les conjonctions : quand, lorsque, comme ; les locutions conjonctives : tandis que, pendant que, en même temps que, au moment où, tant que, dès que, aussitôt que, chaque fois que, toutes les fois que, à mesure que. On emploie en général l'indicatif, au même temps que celui de la principale (ou à un temps équivalent).
Que, quand, comme, si, lorsque, puisque, quoique. Les composés de “que”, comme “dès que”, “bien que”, “alors que”, “tandis que”… On peut donc dire que ce sont des propositions conjonctives circonstancielles.
-temps : quand, lorsque, comme, dès que, pendant que, tandis que, au moment où, avant que, jusqu'à ce que, depuis que... -cause: parce que, puisque, comme, vu que, du moment que, étant donné que... -conséquence: si...que, tellement...que, tant...que, de sorte que, si bien que, trop...
Les subordonnées temporelles peuvent exprimer trois relations temporelles différentes par rapport à la principale : antériorité, postériorité, simultanéité. Ces rapports de temps sont exprimés par des conjonctions de subordination, mais aussi par l'emploi des modes et temps qu'elles entraînent.
Une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de temps est introduite par une conjonction de subordination exprimant le temps et est complément circonstanciel de temps de la proposition principale. Les feuilles tombent quand l'automne arrive.
En dehors du plus-que-parfait, les grammaires enregistrent communément deux temps verbaux exprimant l'antériorité dans le passé : le passé antérieur et le passé surcomposé, qui sont toutefois d'un emploi beaucoup plus restreint que le plus-que-parfait.
Il existe trois sortes de propositions subordonnées : – les propositions subordonnées complétives ; – les propositions subordonnées circonstancielles ; – les propositions subordonnées relatives.
Il existe différents types de propositions subordonnées : les subordonnées relatives, les subordonnées complétives et les subordonnées circonstancielles.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
Selon les grammairiens, la liste des compléments circonstanciels diffère, mais ceux qui sont le plus couramment représentés sont les compléments circonstanciels de temps, de lieu, de manière, de moyen, de cause, de conséquence, de but, d'accompagnement, de comparaison, d'opposition, de concession et de condition.
Elle est introduite par des conjonctions de subordination comme - bien que, quoique, malgré que. Le verbe est conjugué au mode subjonctif. Exemple : Il est venu bien qu'il soit malade. La proposition subordonnée circonstancielle finale a la fonction de complément circonstanciel de but.
La proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel est une proposition subordonnée, c'est-à-dire qu'elle dépend d'une proposition principale dont elle complète le sens. On l'appelle conjonctive, parce qu'elle est introduite par une conjonction de subordination, ou une locution conjonctive.
Parmi les mots qui peuvent être des subordonnants, on trouve notamment des conjonctions (ex. : que, à ce que, de ce que, parce que, sans que, pour que, afin que, à moins que, alors que, pendant que, après que, tandis que, plutôt que, dès que, quand, lorsque, si, comme) et des pronoms relatifs (qui, que, quoi, dont, où, ...
Dans une proposition subordonnée relative, « que » est un pronom relatif et peut être remplacé par un nom. Il fait partie du groupe nominal. Dans une proposition subordonnée conjonctive, « que » est une conjonction de subordination et ne peut pas être remplacé. Il fait partie du groupe verbal.
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination.
La proposition subordonnée complétive est une proposition qui dépend d'une proposition principale et qui a, le plus souvent, un rôle de complément d'objet direct. La proposition subordonnée complétive peut être conjonctive, infinitive ou interrogative.
Deux propositions indépendantes reliées par une conjonction de coordination (et, ou, ni, mais, car, or, donc, ou encore par puis, ensuite, cependant, pourtant, toutefois, néanmoins, aussi) sont appelées « coordonnées ».
La postériorité par rapport à un verbe de la phrase matrice conjugué au présent ou au conditionnel présent s'exprime par le futur simple ou antérieur, parfois par le condition- nel présent.
Cependant, après les expressions de temps avec que (après que, pendant que, alors que, tandis que, etc), on utilise l'indicatif. Elle a téléphoné pendant que j'étais sortie. Après que tu es parti, je me suis ennuyé. Il va faire la vaisselle une fois qu'il aura fini de faire le ménage.
LA SIMULTANÉITÉ
Si l'évènement énoncé par le verbe de la subordonnée se produit en même temps que celui énoncé par le verbe de la phrase matrice, on l'exprime, en général, au moyen d'un temps situé au même endroit sur l'axe du temps que le verbe de la phrase matrice.
Proposition subordonnée complétive conjonctive. Une proposition subordonnée complétive conjonctive est un type de proposition subordonnée introduite : soit par la conjonction de subordination « que » soit par les locutions conjonctives, « ce que », « à ce que, de ce que », quelquefois « en ce que » ou « sur ce que ».