Les immobilisations peuvent être classées en 3 catégories : Les immobilisations incorporelles, Les immobilisations corporelles, Et les immobilisations financières.
Les immobilisations sont généralement regroupées en 3 grandes catégories : les immobilisations incorporelles, les immobilisations corporelles et les immobilisations financières.
Une immobilisation corporelle est un actif physique, à la différence des immobilisations incorporelles, détenu durablement par une entreprise. La différence entre les immobilisations corporelles et incorporelles se fait par le caractère physique ou non de ces dernières.
Les stocks et les immobilisations répondent tous deux à la définition d'un actif. La différence est que l'immobilisation est destinée à être utilisée de manière durable alors que le stock est destiné à être consommé rapidement (vendu en l'état ou intégré dans la production de biens ou services).
La principale distinction prend racine du fait qu'une charge est entièrement déductible au cours de l'année. L'immobilisation quant à elle sera déduite sur plusieurs années via l'amortissement. De ce fait, la distinction entre charge et immobilisation affecte directement le résultat.
Quelles sont les principales immobilisations financières ? Une immobilisation financière comprend les titres représentatifs, les titres de participation, les cautionnements, les créances, les dépôts ou encore les prêts accordés par la société.
Les actifs immobilisés ou actifs non courants (selon les normes IFRS), comprennent l'ensemble des biens qui ont vocation à perdurer durablement. On les appelle aussi “haut du bilan”. Contrairement aux actifs circulants, ils ne sont pas détruits lors du premier usage, et ne sont pas liquidables aussi facilement.
L'amortissement est un terme comptable qui définit la perte de valeur d'un bien immobilisé de l'entreprise, du fait de l'usure du temps ou de l'obsolescence. Cette fiche ne présente que les règles et conditions de l'amortissement fiscal.
Le tableau des immobilisations, des amortissements et des dépréciations est un tableau de passage qui permet de justifier les mouvements ayant affecté les différents postes de l'actif immobilisé (comptes de la classe 2) ainsi que les postes d'amortissements et de dépréciations (comptes des classes 28 et 29).
Valeur Mobilière de Placement (VMP) : Définition
Les valeurs mobilières de placement sont des titres financiers (actions ou parts sociales) que vous pouvez acquérir dans le but de générer une plus-value sur un horizon à court terme.
L'avantage principal des immobilisations est de pouvoir, chaque année, déduire en charge une partie du coût d'achat.
Les charges immobilisées sont des charges à caractère général ayant une incidence sur le résultat de l'entreprise. Elles sont non répétitives et peuvent engendrer soit des économies, soit des gains sur les exercices ultérieures. Les charges immobilisées constituent des actifs fictifs.
Les immobilisations corporelles sont des actifs physiques que l'entreprise entend utiliser sur plus d'un exercice comptable, destinés à être utilisés par l'entreprise dans le cadre de son activité, loués à des tiers ou à des fins de gestion interne.
Dans la pratique, la règle fiscale est alors appliquée : lorsque des biens sont inférieurs à 500 euros, ils peuvent être considérés comme consommés dans l'exercice et donc comptabilisés en charges. Au delà, ils pourront être immobilisés, s'ils répondent bien entendu aux critères définis plus haut.
Le passif est constitué des capitaux propres (passif immobilisé) et des dettes (passif circulant). À l'inverse de l'actif, les éléments du passif ont une valeur économique négative (sortie de ressources). Dans un bilan comptable normal, l'actif doit toujours être égal au passif.
Le passif équivaut à l'ensemble des dettes légales qu'une entreprise doit à ses créanciers. Il peut inclure les comptes créditeurs, les effets à payer et la dette bancaire. Toutes les entreprises doivent assumer un passif pour fonctionner et se développer.
Le Total Bilan se calcule comme la somme de tous les actifs, à savoir les immobilisations, les stocks, les créances, les disponibilités ou comme la somme de tous les passifs, à savoir le capital social, les réserves, les résultats, les dettes…
Les actifs financiers comme des titres de participations ou des actions, acquis durablement par l'entreprise pour son activité sont donc des immobilisations financières.
La trésorerie active correspond aux éléments qui figurent au bas de l'actif du bilan comptable d'une entreprise et que l'on désigne couramment sous le terme de « disponibilités ». Il s'agit des avoirs en banque et en caisse mobilisables à tout moment.
Le passif est la contrepartie de l'actif du bilan comptable. Il comprend toutes les dettes que l'entreprise a contractées auprès de ses nombreux créanciers. Celles-ci lui permettent de financer son actif. Le passif du bilan est un élément du patrimoine qui a une valeur économique négative pour l'entreprise.
Le rapprochement bancaire consiste à comparer les enregistrements comptables du compte banque avec les opérations figurant sur le relevé bancaire. Il permet ainsi de vérifier que chaque flux financier a bien fait l'objet d'une comptabilisation et qu'il figure sur le relevé bancaire.
Il n'y a pas de montant minimum pour une immobilisation. Tous les biens qui entrent dans la définition d'une immobilisation et sont utilisés durablement sont concernés. Le montant de 500€ en droit fiscal pour certains biens n'est qu'une possibilité offerte aux entreprises.
L'amortissement dégressif est la seconde méthode d'amortissement contraire à l'amortissement linéaire permettant à une entreprise de pouvoir étaler l'acquisition d'un bien sur une période de son utilisation. L'annuité est constante à chaque exercice et les premières années, la dépréciation est ainsi plus rapide.