Une tranchée est souvent protégé par des sacs de sables ou encore des barbelées si ces tout ce que tu voulais savoir.
3. Comment les tranchées assurent-elles la protection des soldats ? Les tranchées devaient être profonde et recouvertes de terre avec des petites caves sous le terrain pour protéger les soldats et leur permettre de se cacher.
Armes personnelles et petites armes
À mesure que la guerre progressait, les armées se servirent d'armes plus diverses pour mieux équiper leurs troupes en vue des combats des tranchées et des attaques à travers le no man's land, dont des grenades, des grenades à fusil, des mortiers et plusieurs types de mitrailleuses.
La vie dans les tranchées se résumait à de longues périodes d'ennui ponctuées de brefs moments de terreur. La menace de la mort obligeait les soldats à être constamment sur le qui-vive alors que les conditions de vie difficiles et le manque de sommeil minaient leur santé et leur endurance.
Les conditions de vie des « poilus » dans cet univers sont excessivement dures : outre le froid, les rats, les poux, les odeurs pestilentielles et l'absence d'hygiène, l'ennemi le plus redoutable des combattants est la pluie, qui transforme les tranchées en fondrières malgré les caillebotis qui en garnissent le fond.
Dès 1914, pour se protéger des tirs et de la vision de l'ennemi, les soldats se réfugient dans des trous d'obus et creusent des abris de fortune qui reliés entre eux forment les tranchées.
En France, les soldats qui combattent sur le front sont appelés les « poilus », sans doute parce qu'ils n'avaient ni le temps ni les moyens de se raser. Pour conserver à tout prix le terrain conquis, les troupes s'enterrent dans des tranchées, parfois fortifiées, qui forment bientôt un labyrinthe boueux.
Les rats et les poux tourmentaient les soldats jour et nuit. Des rats gigantesques attirés par la nourriture et les déchets des armées stationnaires contribuaient à répandre les maladies et étaient un irritant constant.
Les souffrances psychologiques: Les poilus vivent dans la peur de mourir. Ils voient leurs compagnons mourir sous leurs yeux, dans des combats toujours plus violents. Beaucoup sont traumatisés à vie par toutes les horreurs subies.
Les tranchées servent à protéger les soldats.
Ils vivent dans l'humidité, la boue, la crasse, dans la puanteur. Ils vivent aussi avec les rats et les poux. Ils dorment peu. Ils font des trous sous les tranchées des ennemis pour les faire exploser.
Ainsi, le fusil Lebel n'est pas remplacé avant l'année 1914, date du début de la guerre mais aussi de la fin des études du fusil semi-automatique Meunier A6 et c'est avec le fusil Lebel que les « Poilus » partiront au combat.
Au début de la guerre, le poilu est habillé d'un uniforme voyant avec le pantalon rouge garance et un simple képi qui ne lui protège pas la tête. Il est armé d'un fusil Lebel équipé d'une baïonnette.
Gaz moutarde de la Première Guerre mondiale: pourquoi cette appellation ? Reconnaissable par sa couleur jaunâtre, le gaz moutarde de la Première Guerre mondiale tient son appellation de son odeur semblable à celle de la moutarde. Ce gaz a été utilisé pour la toute première fois le 12 juillet 1917 en Belgique.
C'est le 22 avril 1915 lors de la deuxième bataille d'Ypres, que l'armée allemande utilisera pour la première fois le gaz chlorique. Cette première utilisation d'un gaz mortel de l'histoire provoquera l'unanime condamnation des autres états belligérants adverses et d'états neutres comme les Etats-Unis.
Fossé étroit et en zigzag permettant de gagner à couvert les tranchées.
1. Excavation longitudinale pratiquée à ciel ouvert dans le sol. 2. Fossé permettant au combat la circulation et le tir à couvert.
Les Allemands, qui avaient basé leurs connaissances sur les études de la guerre russo-japonaise, élevèrent la construction de tranchées au rang de science. Ils construisaient des abris ventilés en béton armé à plusieurs mètres sous terre ainsi que des points d'appuis très fortifiés.
Corvées quotidiennes
Pendant qu'il faisait jour, ils effectuaient tous les travaux sous terre et à l'abri des fusils des tireurs d'élite. Entre les corvées, il y avait souvent du temps pour des loisirs. Les soldats lisaient, rédigeaient leur journal intime, écrivaient des lettres ou jouaient à des jeux de hasard.
Trous d'obus aménagés et reliés par des fossés creusés par les soldats, les tranchées étaient le théâtre de l'horreur, de l'attente de la mort.
Le pigeon, fidèle ami du poilu.
(Désuet) Affection psychologique consécutive à l'expérience du bombardement. Maladie nerveuse due à un excès de stress et de peur, se manifestant par des tremblements.
Le pied des tranchées (PDT) est un phénomène associant ischémie et infection, évoluant rapidement vers une nécrose et une neuropathie sensitive irréversible des pieds. Il a été responsable du décès de 75 000 soldats en 1914.
Avec la Grande Guerre, l'artillerie inflige jusqu'à 70 %-80 % des blessures. Les éclats d'obus broient les membres, éventrent les corps, détruisent les visages. En cas d'impact direct, ils peuvent pulvériser un combattant, dont il ne reste finalement plus rien.
Réponse: On appelle ça des tranchées !
LONGUEUR: 600 km répartis dans toutes la France. MÉTHODE DE CONSTRUCTION: Selon le manuel de construction britannique, il fallait 6 heures à 450 hommes pour construire une tranchée de 250 mètres.