Les aromates comme le baume, la mhyrre, le storax, l'encens, l'absynthe, le genièvre, etc. Les noms des vertus et des vices comme la chasteté, la pudeur, la gloire, la charité, la paresse, l'ivresse, la haine, la bonté, le courage, la douceur, l'inclémence, l'injustice, l'innocence, l'indiscrétion, etc.
aguets, alentours, armoiries, arrhes, annales, archives, bestiaux, condoléances, confins, décombres, dépens, doléances, ébats, entrailles, environs, fonts, frais, fiançailles, funérailles, gens, gravats, honoraires, matines, menstrues, mœurs, obsèques, pierreries, prémices, représailles, rillettes, sévices, ténèbres, ...
Voici les exceptions : landaus, sarraus, unaus, bleus, émeus, enfeus, pneus. Il y a aussi ceux qui prennent les deux pluriels : Feu et lieu selon leur sens. Le pluriel des mots en « AIL » prend un « S ». Un détail infime.
Les noms se terminant par –s ou –x sont invariables → bras, souris, noix. Les adjectifs qualificatifs masculins qui se terminent par la lettre –s ou la lettre –x sont invariables au pluriel → gros, joyeux, heureux. Ils ne s'accordent qu'au féminin -> grosses, joyeuses, heureuses.
Pour écrire un nom ou un adjectif au pluriel, on ajoute souvent "s" à la fin du mot. Les mots en -eu se terminent par -eux au pluriel sauf : des bleus, ils sont bleus, des émeus, je les ai eus, des lieus (poissons), des pneus, ... . Les noms en -au se terminent plus souvent par -aux au pluriel.
En orthographe traditionnelle (non réformée), plur. : des perce-neige. On peut dire un perce-neige ou une perce-neige ; un perce-neige est toutefois plus fréquent.
Les participes passés des verbes suivants ne s'accordent donc jamais : se téléphoner, se parler, se mentir, se plaire (complaire/déplaire), se sourire, se rire, se nuire, se succéder, se suffire, se ressembler, s'en vouloir.
- On écrit l'adjectif 'belle' devant un nom féminin singulier. 1 - Nadia est une belle fille. 2-J'ai vécu une belle aventure.
Demain est invariable quand c'est un adverbe. Il arrivera demain matin. Mais demain peut être un nom : « Nominal (n. m.).
alors, après, assez, aujourd'hui, aussi, autant, avant, avec, beaucoup, bientôt, chez, combien, comment , dehors, déjà, demain, depuis, derrière, dessous, dessus, devant, donc, encore, enfin, ensuite , hier , jamais , là-bas, loin, longtemps , maintenant, mais, même, mieux, moins, parce que, peut-être, plus, pourquoi, ...
Oeil est le seul mot de la langue française dont la première lettre change au pluriel.
Définition de nombreux Votre navigateur ne prend pas en charge audio. , nombreuse adjectif. Qui est formé d'un grand nombre d'éléments. ➙ abondant, considérable.
( XV e siècle) Emprunté au latin ecclésiastique médiéval funeralia, neutre pluriel du bas latin funeralis, qui a donné l'adjectif funéral.
C'est parce que le mot "Landau" vient du nom d'une ville allemande où cette voiture a été fabriquée et qu'il est une abréviation du terme d'origine (comme pneus, autos, kilos qui prennent un "s" au pluriel).
Étymologie. Pluriel de rillette, diminutif d'un mot régional rille (« viande de porc le long de la colonne vertébrale »).
Concernant les chiffres, la règle veut qu'ils soient invariables à l'exception de "vingt" et de "cent" qui prennent un "s" lorsqu'ils sont multipliés et qu'ils sont à la fin.
Définition de quarante adjectif numéral invariable et nom masculin invariable. (cardinal) Quatre fois dix (40).
Féminin : "douce". Adverbe et invariable dans "filer doux" : "elle a filé doux".
En fait, été est un nom masculin. On dit donc un été , l'été le plus chaud de la décennie (en accordant chaud au masculin), et on ne dit pas une été , l'été dernière . D'ailleurs, en français, les noms de toutes les saisons sont des noms masculins : un automne pluvieux , un hiver très froid , un printemps ensoleillé .
Les mots invariables sont l'adverbe, la préposition, la conjonction et l'interjection.
On écrit "les pommes que j'ai mangées", mais on n'orthographie pas "les heures que j'ai passées". On note plutôt "les heures que j'ai passé" et on rédige aussi "le chat qui a mangé la souris".
Le participe passé d'un verbe pronominal reste invariable quand le pronom réfléchi est objet indirect : Ils se sont parlé, car on parle à quelqu'un. Elle s'est permis de prendre la parole, car on permet quelque chose à quelqu'un.
Quand le COD est situé après le verbe pronominal
Si le COD est placé après le verbe pronominal, le participe passé ne s'accorde pas. Elles se sont lavé les mains.