute première machine à calculer mécanique. Cette réalisation est l'oeuvre de Wilhelm Schickard (1592-1635), un Allemand né d'une famille modeste.
En 1672, lors d'un voyage à Paris, Leibniz découvre la pascaline, calculateur mécanique pouvant faire les additions et soustractions. Il conçoit alors l'idée d'une machine pouvant également réaliser les multiplications et divisions.
Description et fonctionnement
un organe de commande gère le transfert des nombres et leur mise en ordre pour le traitement ; un moulin est chargé d'exécuter les opérations sur les nombres ; un magasin permet de stocker les résultats intermédiaires ou finaux ; trois types d'imprimantes sont prévus.
Le mécanicien anglais, Thomas Newcomen, construit une machine à vapeur en 1712 qui pompe l'eau dans une mine de charbon. L'Écossais James Watt la perfectionne en 1769 : une chaudière contenant de l'eau est chauffée au charbon.
Originellement, Blaise invente l'appareil pour aider son père, nouvellement nommé surintendant de la Haute-Normandie par le cardinal de Richelieu, et chargé d'en redresser les finances.
C'est en 1645, après trois ans de recherche et cinquante prototypes, que Blaise Pascal présente sa première machine. Il construit ensuite une vingtaine de Pascalines dans la décennie suivante et les perfectionne à chaque fois.
L'origine de l'arithmétique semble être une invention phénicienne. Dans l'école pythagoricienne, à la deuxième moitié du VI e siècle av. J. -C. , l'arithmétique était, avec la géométrie, l'astronomie et la musique, une des quatre sciences quantitatives ou mathématiques (Mathemata).
C'est la comtesse anglaise Ada de Lovelace qui a écrit le tout premier programme informatique, en 1843.
Un automate programmable industriel (ou API) est un dispositif électronique programmable destiné à automatiser des processus tels que la commande de machines au sein d'une usine et à piloter des robots industriels par exemple.
Alan Turing, père de l'informatique, naissait il y a 100 ans…
Dès la fin de la guerre, Alan Turing, qui avait été engagé au National Physical Laboratory (NPL), voulut construire un calculateur électronique universel à programme enregistré. Il produisit un document de spécification fin 1945, et le projet, nommé Automatic Computing Engine (Ace), démarra en 1946.
Quand il est fait membre de l'Académie royale des sciences de Paris, en 1699, Leibniz envoie un écrit présentant le système binaire.
L'ENIAC (Electronic Numerical Integrator And Computer, ou calculateur et intégrateur électronique numérique) fut le premier ordinateur réellement programmable, donc utilisable pour toute sorte de calcul et non pas pour résoudre un problème particulier.
La machine imaginée par Turing comporte un ruban divisé en cases, dans lesquelles elle peut écrire des symboles. La machine ne peut lire qu'une seule case à la fois, de même elle écrit dans une seule case et décale le ruban d'une seule case vers la gauche ou vers la droite. Les symboles sont en nombre fini.