Le risque de change est un risque auquel s'expose tout investisseur se portant acquéreur d'un actif libellé dans une autre devise que celle ayant cours légal dans son pays.
Pour une entreprise exportatrice, le risque de change transactionnel se matérialise par exemple lors de la dépréciation de la devise étrangère par rapport à la devise locale. Pour une entreprise importatrice, il se matérialise en revanche lors de l'appréciation de la devise étrangère face à la devise locale.
Le risque de marché est le risque engendré par des événements imprévus affectant la valeur des avoirs. Autrement dit, il s'agit de la possibilité que le rendement soit plus faible que prévu.
Économiquement, l'effet du taux de change sur la stabilité des prix et la croissance est réel : "Lorsqu'un euro s'échange contre davantage de dollars (en d'autres termes, lorsque l'euro s'apprécie), les produits américains deviennent moins onéreux pour les habitants de la zone euro. Les prix à l'importation reculent.
La gestion des risques de change englobe l'ensemble des mesures prises pour limiter au maximum les impacts de la volatilité des devises sur les résultats de l'entreprise.
Pour couvrir le risque lié au change, plusieurs instruments (appelés instruments de couverture) sont utilisés par les entreprises, nous citons notamment : le contrat ferme (ou contrat à terme) ; le swap de devises ; le contrat optionnel (option de change).
Définition du mot Change
Le change est l'opération qui consiste à convertir une monnaie en une autre monnaie. Il existe différents types de change : le change manuel, le change comptant, le change à terme et le swap change.
1. Le dinar koweïtien. Connu comme la monnaie la plus puissante du monde, le dinar koweïtien ou KWD a été introduit en 1960 et était initialement équivalent à une livre sterling.
Il existe une grande variété de taux de change correspondant plus ou moins à deux grands types de régimes : le régime de changes fixes et le régime de changes flottants (ou flexibles).
Le comité de Bâle définit le risque opérationnel comme le risque de pertes provenant de processus internes inadéquats ou défaillants, de personnes et systèmes ou d'événements externes. Ces risques correspondent aux erreurs du personnel, à la défaillance des systèmes, des risques technologiques, etc.
Le risque de défaut (ou débiteur)
Lorsque vous prêtez de l'argent à quelqu'un, il existe toujours un risque que ce dernier ne vous rembourse pas. Ce risque s'applique aux obligations. C'est ce que l'on appelle le risque débiteur ou le risque de défaut. Ce risque est naturellement fonction de la qualité de l'émetteur.
Le risque de non-conformité est défini par le Comité de Bâle 1 comme un risque de sanction judiciaire, administrative ou disciplinaire, de perte financière, d'atteinte à la réputation, du fait de l'absence de respect des dispositions législatives et réglementaires, des normes et usages professionnels et déontologiques, ...
Une position de change définit sa situation financière par rapport à ses créances, à ses dettes et ses avoirs en devises. Une position de change est fermée si les dettes et engagements sont égaux aux avoirs et aux créances. Elle est ouverte en cas de différence.
Le risque politique correspond à "l'ensemble des évènements ou décisions d'ordre politique ou administratif, nationales ou internationales pouvant entraîner des pertes économiques, commerciales ou financières pour l'entreprise, importatrice ou exportatrice, ou investissant à l'étranger".
Qu'est-ce que le risque de contrepartie ? Quelqu'un achète et quelqu'un vend : le risque de contrepartie, se manifeste lorsque la défaillance de l'autre partie l'empêche de respecter ses engagements en occasionnant une perte financière. Ce défaut peut être volontaire ou dû à l'impossibilité (faillite, etc.)
Mis en circulation aux Etats-Unis de 1890 à 1893, le billet de 1.000 dollars Grand Watermelon («grande pastèque»), qui a été surnommé ainsi en raison de la forme des gros zéros au verso de l'exemplaire, est le plus cher de l'histoire. En janvier 2014, il a été adjugé 3.290.000 dollars, soit environ 2.721.000 euros.
En janvier 2009, des billets de cent mille milliards de dollars zimbabwéens (1014 $) ont été mis en circulation. En 2009, c'est la plus faible monnaie frappée au monde, notamment à cause de la politique économique désastreuse de Mugabe. Le dollar zimbabwéen est plus faible que l'afghani et que le dinar serbe.
Selon lui, l'une des hypothèses la plus probable est celle d'un euro à 0,96 dollar à la fin de l'année 2022. « Cela aura un impact pour certains secteurs plus que d'autres mais les entreprises s'adapteront.
Les opérations de change comprennent : les interventions sur les marchés de change ; les opérations telles que les cessions de revenus d'intérêts provenant des avoirs de réserve de change et ce qu'on appelle les transactions commerciales.
est que “échange” est action d'échanger une chose contre une autre reçue en contrepartie, troc tandis que “change” est action de changer, troc d'une chose contre une autre.
Le SWAP de change vous permet d'échanger temporairement des devises contre des Euros ou d'autres devises, tout en ayant la certitude de pouvoir refaire l'opération inverse à une date et un coursdéterminés par avance.
La compensation est une technique de couverture par laquelle une entreprise limite son risque de change en compensant les encaissements et les décaissements dans une même monnaie. Ainsi, le règlement d'une créance en devise sera affecté au paiement d'une dette libellée dans la même unité monétaire.
La confrontation de l'offre et de la demande d'une devise sur le marché des changes fait monter ou baisser son taux de change vis-à -vis des autres devises. Par exemple, si la demande d'euros augmente, la valeur de l'euro dans les autres monnaies s'accroît.