Il est donc recommandé de limiter la consommation de fruits et légumes riches en potassium comme la banane, l'orange, les pruneaux, les pommes de terre, les tomates, l'avocat, etc.
Protéines – Selon le stade de votre maladie rénale, vous devrez peut-être limiter l'apport en protéines, ou au contraire en consommer davantage. Parmi les sources de protéines au petit-déjeuner : 100 g de yogourt, ¼ tasse de fromage cottage, 1-2 œufs, 1 c. à soupe de beurre d'arachides.
Des chercheurs ont découvert un lien entre pathologies rénales et importante consommation de viande rouge. D'autres sources de protéines seraient donc à privilégier, telles que la viande de volaille ou le poisson.
La carotte est diurétique
Grâce à sa richesse en potassium, la carotte est un légume que l'on classe dans la catégorie des diurétiques naturels. A ce titre, elle est idéale pour drainer le foie, nettoyer les reins, lutter contre la rétention d'eau et les calculs rénaux.
"Le rein fabrique moins d'EPO (érythropoïétine) et donc moins de globules rouges, ce qui provoque une anémie, un essoufflement, une fatigue".
L'alcool consommé en excès est néfaste pour les reins. Les boissons alcooliques augmentent en effet la tension artérielle, ce qui favorise l'apparition de l'insuffisance rénale. Les sucres industriels raffinés présents par exemple dans les pâtisseries industrielles sollicitent de façon abusive le pancréas et les reins.
Le chocolat contient aussi de la théobromine : un alcaloïde amer de la même famille que la caféine. Il agit sur les reins, c'est un diurétique, et il a un effet antitussif.
A chaque repas, introduire un produit laitier (yaourt, fromage blanc, petits suisses, fromages). Il existe des protéines d'origine animale (viandes, poissons, œufs, charcuteries et produits laitiers) et végétale (pomme de terre, céréales, légumineuses, graines et fruits oléagineux).
Il soulage les infections urinaires
Pour prévenir les infections, on leur conseille de boire beaucoup d'eau et de consommer des aliments diurétiques comme le poireau. Ce légume, sous forme de bouillon par exemple, aide à éliminer l'acide urique. Il est excellent pour les reins et le foie.
Le citron accélère la formation de calculs
Dans les reins, le danger provient de l'oxalate présent dans le zeste du citron. L'oxalate, en quantité trop importante, a un effet antioxydant sur les tissus du corps.
Il faut éviter les aliments riches en potassium (en cas d'insuffisance rénale, l'élimination du potassium diminue. Un excès augmente le risque de troubles cardiaques graves) : Les légumes secs : lentilles, haricots secs, pois chiches, pois cassés, haricots coco...).
Le bœuf, le porc, le mouton et la volaille (poulet et dinde) sont très riches en potassium, tout comme le foie de veau, le jambon et les lardons fumés, les viandes des grisons et les viandes séchées. A noter : ne consommez pas les sucs provenant d'une viande rôtie ! 2) Misez plus sur les légumes – mais les bons !
1) Soupe au céleri et aux orties
Il aide le foie et la vésicule biliaire à bien fonctionner et est aussi bénéfique pour les reins. La 'star' de cette soupe reste néanmoins l'ortie qui est dépurative pour le sang et possède tout un régiment de bénéfices pour la santé.
Pensez donc à boire suffisamment pour protéger vos reins, au moins 1 litre à 1,5 litre d'eau par jour répartie sur une journée, mais n'oubliez pas de faire vérifier de façon régulière le bon fonctionnement de vos reins. Si boire de l'eau peut protéger vos reins, cela ne vous guérit pas d'une maladie rénale chronique.
Une maladie nommée «hyponatrémie»
Boire trop d'eau ne coupe pas l'appétit, peut entraîner des dommages aux reins et altérer la concentration, rapporte le Daily Mail ce mardi.
L'étude montre que le taux de survie sur une année est de 71 % en moyenne : 80 % chez les patients âgés de 70-74 ans, 69 % (75-79 ans) et 54 % (80 ans et plus) (p=0,008). Le taux de survie est de 88 %, 71 % et 64 % chez les patients présentant aucune, une, deux (ou plus) comorbidités, respectivement (p=0,056).
Les résultats montrent que les consommateurs de café auraient une diminution du risque de maladie rénale chronique (débit de filtration glomérulaire estimé (DFGé) <60mL/min/1,73m2) par rapport à ceux qui n'en consommaient pas.
Le Dr Tostivint le répète, " l'important pour éviter d'avoir besoin d'être dialysé, c'est de dépister, dépister et encore dépister ! Pour cela, il convient de mesurer trois paramètres importants : le taux de créatinine dans le sang, d'albumine dans les urines et la tension artérielle ".
Heureusement, une étude récente (Martínez-Pineda, 2019[1]) a trouvé le moyen de rendre sécuritaire la consommation de pois chiches et de lentilles pour les personnes atteintes d'une maladie rénale chronique.
si vous êtes sujets aux calculs rénaux, car ce fruit est riche en calcium. C'est le raison pour laquelle les enfants ne doivent pas trop en manger ; si vous souffrez d'insuffisance rénale car il est riche en potassium.