Sont nécessaires à la validité d'un contrat : 1° Le consentement des parties ; 2° Leur capacité de contracter ; 3° Un contenu licite et certain.
Pour qu'un contrat soit valable, il doit respecter quatre conditions : le consentement des parties doit être exempt de vice (erreur, dol et violence), les parties doivent être capables, l'objet doit être certain et licite, la cause doit être licite.
Pour que la condition soit valable, encore faut-il que l'événement dont sa réalisation dépend soit futur et incertain.
En effet, le principe de la liberté contractuelle implique que chacun est libre de : Contracter ou ne pas contracter. Choisir la personne avec qui il souhaite contracter, à savoir son cocontractant. Choisir quel est le contenu et la forme du contrat.
La nullité du contrat sera relative s'il s'agit de sanctionner un vice du consentement, un défaut de capacité du cocontractant, un défaut de pouvoir, les lésions au contrat ou encore la violation d'une règle d'ordre public ou d'une règle de forme. Seul le cocontractant peut invoquer la nullité du contrat.
Liberté de volonté des parties : les deux parties doivent être autonomes. Elles signent le contrat en toute liberté. La liberté contractuelle est liée au respect de la morale et de l'ordre public. Devoir de loyauté : les deux parties doivent respecter la parole donnée lors de la convention.
En janvier 1941, dans son discours sur l'état de l'Union, le président américain Franklin D. Roosevelt décrit quatre libertés fondamentales dont toute personne dans le monde devrait pouvoir jouir : liberté d'expression, liberté de religion, liberté de vivre à l'abri de la peur, et liberté de vivre à l'abri du besoin.
Le principe de liberté induit l'existence de la liberté d'opinion, d'expression, de réunion, de culte, de la liberté syndicale ainsi que du droit de grève.
Le droit des contrats est basé sur trois principes fondamentaux. Ces derniers en garantissent la validité. Il s'agit de la liberté contractuelle, de la sécurité contractuelle et du devoir de loyauté.
L'erreur, le dol et la violence vicient le consentement lorsqu'ils sont de telle nature que, sans eux, l'une des parties n'aurait pas contracté ou aurait contracté à des conditions substantiellement différentes.
L'enjeu est primordial : si le contrat n'est pas valable, les parties ne sont pas engagées à respecter leurs obligations. Ainsi, en démontrant que l'une des conditions n'était pas remplie lors de la conclusion du contrat, une partie peut invoquer la nullité du contrat et éviter de devoir exécuter le contrat.
Selon l'article 1128 du Code civil, trois conditions sont nécessaires à la validité d'un contrat : le consentement des parties, leur capacité à contracter, un contenu licite et certain.
En France, il existe plusieurs formes de contrat de travail. Parmi toutes les options possibles, on retient les principales : le CDD, le CDI et le CTT aussi connu sous le nom d'intérim.
On admet habituellement trois catégories principales: 1) les droits civils et politiques (également appelés libertés et droits fondamentaux), 2) les droits économiques, sociaux et culturels (également appelés droits sociaux) et 3) les droits collectifs.
La liberté : parce que la volonté humaine est une part importante de la dignité humaine.
Les différentes formes de liberté :
Liberté politique : pouvoir exercer une activité politique, adhérer à un parti, militer, élire des représentants... Liberté individuelle : droit de chacun d'agir librement sans encourir de mesures arbitraires.
Car "droit" et "liberté" sont deux notions bien différentes. "La liberté est une 'capacité de faire', alors que le droit est presque une obligation qui incombe à l'interlocuteur", explique Anne-Charlène Bezzina, maître de conférences en droit public et constitutionnaliste, à Europe 1.
L'essentiel. La liberté d'opinion (ou liberté de conscience) assure à toute personne la liberté de penser comme elle l'entend. La liberté d'opinion fait partie des droits fondamentaux consacrés dès 1789 dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen.
Les conséquences juridiques d'un contrat
Signer un contrat équivaut à engager sa responsabilité. Vous devez respecter chaque terme du document. Ce peut être les délais de réalisation de la prestation, les normes de discrétion, etc. Dans le cas contraire, vous pouvez être poursuivie pour vice.
Un contrat est aussi appelé convention. Le contrat crée des obligations entre les parties. Une obligation est un lien entre deux personnes, qui permet à l'une d'entre elles, appelée le créancier, d'exiger de l'autre, appelée le débiteur, d'exécuter une prestation : faire, ne pas faire, ou donner quelque chose.
Le contrat est un accord de volontés entre deux ou plusieurs personnes destiné à créer, modifier, transmettre ou éteindre des obligations. Chacun est libre de contracter ou de ne pas contracter, de choisir son cocontractant et de déterminer le contenu et la forme du contrat dans les limites fixées par la loi.