Menace sur le viande rouge, le riz et le pain
L'année 2023 ne fera pas exception. Ces prochains mois, les Français vont peut-être devoir se passer de viande rouge. Les conditions météorologiques de 2022 ont mis à mal le secteur agricole.
Huile de tournesol, blé, pois chiches : découvrez quels produits risquent de connaître une nouvelle pénurie. Si 2022 avait été l'année de la pénurie de moutarde entre autres, 2023 va également connaître des manques dans les rayons de supermarchés.
Vers une pénurie de pommes de terre, de miel et de lait ? À cela s'ajoutent aussi les difficultés causées par la sécheresse estivale en France. Les premiers chiffres publiés pour 2022 prévoient des baisses de l'ordre de 20 % pour la production de maïs et de lait et de 55 % pour le miel.
Se préparer à une situation d'urgence, c'est avant tout identifier les risques qui me menacent et donc prévoir des scénarios alternatifs. Après un inventaire de ces risques, il est nécessaire de les étudier et d'évaluer leur gravité potentielle avant de décider des actions préventives à mettre en place.
Il s'agit notamment de pains et de céréales, de pâtes, de riz et de haricots. Si vous prévoyez de survivre pendant une période plus longue, vous devrez vous procurer des aliments plus riches en nutriments, comme des fruits, des légumes et des noix. Ils vous aideront à garder votre corps en bonne santé.
Manque de main d'oeuvre, pénuries de matières premières
Se greffent d'autres problèmes comme le manque de main-d'œuvre pour faire tourner les usines, ou encore des pénuries de matières premières.
En raison de la guerre en Ukraine et du réchauffement climatique, la production mondiale de riz a drastiquement baissé ces derniers mois, indique BFMTV.
L'aliment numéro 1 qui ne périme jamais, c'est le miel. Il est composé de plusieurs antibiotiques naturels, regroupés sous le nom d'inhibine. Ces bactériostatiques empêchent ainsi le développement des bactéries, et de ce fait rendent impossible le processus de péremption du produit.
Les pâtes sont l'aliment préféré des consommateurs de 17 pays du monde sondés par l'ONG britannique Oxfam, qui a révélé ces chiffres le 15 juin.
Selon la commission d'experts internationaux EAT-Lancet, dans le cadre de « la transformation vers une alimentation saine d'ici 2050 », il faudra doubler « la consommation mondiale de fruits, légumes, noix et légumineuses ».
1. Légumineuses en conserve. Les légumineuses en conserve sont des aliments parfaits pour dépanner en tout temps! Très nourrissantes et rassasiantes, en plus de ne coûter presque rien, les légumineuses en conserve se gardent longtemps et peuvent être cuisinées de mille et une façons.
Nous pouvons en citer les viandes, les fruits ou légumes et pleins d'autres encore. Des barres de plusieurs types comme ceux étant énergétiques et protéinées sont riches en apports nutritionnels (glucides, protéines, fibres…). De plus, elles ne prennent pas beaucoup de place et ont une longue date de conservation.
Quoi stocker? Si on part sur une solution d'alimentation basée uniquement sur un stock, sans potager ou basse-cour en complément, alors il faut stocker de la viande, des légumes et des féculents, sans oublier les produits laitiers, le sucre, les condiments, les huiles et les farines de blé, complète et d'épeautre).
C'est faux.
Pour soutenir une économie bousculée par l'épidémie de Covid-19, le Gouvernement ne prévoit pas du tout de ponctionner l'épargne des Français. “Il s'agit d'une fake news. On ne fait pas de relance économique en augmentant les impôts,” a confirmé le ministère de l'Economie.
Les matières premières agricoles : blé, maïs, coton, sucre, café ou encore cacao par exemple. Les métaux industriels : les métaux qui ont principalement un usage destiné aux activités industriels tels que le fer, le cuivre ou le zinc, l'aluminium, le nickel, le cobalt, l'acier ou encore le plomb.
Mais alors pourquoi ces pénuries ? Si les pénuries se multiplient, c'est parce que la demande tire de tous les coins de la planète. "La reprise post Covid a été forte et presque universelle, chauffant à blanc les usines", selon lui.