La conjonction « si » introduit généralement une subordonnée circonstancielle de condition qui est complément de phrase. Elle est invariable et unit seulement des phrases. Emploi : La conjonction « si » exprime une condition, une supposition, une hypothèse probable, éventuelle, ou encore contraire à la réalité.
1. Marque l'intensité d'un adjectif ou d'un adverbe (suivi d'une subordonnée de conséquence) : Il est si grand qu'il ne peut passer par cette porte. 2. Marque une intensité affective : Cet homme est si généreux !
Si est une conjonction de subordination qui introduit deux types de subordonnées.
si n.m. inv. Expression d'une condition ; condition restrictive. Marque l'intensité d'un adjectif ou d'un adverbe (suivi d'une subordonnée de conséquence)...
Pour s'assurer que si est bien une conjonction, on le remplace par une autre conjonction (ou par une locution conjonctive) : que, quand, supposons que. Je te dirai demain si je viens. - Je te dirai demain que je viens. Je me demande si vous viendrez.
La conjonction « si » introduit généralement une subordonnée circonstancielle de condition qui est complément de phrase. Elle est invariable et unit seulement des phrases. Emploi : La conjonction « si » exprime une condition, une supposition, une hypothèse probable, éventuelle, ou encore contraire à la réalité.
2° En principe, on emploie oui pour répondre à une question affirmative et si après une question négative.
Si oui, si tel est le cas.
Lorsque : le e final s'élide toujours devant elle(s), il(s), en, on, un(e); l'élision est facultative devant après,aucun, ainsi, aussi, enfin, avec, etc. Si : le i s'élide toujours devant il(s).
Si : conjonction de subordination, introduit une proposition subordonnée de condition (ou d'hypothèse). Si est toujours suivi de l'indicatif. 1) Quand l'hypothèse est considérée comme réalisable, on emploie : si + présent de l'indicatif dans la subordonnée.
Les phrases avec si doivent respecter la concordance des temps : Pour exprimer une quasi-certitude ou probabilité : Si + présent de l'indicatif → verbe 2 à l'indicatif (présent ou futur simple) ou à l'impératif. Si Muriel et Marcel suivent les conseils de Victor, ils réussiront leur mission.
Les temps verbaux de l'indicatif sont : le présent, le passé composé, l'imparfait, le passé récent, le passé simple, le plus-que-parfait, le passé antérieur, le futur proche, le futur simple et le futur antérieur.
Carrément ! Exemple : C'est vrai que vous êtes cuisinier ? Tout à fait.
oui adv. Exprime une réponse positive à une interrogation non négative… oui n.m. inv. Expression de l'approbation, de l'accord.
5 / Adverbes d'affirmation : oui, si, soit, volontiers, assurément, aussi, absolument, certainement, vraiment, etc.
En linguistique moderne (pragmatique), on appelle question rhétorique une question qui attend une réponse dichotomique : soit oui soit non, par opposition aux questions indirectes, qui attendent une réponse construite comme dans « Avez-vous l'heure ? ». L'interlocuteur ne répondra pas oui mais donnera l'heure.
Lorsqu'elle est de forme affirmative (en (1) et (2), « il est humain »), la réponse dépend de la polarité de la question. Si la question est de forme affirmative, on emploie oui (cf. (1Ba)). Si elle est de forme négative, on emploie si (cf.
Utilisez la fonction SI, une des fonctions logiques, pour renvoyer une valeur si une condition est vraie et une autre valeur si elle est fausse. Par exemple : =SI(A2>B2;"Dépasse le budget";"OK") =SI(A2=B2;B4-A4;"")
Il existe désormais une fonction SI. ENS qui peut remplacer plusieurs instructions SI imbrmbrées par une fonction unique. Ainsi, au lieu de notre exemple initial relatif à la conversion en notes, qui comporte 4 fonctions SI imbriquées : =SI(D2>89;"A";SI(D2>79;"B";SI(D2>69;"C";SI(D2>59;"D";"F"))))
Lorsque vous les combinez avec une instruction SI, elles ressemblent à ceci : ET – =SI(ET (Une chose est vraie, Une autre est fausse), Valeur si vrai, Valeur si faux) OU – =SI(OU (Une chose est vraie, Une autre est fausse), Valeur si vrai, Valeur si faux)