Le monarque absolu, à la différence du monarque constitutionnel, représente au sens propre du mot la « monarchie » en ce sens que tout le pouvoir repose sur un seul être : le roi, qui regroupe les trois pouvoirs de l'État : législatif, exécutif et judiciaire.
La monarchie absolue est un régime dans lequel le roi entend gouverner sans limites, avoir tous les droits sur ses sujets, où sa volonté fait office de loi et où il impose plus ou moins complètement à ses sujets l'exclusivité du pouvoir politique.
Se dit d'un pouvoir politique qui n'est soumis à aucune limitation, ou de la personne qui l'exerce : Un monarque absolu.
Les principes de l'absolutisme
Le Roi considère qu'il tient son pouvoir de Dieu et qu'il n'a de comptes à rendre qu'à lui. La cérémonie du sacre à Reims qui fait de lui « l'oint du seigneur » assure sa légitimité, en fait le « ministre de Dieu sur terre ». Sa personne est donc sacrée.
Louis XIV règne en monarque absolu. Il dispose des trois pouvoirs traditionnels de la Couronne. Il décide des lois (Le pouvoir législatif) et les fait appliquer dans les provinces du royaume (Le pouvoir exécutif). Il contrôle la justice et ses tribunaux dont il peut casser les verdicts.
A partir du XVIème siècle, la monarchie se renforce en France. C'est le cas sous le règne de Louis XIV de 1661 à 1715. Louis XIV impose un système de gouvernement où le roi a tous les pouvoirs : la monarchie absolue. Il établit sa résidence à Versailles où il impose les principes de la cour.
A) Les symboles du pouvoirs royal
l'épée symbolise son pouvoir sur les armées. le sceptre est le signe de son autorité politique. le collier de l'ordre du saint-esprit symbolise son pouvoir sur les nobles. le manteau du sacre porte le symbole de la famille capétienne ( lys d'or sur fond bleu )
La monarchie est un régime politique où le pouvoir est détenu par un seul chef, le monarque ou souverain. A l'origine, ce pouvoir était légitimé par une relation spirituelle que le monarque entretenait avec une divinité.
Le 17 juin 1789 les représentants du tiers-état, accompagnés de quelques représentants de la noblesse et du clergé, se retirent de la réunion des États-généraux. Ils forment l'Assemblée Nationale et décident que désormais ce seront les députés qui voteront les impôts. C'est la fin de la monarchie absolue.
On appelle monarchie absolue un régime où le monarque détient tous les pouvoirs et n'est contrôlé par aucune institution ou constitution. Il est cependant soumis aux Lois Fondamentales du Royaume, ce qui le différentie du despote ou du tyran.
Elle est légitime, c'est-à-dire soumise aux lois. Le roi doit respecter les lois fondamentales, qui sont la « constitution de la monarchie » (Déclaration royale de 1723). En conséquence, il ne peut ni aliéner le domaine de la Couronne, ni infléchir les règles de la succession au trône.
Le 10 août 1792 marque donc la chute de la royauté. A la suite de la réunion des Etats généraux, une vague révolutionnaire met fin à la monarchie absolue et à l'Ancien Régime. Une monarchie constitutionnelle est établie en 1791, mais Louis XVI perd la confiance de ses sujets en organisant sa fuite à l'étranger.
Le monarque absolu, à la différence du monarque constitutionnel, représente au sens propre du mot la « monarchie » en ce sens que tout le pouvoir repose sur un seul être : le roi, qui regroupe les trois pouvoirs de l'État : législatif, exécutif et judiciaire.
Dans une monarchie absolue, le monarque jouit d'un pouvoir illimité. À l'opposé, dans une monarchie constitutionnelle, son pouvoir est limité par les lois de la Constitution. Les monarques constitutionnels ne règnent pas directement.
L'insurrection du 10 août 1792 amène l'Assemblée législative à prononcer la suspension du roi, mais non sa déposition. Néanmoins, le 10 août marque bien la fin effective de la monarchie. Remis à la discrétion de la Commune de Paris, Louis XVI est prisonnier au Temple.
Le pouvoir royal est vu comme spécifique en ce qu'il s'exerce sur un territoire à des fins d'utilité publique, sans considération pour les liens féodo-vassaliques. Il se traduit principalement par l'exercice de la justice et par sa capacité à lever des troupes sur l'ensemble du territoire sur lequel il s'exerce.
Réponse. le nouveau régime prône L'EGALITER de tous et il n'y a plus de privilèges.
Montesquieu refuse la monarchie absolue, car celui qui veut un pouvoir sans limites tend à abuser toujours du pouvoir. C'est-à-dire : « le pouvoir absolu corrompt absolument ». Il ne croit pas aux sauveurs de la patrie, à personalités ou à hommes amenés par la providence, car ils sont la preuve de ce pouvoir absolu.
les lois fondamentales du royaume sont des lois suprêmes que le roi ne peut modifier. Elles se sont fixées à la fin du Moyen Âge et au XVIe siècle. Il y a deux sortes de lois fondamentales. Celles concernant la dévolution de la couronne et celles concernant l'inaliénabilité du domaine de la couronne.
Un sceptre est le bâton ornemental, ressemblant à une masse d'arme, tenu par le monarque, qui est l'un des symboles du pouvoir et de la royauté. Le sceptre est parfois la représentation de la puissance et de l'autorité suprême que Dieu confère au chef.
Avec la théorie de la royauté de droit divin, les rois de France reçoivent leur autorité directement de Dieu, sans l'intermédiaire de l'Église, de telle sorte que ce pouvoir divin ne saurait être limité ni par une autorité morale, ni par un contrat social avec le peuple.
Le roi actuel, Mohammed VI , est monté sur le trône en 1999.
Voici l'ordre de succession légitimiste (et théorique) au trône de France. L'actuel prétendant est S.A.R. Louis de Bourbon, duc d'Anjou, né en 1974, qui serait appelé « Louis XX » s'il était « roi de France ».
Alix, 9 ans et demi. Le dernier roi de France est Louis-Philippe Ier qui a régné de 1830 à 1848. Il a été remplacé par Louis Napoléon qui est devenu empereur sous le nom de Napoléon III.