Mais les causes immédiates de la Grande Terreur, à la fois internationales et intérieures, sont nombreuses : la crainte d'une guerre prochaine et de l'existence d'un « réservoir insurrectionnel d'ennemis » a joué son rôle dans l'esprit de Staline.
Mais l'URSS de Staline est aussi un régime de terreur : Staline impose son pouvoir par la force. Les opposants au régime sont dénoncés puis arrêtés par la police politique : d'abord la NKVD puis le KGB. Certains opposants seront ainsi déportés dans des goulags qui sont des camps de travaux forcés.
Staline crée une police politique (NKVD) chargée de surveiller et de terroriser la population. Tous les opposants supposés sont emprisonnés, exécutés ou déportés dans les camps de travail du Goulag en Sibérie où ils sont réduits à l'esclavage.
L'assassinat de Sergueï Kirov, le 1er décembre 1934 , marque la fin d'un timide dégel politique advenu lors de cette année et, selon certains historiens, le début de la Grande Terreur.
Lecture 2 min. La Grande Terreur qui frappa l'URSS d'août 1937 à novembre 1938 est « le plus grand massacre d'Etat jamais mis en œuvre en Europe en temps de paix », écrit l'historien Nicolas Werth dans sa préface à Sandormokh. Elle fut aussi le plus méconnu.
La Terreur se caractérise ainsi par un état d'exception destiné à endiguer militairement, politiquement, et économiquement la crise multiple à laquelle le pays est alors confronté.
Entre août 1937 et novembre 1938, au moins 700 000 personnes sont exécutées par le pouvoir stalinien. Il s'agit du plus grand massacre d'État commis en temps de paix en Europe.
La Terreur désigne une période de la Révolution française (1793-1794) qui a vu se radicaliser par la violence les mouvements républicains en France.
Longtemps résumée aux grands procès des dirigeants soviétiques, la répression d'État connue sous le nom de « Grande Terreur » vise l'ensemble de la population en URSS : plus de 750 000 citoyens soviétiques sont exécutés et plus d'un million de victimes sont déportées au Goulag entre 1937 et 1938.
Pendant plus d'un an, de 1937 à 1938, sur les ordres de Staline, une gigantesque vague de répression politique s'abat sur l'Union soviétique. Cette Grande Terreur fera autour de 750 000 morts et des centaines de milliers de prisonniers envoyés arbitrairement au goulag.
L'URSS est un régime totalitaire, en particulier sous la période stalinienne. Elle défend l'idéologie du communisme et du collectivisme. Elle met en place de nombreux moyens allant jusqu'à s'immiscer dans la vie privée des individus, afin de soumettre son peuple à cette idéologie.
En URSS, la terreur s'abat sur une grande partie de la population, paysans, anciens partisans de Lénine ou individus jugés « socialement nuisibles ». En Allemagne, la terreur se double d'une vision eugéniste de la race allemande et d'un antisémitisme exacerbé. B. La surveillance des citoyens omniprésente.
La majorité des victimes étaient d'origine polonaise, certaines appartenant à divers groupes minoritaires de la région du Kresy, par exemple les Ruthènes ; ces groupes dans la vision du monde soviétique avaient un élément de la culture ou de l'héritage polonais, et étaient donc aussi « polonais ».
Staline accuse les paysans aisés, surnommés « koulaks » (d'un mot russe qui désigne un prêteur sur gages), de faire obstruction à sa nouvelle politique au nom de leurs intérêts particuliers.
Durant l'entre-deux-guerres se mettent en place en Europe des régimes que les historiens qualifient de « totalitaires ». Dirigés par des dictateurs qui assoient leur pouvoir par la terreur et la propagande, ils cherchent à remodeler les sociétés en fonction d'idéologies officielles.
Mais le 9 thermidor de l'an II, une guerre intestine éclate entre le comité de sûreté générale et le comité de salut public jugé trop dictatorial. Robespierre est à son tour traîné sur l'échafaud : c'est la fin de la Terreur, le 28 juillet 1794 (10 thermidor).
L'équilibre de la terreur est une stratégie d'armement commune aux États-Unis et à l'Union soviétique pendant la guerre froide. Cette doctrine, également appelée destruction mutuelle assurée, est une façon de dissuader l'adversaire d'utiliser l'arme nucléaire.
Maximilien de Robespierre, ou Maximilien Robespierre, est un avocat et homme politique français né le 6 mai 1758 à Arras (Artois, aujourd'hui Pas-de-Calais) et mort guillotiné le 10 thermidor an II ( 28 juillet 1794 ) à Paris, place de la Révolution (actuelle place de la Concorde).
Girondins et montagnards se trouvent plus que jamais opposés quant à la politique à mener. Les premiers veulent freiner la Révolution, alors que les seconds, sous l'impulsion de leurs chefs, veulent au contraire la relancer.
Terreur : Période pendant laquelle la Convention exerce la violence contre les ennemis de la République.
Objectifs de l'invasion
la destruction de l'Union soviétique par la force militaire. l'élimination définitive de la menace communiste perçue en Allemagne. la confiscation de terres de qualité situées au sein des frontières soviétiques, le Lebensraum (« espace vital ») où installer les Allemands sur le long terme.
Il a éliminé tous les opposants au régime.... ses victimes se comptabilisent en millions de morts. Son régime s'appelle la dictature du prolétariat ( qu'il contrôle ).
Une fois qu'ils ont avoué sous la torture et au terme d'interrogatoires interminables, ces opposants, réels ou supposés comme tels, sont exécutés ou déportés au goulag, où ils sont soumis au travail forcé.