Pour eux, le matériel utilisé et surtout le support sur lequel le street artist a décidé de laisser une trace est primordial. Les techniques de dégraffitage varient s'il s'agit d'un mur de pierre, d'un mur peint, d'une surface métallique, de goudron, d'une surface poreuse, un graffiti sur du verre.
Dans ses formes les plus élaborées, le graffiti est également une forme d'art graphique. Le « tag » est une signature ; il est soit apposé pour signer un graff soit utilisé seul et pour lui-même. Le « flop » est un lettrage en forme de bulle élaboré généralement d'un seul trait.
Très simple : mettez votre bombe la tête en bas et pulvériser un peu de peinture jusqu'à n'avoir que du gaz qui sors. Cette purge permet avant tout que le skinny ou "caps" se bouche.
En effet, le street art désigne toutes les formes d'art de la rue. De nombreux types de techniques ont été repérés : l'installation de rue, le pochoir, le yarn bombing, le sticker, le graffiti, la mosaïque, la projection vidéo, le flash mobbing ou encore le tape art.
Toutefois, on s'accorde à dire que le street art nait véritablement dans les années 1960 aux États-Unis. Le premier mouvement s'apparentant à l'art de rue est le « Graffiti writing » lancé par deux artistes de Philadelphie, Cornbread et Cool Earl.
Le graffiti, la trace d'un geste spontané
Ce qui caractérise le graffiti, c'est qu'il résulte d'un mouvement, d'un geste réalisé par un graffiteur. Les graffitis gardent souvent le mouvement qui les a créés dans leur forme.
La bombe de peinture Belton Molotow Premium est une référence absolue. Plébicitée depuis de longues années pour la décoration et le graffiti, elle est appréciée pour son très large choix de nuances et pour sa peinture extra fine qui permet de travailler en finesse et d'obtenir un rendu hautement qualitatif.
Le graffeur est un artiste qui se sert de son imagination pour réaliser des œuvres visuelles avec la technique du graffiti. Il utilise à cet effet divers outils tels que : marqueurs. pochoirs.
Crew. Communauté, groupe de graffeur qui se réunit pour peindre ensemble.
Formations. Il n'existe pas de formation spécifique pour se préparer à ce métier. La plupart des graffeur·euse·s se forment directement auprès de professionnel·le·s en activité. Il existe également des sites internet spécialisés avec tutoriels et quelques formations privées.
Comment créer un tag ? Quelque soit le module dans lequel vous utilisez la notion de tag, le fonctionnement reste le même : dans le champ "tag" intégrez vos mots clés séparés par des virgules. En général, il n'est pas nécessaire d'ajouter plus de 3 ou 4 tags sur un contenu.
Le Tag est une signature dont l'objectif est de marquer de manière rapide un mur ou le mobilier urbain, ce dernier est souvent illégal. Un graffiti est quant à lui une œuvre à part entière dont la réalisation souvent réglementée, il nécessite plus de technique artistique et de temps.
Medium, toile tendue, pvc, papier photo, papier mat, papier brillant, etc...
Pour une bombe de peinture acrylique, compter entre 2 et 5 € pour un produit bicouche et entre 5 et 10 € pour une version monocouche de bonne à très bonne qualité. Pour une bombe de peinture vinylique, le budget à prévoir est compris entre 0,5 et 5 € en version bicouche.
Plusieurs bombes de couleur sont disponibles telles que : la peinture noire mate, blanc mat, etc. Si vous recherchez une peinture non poreuse que vous pourrez laver à volonté et rendre brillante, la peinture satinée (peinture à huile ou peinture époxy) répondra parfaitement à vos exigences.
Une hauteur parfaite des lettres. Des espaces entre chaque trait parfaitement proportionnels ou presque. On peut écrire le tag en un seul trait. le lettrage assez basique et à peine stylisé est sublimé par un personnage ou un symbole qui "casse" le tag et le rend plus classe.
Les tags sont apparus à New York et ont été révélés au public par un article de presse du New York Times daté du 21 juillet 197 17 qui présente le cas d'un jeune homme de dix-sept ans, d'origine grecque, qui signe, sur les monu¬ ments et le métro, TAKI 183.
Les tags, les graffitis et autres inscriptions non autorisées sur une façade ou un véhicule, sont considérés comme des actes de vandalisme. Une contravention de 5e classe, soit 1 500 € ou plus, s'il n'en résulte qu'un dommage léger (Article R. 635-1 du Code Pénal).